4 mois depuis
Yaoundé 🇨🇲
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
4 mois depuis
#BANDJOUN ET SON HISTOIRE RESUMEE....
1. NOTCHWEGOM
2. - DU’GNECHOM
3. - NOTOUOM I
4. - NOTOUOM(1525-1575)
5. - NOTOUOM III(1575-1625)
6. - BADHEPA (quelques jours)
7. – KAPTO(1625-1675)
8. - KAPTUE(1675-1775)
9. - KAMGAI(1775-1825)
10. - FOTSO I (1825-1875)
11. - FOTSO II (1875-1925)
12. - KAMGA II(1925-1975)
13. - FOTUE KAMGA(1975-1984)
14. - NGNIE KAMGA(1984-2004)
15. - DR DJOMO KAMGA(depuis 2004)
Il faut donc noter que lorsque le premier Chef Bandjoun appelé #NOTCHWEGOM (venu de Baleng avec son frère WAfo qui plus tard ira fonder le village Balengou), La région était boisée et giboyeuse et était divisée en de nombreuses petites chefferies rivales : telles que Dioubou. M ou'We, Soun. Moudjo. Bem. Wc. En tant que bon Chasseur, il n’a pas eu de mal à flatter les autres petits chefs et s’imposera en achetant beaucoup d’esclaves.
IL créa la société Secret "majon" pour encadrer les jeunes et les entraîner à la guerre. ce qui le rendait très puissant et craint. et menais beaucoup de conquêtes.
le 7ieme Roi appelé KAPTO aussi était très rusé et intelligent et utilisait sont intelligence pour vaincre les autres royaume et agrandir Bandjoun;
... Avec le temps, le royaume s’est tellement agrandi et devenu fort, au point que le 9ime ROI appelé Kamgue1 amplifia la politique impérialiste tout autour de Bandjoun. Il combat Bameka et Bamoungoum puis surtout le royaume Bamoum alors dirigé par le grand roi Mboumboué. et il a vaincu les Bamoun (il a été quasiment le seul à vaincre l'armée Bamoun). a tel point que il a eu un titre de "AMI EGAL DU ROI BAMOUm = SOFOACHIO. et il ya eu des accords de non agression entre les deux peuple; si vous allez ver SEDEMBON, vous allez voir que beaucoup de maman labas étaient des filles Bamoun, soit volés soient offert par le sultan.
Fotso 1er fut ensuite un grand chef de guerre. Il soumit Badenkop, combattit #Baloufam et #Baham , #Bangon et #Bayamsam . A chaque fois, les guerriers de Bandjoun rapportaient des prises de guerre. Par exemple le gros tambour de cérémonie de Bangon qui resta longtemps sur la place du marché.
Fotso II (10ieme rois) poursuivit la politique de son père mais dut renoncer à l'arrivée des Allemands vers 1905. A cette époque, au tout début du XXè siècle, Bandjoun contrôlait Bahouang, Batoufam, Bandrefam, Bagang Fokam, Badenkop, Bapa, Bayangam et vingt autres chefferies plus petites. (Famla, Dembon, Mvu, Moudjou, etc)
..... le Village appelé aujourd'hui Kouoptamo à Foumban faissait partie de bandjoun à l'époque.
...... il faut aussi noter que que Plusieurs chefs ne sont pas mis dans la liste officielle; par exemple successeurs de Kapto ne sont pas reconnus dans la généalogie royale, (Entre le 7ième Roi et le 8ieme) il y a plusieurs qui ne sont pas mentionnés car certains étant morts "le ventre gonflé" (signe de grand malheur chez les Bandjoun) ou brûlé...
......Mais, ce faisant, les Bandjoun et son FO tombèrent peu à peu sous la Domination allemande, missionnaires, enseignants et infirmiers vinrent et s'intéressèrent de près aux coutumes. ..
Malgré tout, le ROI Fotso II (11ieme roi) était pro allemand (Au point oi il avait donné son Fils Kamgua qui a été formé, et baptisé par les allemands à BANA au point de prendre le prénom de JOSEPH) et la première Eglise Catholique fut construite à l’entrée du Palais Bandjoun.....
