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Alain Web-creator
12 journées depuis
#Beti #Ekang 📌
La répartition du pays 𝗕𝗘𝗧𝗜 dans la région du Centre 🇨🇲, on peut observer les Ewondo entourant les Bënë à Yaoundé, ses banlieues et le département entier de la MEFOU.

Vous pouvez voir aussi la position géographique de vos clans dans la ville de Yaoundé et ses environs.

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Source 📷 : https://acrobat.adobe.com/...
Alain Web-creator
20 journées depuis
👉🗞️Nanga Eboko une ville, une histoire🗞️

La ville de #Nanga_Eboko est située dans le département de la haute Sanaga, plus précisément dans l’arrondissement qui porte son nom. Située sur la nationale no1 qui relie la région du centre à celle de l’Est. Elle est limitée au Nord par Yoko, au Sud par Nkong, Lembe et Yezum, à l’Est par Minta et à l’Ouest par Ntui.

Une virée à Nanga Eboko ça ne se raconte pas. Le climat qui est de type équatorial offre un cadre idéal pour s’épanouir. Un écosystème riche et varié qui ne laisse personne indiffèrent avec sa faune et sa flore. La fertilité du sol qui est un atout, permet aux populations de se lancer dans les cultures de rentes (cacao et café) et les cultures vivrières. Les guerres tribales et les migrations des peuples ont fait de Nanga Eboko une ville cosmopolite.

Comme toute communauté villageoise, le peuple Nanga célèbre chaque mois de juin sa diversité culturelle grâce à son festival Nkon Ngon. Pendant deux semaines, les fils et les filles de la Haute Sanaga font parler leur culture. Pour exemple, la consommation et la préparation du Mbol. C’est un mélange de courges de pistache, avec quelques épices et du poisson qu’on surnomme le Kanga, le tout noyé dans une sauce gluante bien pimentée. Ca passe bien avec du couscous de manioc et un bon Matango bien frais.

Nanga Eboko c’est aussi un pan de l’histoire pré-coloniale du Cameroun. La forte présence d’une architecture de type germanique, donne un grand aperçu de ce que représentait cette ville pour les Allemands. La même architecture qui rappelle les lieux historiques à Bonanjo dans la ville de Douala. On n’oublie pas les chutes de Nachtigal qui offre un panorama époustouflant, quand on se retrouve à Nanga Eboko.
A l’origine de ce nom, l’histoire d’un redoutable chef guerrier nommé Nanga Eboko.Pourchassé, traqué par les Yezum, Nanga Eboko se réfugie chez le chef Yebekanga.Profitant de l’hospitalité que lui offre ce dernier, il va prendre pour épouse l’une de ses fille
Alain Web-creator
1 mois depuis
Play-offs down Mtn Elite One : Day 7

⚽ Bamboutos de Mbouda vs Aigle Royal de la Menoua

But: Boris Katche à la 2ème minute.
Bamboutos vs Aigle (1-0)

But: William Ekanga Lobe à la 83ème minute
Bamboutos vs Aigle (1-1)

#playoffsmtnelite2024
#Playdown
#Fecafoot
Alain Web-creator
7 mois depuis
Le Musée Ethnographique et d’Histoire des Peuples de la forêt d’Afrique centrale

Le Saviez vous ?

L'une des grandes figures de l'histoire africaine s'appelle Ahmose-Nefertari.

Ahmès-Néfertary est l'épouse et probablement la sœur du pharaon Ahmôsis Ier (nom grec de Iâhmes, ou Ahmose), fondateur de la XVIIIe dynastie. Elle est qualifiée de fille royale, sœur royale, grande épouse royale sur les stèle de la donation et stèle de Maasara.

Elle nous vient de la glorieuse 18e famille royale de Kmt (Égypte ancienne). C'est une femme africaine distinguée, peinte rituellement en noir. Elle représente le rajeunissement et la résurrection.

Le nom Kmt est de plus en plus souvent utilisé pour désigner l'Égypte ancienne. Kmt signifie "la ville noire" ou "la communauté noire". Dans le langage hiéroglyphique de Kmt, le Medu Neter, tel que je le comprends, le symbole était un morceau de bois carbonisé.

Je suis très à l'aise avec l'utilisation du terme "Noir". J'utilise Noir, en majuscules, pour décrire les peuples d'Afrique. C'est un terme ethnique et culturel.

Je suis aussi à l'aise avec le mot "Noir" qu'avec les termes "Afrique" et "Africain".

