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Alain Web-creator
**Les Mekès me komo (dit fang de l’Estuaire), les fang de l’ogooué maritime, du moyen ogooué, les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), les Eshiras, les tsogo de l’Estuaire, l’Ogooué maritime, le moyen Ogooué voir l’ogooué Ivindo viennent du Royaume Fang avant l’annexion de nos terres par les colons français et allemand.**

## L’HISTOIRE DE NOS PEUPLES SE TROUVE DANS NOS ARBRES GENEALOGIQUES, LES NOMS DE NOS COURS D’EAUX, LES NOMS DE NOS FORETS ET BIEN D’AUTRES

Les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), Tsogo, Eshiras et bien d’autres viennent de la région de KOMO.

Pour rappel, l’Omyéné est une langue Bekuign (fancisé couchite) que les Ekang avaient trouvé à Ondzambo’a (francisé grande corne d’Afrique). La généalogie Mpongwé débouche par l’ancêtre Mimbé ou Meba (un autre nom de Mvae). Mimbé est le nom liturgique chez les Mpongwé. Mimbé est un mélange entre Mvae et Bekuign (Ngwe-myéné). Ils sont matrilinéaires et prennent le nom liturgique de leur mère Mimbé (symbolise Angono Ntum).

A l’origine Komo est un groupe ethnie et non une rivière, on les appelle aussi les Kwaras. Le royaume Fang fût créé en 1504 par le roi NDONG MBA de la tribu OVANG. Le royaume FANG couvrait le Soudan moderne, le Sud-Soudan et l’Etat régional Bishangui Ngumu de l’empire d’Ethiopie. Les KOMO vivaient à l’Etat Régional Bishangui Ngumu.

**Comment les Ekang (de la lignée Mvae) sont venus les retrouver ?**

Quand une branche des Ekang quitta So’o à Somaliland, ils sont venus rester à Araala au sawa en Ethiopie centrale actuelle ADDIS ABEBA.

En 1606 quand tsira MEYONG MEYEME (alias Susynos) devint Empereur de l’empire d’Ethiopie, il va commencer à nommer ses frères dans plusieurs royaumes pour consolider son pouvoir. C’est ainsi qu’il va envoyer son grand frère le Général (BIZAMACK) MEKÈ ME QARA de la tribu ESOKÈ représenter le gouvernement central dans le royaume Fang. Le royaume du Fang se compose de 2 grande communautés, la communauté d’AMIASI dit AMIASI FANG qu’on trouve les OVANG et la maison KOMO qu’on trouve MESANA Me FANG qu’on trouve les Ngwe-myéné. Arriver au royaume Fang, le Général MEKÈ va combattre une rébellion au royaume Fang (les Ovang étaient des rebelles), constatant que le roi de la dynastie OVANG n’était pas en phase avec les orientations de l’administration centrale, il va déposer le Roi et l’éliminer.

Il s’autoproclame Roi du royaume FANG avec son ***** re de BIZAMACK (général en français). Ceci va attirer une grande rivalité chez les OVANG. Le général MEKÈ ME QARA va déplacer la capitale de la ville de TSINGA à MEKORA dans le royaume de NGO’O ZANG des Angono Mvae. Le royaume de NGO’O ZANG va fusionner avec le royaume du Fang et devenir un seul Royaume. Quand la guerre de 1616 (guerre de 1616-1630) éclate entre l’église orthodoxe copte d’Ethiopie dit ELAATE-QOBA et l’église catholique romaine car l’empire de Rome voulait annexer L’Empire de l’Ethiopie, le général MEKÈ ME QARA ayant déjà l’expérience d’avoir mater la rébellion, stabiliser et unifier la région, va réunir ses troupes pour chasser les troupes romaines qui voulaient annexer l’empire Ethiopien et installer l’Eglise catholique de Rome.

Le général MEKÈ va faire venir les membres de sa communauté Ekang (Mvae) dans le royaume du Fang en même temps il va épouser les femmes de la communauté Komo c’est cette coalition qui prit le nom « MEKÈ ME KOMO ». En mémoire de la région KOMO de l’ancien royaume du FANG, ils sont venus baptiser le fleuve KOMO qui se trouve dans l’Estuaire du GABON.

Quand les #KOMO (Ngwe-Myénés et autres) arrivent dans l’estuaire du Gabon ils étaient déjà métissés et plus tard l’arrivé des MEKÈ a été très facile car ils se connaissaient déjà depuis le royaume FANG et ils sont tous #FANG de par l’appartenance dans le passé d’un même Royaume.

Les Mimbés ou Memba ou encore Meba sont dans le grand ensemble KOMO, ils parlent la langue maternelle Bekuign (couchite) ou omyéné et MEKÈ parle Atsi.

Les Ngwe-Myéné ou Omyénés du côté du cameroun leur langue s’appelle « Bongo » que les européens ont surnommé « Duala ou Batanga » et de Campo (cameroun) à Libreville en passant par la guinée Equatoriale parlent « Tù-Kele ou Akele » qu’on appelle aussi « BEYOK » ce sont les Yassa, Benga, Mpongwé, Kombé etc. qui en parlent.

C’est la restauration de notre vrai histoire et non ce que les européens ont écrit sur nous pour nous réduire à des sous-hommes qui n'avaient aucune valeur et qui ont découvert les lumières du développement grâce à eux.

Merci à tous et surtout modzang Tata Motto Motto pour les données des archives de la métropole

By #JOHN_OBOUNOU **
Président Génération EKANG**

**Cellule ESTUAIRE**
7 mois depuis

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