.....A la fin de la Première guerre de 1914-1918, il eut bien entendu des ennuis avec les Français venus à la place des Allemands. Bandjoun fut brimé : l'autorité du FO est réduite, beaucoup de sous chefferies sont rendues indépendantes (Bangang Fokam et Badenkop dès 1916 ; Batoufam en 1922, Badrefam en 1924 ; Bayangam, Bapa et Bahouang peu après. Le chef était tellement enervé qu’il a envoué les missionnaires Français Evangéliques Loin à Mbieng 2 ; loin de sa chefferie (un moyen aussi pour que les terre de Mbieng ne soient pas remis au Bafoussam...
...En 1925, la succession de Fotso II posa des problèmes. Les autorités Françaises imposèrent leur candidat contre celui soutenu par les Notables. Kamgue Il ou Kamga Il devint le 12ieme FO malgré tout et son règne dura 50 années, jusqu'en 1975. Le calme revint à Bandjoun, le candidat évincé et réfugié à Foumban et à Bana (Appelé BOPDA), laissa Kamgue exercer le pouvoir ; il revint même s’installer à Bandjoun à MBOUO (non loin de YOM) comme chef coutumier et prit le titre de wafo
...Par exemple, un chef nommé Fodépa
(c'est-à-dire "celui qui cultive le tabac" ou "qui est enterré près d'un champ de tabac") a régné sur Bandioun sous le nom de Notuégom II.
Certains informateurs affirment qu'il était le fils de Dyugnechom et qu'il a régné avant Kapto. Comme il est mort "le ventre gonflé'' (signe de malheur à Bandjoun), on ne put le compter parmi les souverains.........
👍 Source: Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
1. NOTCHWEGOM
2. - DU’GNECHOM
3. - NOTOUOM I
4. - NOTOUOM(1525-1575)
5. - NOTOUOM III(1575-1625)
6. - BADHEPA (quelques jours)
7. – KAPTO(1625-1675)
8. - KAPTUE(1675-1775)
9. - KAMGAI(1775-1825)
10. - FOTSO I (1825-1875)
11. - FOTSO II (1875-1925)
12. - KAMGA II(1925-1975)
13. - FOTUE KAMGA(1975-1984)
14. - NGNIE KAMGA(1984-2004)
15. - DR DJOMO KAMGA(depuis 2004)
Il faut donc noter que lorsque le premier Chef Bandjoun appelé #NOTCHWEGOM (venu de Baleng avec son frère WAfo qui plus tard ira fonder le village Balengou), La région était boisée et giboyeuse et était divisée en de nombreuses petites chefferies rivales : telles que Dioubou. M ou'We, Soun. Moudjo. Bem. Wc. En tant que bon Chasseur, il n’a pas eu de mal à flatter les autres petits chefs et s’imposera en achetant beaucoup d’esclaves.
IL créa la société Secret "majon" pour encadrer les jeunes et les entraîner à la guerre. ce qui le rendait très puissant et craint. et menais beaucoup de conquêtes.
le 7ieme Roi appelé KAPTO aussi était très rusé et intelligent et utilisait sont intelligence pour vaincre les autres royaume et agrandir Bandjoun;
... Avec le temps, le royaume s’est tellement agrandi et devenu fort, au point que le 9ime ROI appelé Kamgue1 amplifia la politique impérialiste tout autour de Bandjoun. Il combat Bameka et Bamoungoum puis surtout le royaume Bamoum alors dirigé par le grand roi Mboumboué. et il a vaincu les Bamoun (il a été quasiment le seul à vaincre l'armée Bamoun). a tel point que il a eu un titre de "AMI EGAL DU ROI BAMOUm = SOFOACHIO. et il ya eu des accords de non agression entre les deux peuple; si vous allez ver SEDEMBON, vous allez voir que beaucoup de maman labas étaient des filles Bamoun, soit volés soient offert par le sultan.