Tout le monde n'aime pas le mot "Noir". Moi, je l'aime. Tout le monde n'aime pas les mots "Afrique" et "Africain". Moi, je les aime. Je pense que c'est le meilleur nom pour la mère patrie et son peuple. J'utilise les deux mots, Noir et Afrique(n), et je suis à l'aise avec les deux. Tout comme il m'arrive d'alterner entre Kmt et Égypte ancienne. Je suis à l'aise avec les deux.

#musée #histoire #Beti #ethnographique #peupledesforets #Afrique #Cameroun #Yaounde #theresefouda #tradition #FANG #Ekan #Ekang
Alain Web-creator
7 mois depuis
**Les Mekès me komo (dit fang de l’Estuaire), les fang de l’ogooué maritime, du moyen ogooué, les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), les Eshiras, les tsogo de l’Estuaire, l’Ogooué maritime, le moyen Ogooué voir l’ogooué Ivindo viennent du Royaume Fang avant l’annexion de nos terres par les colons français et allemand.**

## L’HISTOIRE DE NOS PEUPLES SE TROUVE DANS NOS ARBRES GENEALOGIQUES, LES NOMS DE NOS COURS D’EAUX, LES NOMS DE NOS FORETS ET BIEN D’AUTRES

Les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), Tsogo, Eshiras et bien d’autres viennent de la région de KOMO.

Pour rappel, l’Omyéné est une langue Bekuign (fancisé couchite) que les Ekang avaient trouvé à Ondzambo’a (francisé grande corne d’Afrique). La généalogie Mpongwé débouche par l’ancêtre Mimbé ou Meba (un autre nom de Mvae). Mimbé est le nom liturgique chez les Mpongwé. Mimbé est un mélange entre Mvae et Bekuign (Ngwe-myéné). Ils sont matrilinéaires et prennent le nom liturgique de leur mère Mimbé (symbolise Angono Ntum).

A l’origine Komo est un groupe ethnie et non une rivière, on les appelle aussi les Kwaras. Le royaume Fang fût créé en 1504 par le roi NDONG MBA de la tribu OVANG. Le royaume FANG couvrait le Soudan moderne, le Sud-Soudan et l’Etat régional Bishangui Ngumu de l’empire d’Ethiopie. Les KOMO vivaient à l’Etat Régional Bishangui Ngumu.

**Comment les Ekang (de la lignée Mvae) sont venus les retrouver ?**

Quand une branche des Ekang quitta So’o à Somaliland, ils sont venus rester à Araala au sawa en Ethiopie centrale actuelle ADDIS ABEBA.

En 1606 quand tsira MEYONG MEYEME (alias Susynos) devint Empereur de l’empire d’Ethiopie, il va commencer à nommer ses frères dans plusieurs royaumes pour consolider son pouvoir. C’est ainsi qu’il va envoyer son grand frère le Général (BIZAMACK) MEKÈ ME QARA de la tribu ESOKÈ représenter le gouvernement central dans le royaume Fang. Le royaume du Fang se compose de 2 grande communautés, la communauté d’AMIASI dit AMIASI FANG qu’on trouve les OVANG et la maison KOMO qu’on trouve MESANA Me FANG qu’on trouve les Ngwe-myéné. Arriver au royaume Fang, le Général MEKÈ va combattre une rébellion au royaume Fang (les Ovang étaient des rebelles), constatant que le roi de la dynastie OVANG n’était pas en phase avec les orientations de l’administration centrale, il va déposer le Roi et l’éliminer.

Il s’autoproclame Roi du royaume FANG avec son ***** re de BIZAMACK (général en français). Ceci va attirer une grande rivalité chez les OVANG. Le général MEKÈ ME QARA va déplacer la capitale de la ville de TSINGA à MEKORA dans le royaume de NGO’O ZANG des Angono Mvae. Le royaume de NGO’O ZANG va fusionner avec le royaume du Fang et devenir un seul Royaume. Quand la guerre de 1616 (guerre de 1616-1630) éclate entre l’église orthodoxe copte d’Ethiopie dit ELAATE-QOBA et l’église catholique romaine car l’empire de Rome voulait annexer L’Empire de l’Ethiopie, le général MEKÈ ME QARA ayant déjà l’expérience d’avoir mater la rébellion, stabiliser et unifier la région, va réunir ses troupes pour chasser les troupes romaines qui voulaient annexer l’empire Ethiopien et installer l’Eglise catholique de Rome.