Fotso 1er fut ensuite un grand chef de guerre. Il soumit Badenkop, combattit #Baloufam et #Baham , #Bangon et #Bayamsam . A chaque fois, les guerriers de Bandjoun rapportaient des prises de guerre. Par exemple le gros tambour de cérémonie de Bangon qui resta longtemps sur la place du marché.
Fotso II (10ieme rois) poursuivit la politique de son père mais dut renoncer à l'arrivée des Allemands vers 1905. A cette époque, au tout début du XXè siècle, Bandjoun contrôlait Bahouang, Batoufam, Bandrefam, Bagang Fokam, Badenkop, Bapa, Bayangam et vingt autres chefferies plus petites. (Famla, Dembon, Mvu, Moudjou, etc)
..... le Village appelé aujourd'hui Kouoptamo à Foumban faissait partie de bandjoun à l'époque.
...... il faut aussi noter que que Plusieurs chefs ne sont pas mis dans la liste officielle; par exemple successeurs de Kapto ne sont pas reconnus dans la généalogie royale, (Entre le 7ième Roi et le 8ieme) il y a plusieurs qui ne sont pas mentionnés car certains étant morts "le ventre gonflé" (signe de grand malheur chez les Bandjoun) ou brûlé...
......Mais, ce faisant, les Bandjoun et son FO tombèrent peu à peu sous la Domination allemande, missionnaires, enseignants et infirmiers vinrent et s'intéressèrent de près aux coutumes. ..
Malgré tout, le ROI Fotso II (11ieme roi) était pro allemand (Au point oi il avait donné son Fils Kamgua qui a été formé, et baptisé par les allemands à BANA au point de prendre le prénom de JOSEPH) et la première Eglise Catholique fut construite à l’entrée du Palais Bandjoun.....
.....A la fin de la Première guerre de 1914-1918, il eut bien entendu des ennuis avec les Français venus à la place des Allemands. Bandjoun fut brimé : l'autorité du FO est réduite, beaucoup de sous chefferies sont rendues indépendantes (Bangang Fokam et Badenkop dès 1916 ; Batoufam en 1922, Badrefam en 1924 ; Bayangam, Bapa et Bahouang peu après. Le chef était tellement enervé qu’il a envoué les missionnaires Français Evangéliques Loin à Mbieng 2 ; loin de sa chefferie (un moyen aussi pour que les terre de Mbieng ne soient pas remis au Bafoussam...
...En 1925, la succession de Fotso II posa des problèmes. Les autorités Françaises imposèrent leur candidat contre celui soutenu par les Notables. Kamgue Il ou Kamga Il devint le 12ieme FO malgré tout et son règne dura 50 années, jusqu'en 1975. Le calme revint à Bandjoun, le candidat évincé et réfugié à Foumban et à Bana (Appelé BOPDA), laissa Kamgue exercer le pouvoir ; il revint même s’installer à Bandjoun à MBOUO (non loin de YOM) comme chef coutumier et prit le titre de wafo
...Par exemple, un chef nommé Fodépa
(c'est-à-dire "celui qui cultive le tabac" ou "qui est enterré près d'un champ de tabac") a régné sur Bandioun sous le nom de Notuégom II.
Certains informateurs affirment qu'il était le fils de Dyugnechom et qu'il a régné avant Kapto. Comme il est mort "le ventre gonflé'' (signe de malheur à Bandjoun), on ne put le compter parmi les souverains.........
👍 Source: Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
5 mois depuis
Jean-Marc Ela 🛑
Jean-Marc Ela, né Jean Etoa le 27 septembre 1936 à Ebolowa, chef-lieu de la région du Sud Cameroun et mort le 26 décembre 2008 à Vancouver (Canada), est un prêtre catholique du diocèse d'Ebolowa, universitaire, sociologue, anthropologue et théologien camerounais. Issu d'une famille de la classe moyenne, l'abbé Ela, pensait que la théologie devait être adaptée aux besoins et croyances locales. Il est une figure marquante de la théologie de la libération en Afrique et il a laissé une contribution importante pour la sociologie et les sciences sociales africaines.
Menacé de mort à cause de sa persévérance à vouloir faire la lumière sur l'assassinat en 1995 du père jésuite Engelbert Mveng, un historien et théologien camerounais, il s'exile au Canada.