Le général MEKÈ va faire venir les membres de sa communauté Ekang (Mvae) dans le royaume du Fang en même temps il va épouser les femmes de la communauté Komo c’est cette coalition qui prit le nom « MEKÈ ME KOMO ». En mémoire de la région KOMO de l’ancien royaume du FANG, ils sont venus baptiser le fleuve KOMO qui se trouve dans l’Estuaire du GABON.

Quand les #KOMO (Ngwe-Myénés et autres) arrivent dans l’estuaire du Gabon ils étaient déjà métissés et plus tard l’arrivé des MEKÈ a été très facile car ils se connaissaient déjà depuis le royaume FANG et ils sont tous #FANG de par l’appartenance dans le passé d’un même Royaume.

Les Mimbés ou Memba ou encore Meba sont dans le grand ensemble KOMO, ils parlent la langue maternelle Bekuign (couchite) ou omyéné et MEKÈ parle Atsi.

Les Ngwe-Myéné ou Omyénés du côté du cameroun leur langue s’appelle « Bongo » que les européens ont surnommé « Duala ou Batanga » et de Campo (cameroun) à Libreville en passant par la guinée Equatoriale parlent « Tù-Kele ou Akele » qu’on appelle aussi « BEYOK » ce sont les Yassa, Benga, Mpongwé, Kombé etc. qui en parlent.

C’est la restauration de notre vrai histoire et non ce que les européens ont écrit sur nous pour nous réduire à des sous-hommes qui n'avaient aucune valeur et qui ont découvert les lumières du développement grâce à eux.

Merci à tous et surtout modzang Tata Motto Motto pour les données des archives de la métropole

By #JOHN_OBOUNOU **
Président Génération EKANG**

**Cellule ESTUAIRE**
Alain Web-creator
8 mois depuis
Hommage à Emile Kangué

L’oubli est la ruse du diable !

Auteur-compositeur, chanteur, bassiste et producteur, Emile Kangue est une figure importante du Makossa. Il a été membre du groupe Black Styl aux côtés d'autres figures du Makossa tels que Nkotti François ou Toto Guillaume.

Il est fait partie des premiers artistes camerounais à exceller dans la basse on lui prédisait même un brillant avenir en tant que bassiste tant le jeune homme était doué. Son jeu de basse a inspiré plusieurs générations de jeunes bassistes parmi lesquels Kotto Bass par exemple.

C’est à la chorale qu’il apprend le chant. Après cela, il intègre l’orchestre scolaire, Les Bandeaux noirs. Confronté à la sévérité de ses parents qui considèrent la musique comme une « affaire de voyous », Emile Kangue est obligé de sortir clandestinement par la fenêtre, bravant ainsi l’interdiction parentale pour aller ****** ister aux répétitions de l’orchestre. Le groupe se produit dans plusieurs bars de la ville : Ration Bar, Canne à sucre bar, Ambiance Bar etc.

Il va rejoindre des années plus tard le groupe Black Styl fondé par Nkotti François au Davum bar à Bonakouamouang en tant que bassiste [[le propriétaire du bar s'appelait Toto Ekangué]].

Le groupe est alors composé de Nkotti François au chant, Toto Guillaume à la guitare solo, Essombè Enyawé Antoine à la batterie, Emile Kangué à la basse. Avec ce groupe, il va participer à l’une des plus belles aventures de l’histoire de la musique Camerounaise.

En 1980, il sort l’album Dikom Lam La Moto (Mon très cher ami). Le succès est au rendez-vous. L’album s'écoule à plus de 50 000 exemplaires, ce qui lui a valu un disque d'or au Cameroun avec la maison de disque Africa Oumba dont le directeur était Wonga Jules.

On lui doit des ****** res à succès comme Tube nie bobe (1983), Sele dutea (1984), Douala infos (1988), Halom (1988), Je plains ton sort (1990), Mumi, Jombe di Telame (1995), Tet'Ekombo.

#Emile_Kangué est un homme très doux mais lorsqu’on se frotte à lui, on s’y pique. Ceinture noire de karaté 4ème dan, il sait faire taire les emmerdeurs. Sa bonne humeur légendaire est contagieuse ; il n’hésite pas volontiers de balancer quelques blagues pour détendre l’atmosphère.

Quelle est votre chanson préférée d’Emile Kangué ?

Je dresse la portrait d’Emile Kangué dans mon livre « les icônes de la musique camerounaise ».

https://youtube.com/emile...

⭐ By Arol KETCH - 27.09.2023
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