Il demande l'asile à la fin d'un séjour à Hull où il participait à un colloque organisé par l'Association internationale de pédagogie universitaire (AIPU). Installé à Montréal, il a enseigné et pris part à différentes activités de recherche dans trois universités : l'Université Laval, l'Université du Québec à Montréal et l'Université de Montréal. Il a également enseigné comme professeur invité dans plusieurs universités en Europe, notamment à l'université catholique de Louvain en Belgique.
Il est décédé à Vancouver le 26 décembre 2008 à l'âge de 72 ans.
Quels souvenirs gardez vous de lui ?
Jean-Marc Ela, né Jean Etoa le 27 septembre 1936 à Ebolowa, chef-lieu de la région du Sud Cameroun et mort le 26 décembre 2008 à Vancouver (Canada), est un prêtre catholique du diocèse d'Ebolowa, universitaire, sociologue, anthropologue et théologien camerounais. Issu d'une famille de la classe moyenne, l'abbé Ela, pensait que la théologie devait être adaptée aux besoins et croyances locales. Il est une figure marquante de la théologie de la libération en Afrique et il a laissé une contribution importante pour la sociologie et les sciences sociales africaines.
Menacé de mort à cause de sa persévérance à vouloir faire la lumière sur l'assassinat en 1995 du père jésuite Engelbert Mveng, un historien et théologien camerounais, il s'exile au Canada.
Il demande l'asile à la fin d'un séjour à Hull où il participait à un colloque organisé par l'Association internationale de pédagogie universitaire (AIPU). Installé à Montréal, il a enseigné et pris part à différentes activités de recherche dans trois universités : l'Université Laval, l'Université du Québec à Montréal et l'Université de Montréal. Il a également enseigné comme professeur invité dans plusieurs universités en Europe, notamment à l'université catholique de Louvain en Belgique.
Il est décédé à Vancouver le 26 décembre 2008 à l'âge de 72 ans.
Quels souvenirs gardez vous de lui ?
5 mois depuis
Prions pour le Procès en béatification du frère Jean-Thierry EBOGO. 🙏☦️
La Vie de frère Jean-Thierry de l’Enfant-Jésus et de la Passion - Carme Déchaux (1982 - 2006) 🛐
Jean Thierry Ebogo est né le 4 février 1982, dans une famille pieuse et fervente du nord-ouest du Cameroun. Dès son plus jeune âge, il manifeste le désir de devenir prêtre.
Après une brève expérience chez les Oblats de Marie-Immaculée, le jeune religieux entre au carmel Sainte-Thérèse de Nkoabang.
Il s’épanouit dans cette vie religieuse contemplative où il découvre les écrits de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et sa « petite voie ». On lui confie les charges d’animateur de groupes de prière, de jeunesse et d’Action catholique.
Mais c’est la maladie qui révéla au grand jour la profondeur de sa vie spirituelle. En effet, atteint d’un cancer aux os, il dût accepter de se faire amputer la jambe droite. Ce qu’il fit avec une grande foi, « l’offrant au Seigneur ».
Il mourut à 23 ans, en 2006, dans la région de Milan, où les cliniques italiennes purent assurer un suivi médical et ralentir le progès de la maladie.
Sa chambre d’hôpital devint un lieu de rencontre de laïcs et de consacrés qui trouvaient, au contact de ce frère qui avait décidé d’offrir ses souffrances pour la rédemption du monde, un vrai réconfort.
Le film a été produit à l’occasion de l’ouverture de son procès en béatification.
Divisé en chapitres, s’appuyant sur des images d’archives et les écrits du jeune carme, le documentaire ambitionne de dresser un portrait fidèle du serviteur de Dieu devenu en religion : Jean-Thierry l’Enfant-Jésus et de la Passion.
Jean Thierry de l’Enfant Jésus et de la Passion - Une production de la Délégation des Frères Carmes Déchaux du Cameroun 2019 - Réalisée par frère Marie Joseph Dol et Abomo Amugu Basile
*Prochaines diffusions à la TV KTO*
le lundi 15 juillet 2024 à 20:35
le mardi 16 juillet 2024 à 0:42
le mardi 16 juillet 2024 à 12:20
le jeudi 18 juillet 2024 à 11:00
le vendredi 19 juillet 2024 à 13:15
le samedi 20 juillet 2024 à 14:37
#Catholique_pour_la_vie
La Vie de frère Jean-Thierry de l’Enfant-Jésus et de la Passion - Carme Déchaux (1982 - 2006) 🛐
Jean Thierry Ebogo est né le 4 février 1982, dans une famille pieuse et fervente du nord-ouest du Cameroun. Dès son plus jeune âge, il manifeste le désir de devenir prêtre.
Après une brève expérience chez les Oblats de Marie-Immaculée, le jeune religieux entre au carmel Sainte-Thérèse de Nkoabang.
Il s’épanouit dans cette vie religieuse contemplative où il découvre les écrits de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et sa « petite voie ». On lui confie les charges d’animateur de groupes de prière, de jeunesse et d’Action catholique.
Mais c’est la maladie qui révéla au grand jour la profondeur de sa vie spirituelle. En effet, atteint d’un cancer aux os, il dût accepter de se faire amputer la jambe droite. Ce qu’il fit avec une grande foi, « l’offrant au Seigneur ».
Il mourut à 23 ans, en 2006, dans la région de Milan, où les cliniques italiennes purent assurer un suivi médical et ralentir le progès de la maladie.
Sa chambre d’hôpital devint un lieu de rencontre de laïcs et de consacrés qui trouvaient, au contact de ce frère qui avait décidé d’offrir ses souffrances pour la rédemption du monde, un vrai réconfort.
Le film a été produit à l’occasion de l’ouverture de son procès en béatification.
Divisé en chapitres, s’appuyant sur des images d’archives et les écrits du jeune carme, le documentaire ambitionne de dresser un portrait fidèle du serviteur de Dieu devenu en religion : Jean-Thierry l’Enfant-Jésus et de la Passion.
Jean Thierry de l’Enfant Jésus et de la Passion - Une production de la Délégation des Frères Carmes Déchaux du Cameroun 2019 - Réalisée par frère Marie Joseph Dol et Abomo Amugu Basile
*Prochaines diffusions à la TV KTO*
le lundi 15 juillet 2024 à 20:35
le mardi 16 juillet 2024 à 0:42
le mardi 16 juillet 2024 à 12:20
le jeudi 18 juillet 2024 à 11:00
le vendredi 19 juillet 2024 à 13:15
le samedi 20 juillet 2024 à 14:37
#Catholique_pour_la_vie
8 mois depuis
Biographie de Monseigneur Albert DONGMO.
🔰 Formation et débuts.
Albert Ndongmo est élève au petit séminaire de Melong puis au grand séminaire de Mvolyé. Il est ordonné prêtre le 21 décembre 1955 puis nommé évêque de Nkongsamba (Cameroun) le 16 juin 1964, succédant à Mgr Paul Bouque, fonction à laquelle il renoncera le 29 janvier 1973.
🔰Carrière de Monseigneur Albert DONGMO
Mungo-Plastique est une société fondée par Mgr Ndongmo pour la fabrication d’objets en matière plastique et dirigée. Elle est dirigée par Yves Verbeek, un belge.
En 1957, il est professeur du petit séminaire de #Melong , où il fut élève, et aumônier diocésain de l'action catholique. Il lance, en 1960, le journal l'Essor des jeunes où il enseigne le civisme, proclame ses idées et ses convictions en matière de développement, ainsi que ses propositions sur les politiques de l'heure. Son action s'inscrit dans la recherche du bien-être social, du développement et de la paix pour ses citoyens. Le journal doit cependant faire face à la censure.
🔰Militantisme politique
Ses prêches, qui attirent généralement une foule considérable, sont pour lui l'occasion de critiquer le fonctionnement du régime. S'il prend garde de ne jamais attaquer frontalement le président Ahidjo, il dénonce en revanche la corruption et la brutalité de ses collaborateurs. Le pouvoir cherche néanmoins dans un premier temps à exploiter la popularité du prélat pour pacifier la région, des maquis de l'UPC y étant encore implantés. Ainsi, il est désigné comme intermédiaire avec le chef rebelle Ernest Ouandié.
Au cours du concile Vatican II, le 16 octobre 1965, il intervient sur le ministère et la vie sacerdotale du prêtre. Il se voit également confier la tâche de s'occuper des étudiants catholiques africains en formation en Europe. Il se trouve notamment en contact avec l'organisation clandestine Solidarité, dirigée par le militant communiste et tiers-mondiste Henri Curiel. Le groupe Solidarité organise la venue en France de Nicanor Njawué, le représentant de l'UPC à Alger, pour lui permettre de prendre directement contact avec Albert Ndongmo afin de constituer un « front antifasciste » unissant l'UPC aux catholiques opposés à Ahidjo.
🔰Arrestation et procès de Mgr Albert Ndongmo
Les services de renseignement français et camerounais comprennent rapidement qu'Albert Ndongmo n'est plus un simple « intermédiaire », mais bien un militant pro-UPC, et choisissent de l'utiliser pour éliminer Ouandié et ses compagnons. Espionnant les moindres gestes de l’évêque, les services de sécurité du gouvernement camerounais localisent le maquis de Ouandié. Peu avant l’opération destinée à neutraliser ce dernier, Ndongmo est opportunément rappelé à Rome ; le Saint-Siège, alerté sur l'engagement de l'évêque aux côtés des rebelles, voulant éviter le déshonneur qu'impliquerait l'arrestation et la condamnation de l'un de ses représentants pour collaboration avec une guérilla souvent décrite comme communiste. Ndongmo retourne pourtant au Cameroun et est arrêté le 27 aout 1970.
🚨 Des dizaines « d'opposants », ou supposés tels, non liés à la rébellion, sont également arrêtés dans les jours ou semaines qui suivent le démantèlement du maquis d'Ernest Ouandié. À l'exception d'Albert Ndongmo, protégé par son statut d’évêque, tous les prisonniers sont torturés à la gégène, à la « balançoire » ou à la « baignoire ». Mgr Ndongmo est toutefois spécifiquement ciblé par une campagne de dénigrement qui lui prête notamment des relations avec de prétendues maitresses.
En France, la plupart des grands médias (AFP, Le Monde...) reproduisent sans recul la version présentée par le gouvernement d'Ahmadou Ahidjo. En revanche, le réseau Solidarité d'Henri Curiel se montre très actif, mobilisant avocats et intellectuels pour tenter d'organiser la défense juridique et médiatique des accusés, et approchant des diplomates français pour les convaincre d'intervenir.
Condamné à mort par le tribunal, sa peine est ensuite commuée par Ahmadou Ahidjo en détention à vie dans un « camp de rééducation civique » (Ernest Ouandié est quant à lui exécuté). Il est finalement libéré en 1975 et s'exile au Canada.
🚩 source: https://fr.wikipedia.org/w...
🔰 Formation et débuts.
Albert Ndongmo est élève au petit séminaire de Melong puis au grand séminaire de Mvolyé. Il est ordonné prêtre le 21 décembre 1955 puis nommé évêque de Nkongsamba (Cameroun) le 16 juin 1964, succédant à Mgr Paul Bouque, fonction à laquelle il renoncera le 29 janvier 1973.
🔰Carrière de Monseigneur Albert DONGMO
Mungo-Plastique est une société fondée par Mgr Ndongmo pour la fabrication d’objets en matière plastique et dirigée. Elle est dirigée par Yves Verbeek, un belge.
En 1957, il est professeur du petit séminaire de #Melong , où il fut élève, et aumônier diocésain de l'action catholique. Il lance, en 1960, le journal l'Essor des jeunes où il enseigne le civisme, proclame ses idées et ses convictions en matière de développement, ainsi que ses propositions sur les politiques de l'heure. Son action s'inscrit dans la recherche du bien-être social, du développement et de la paix pour ses citoyens. Le journal doit cependant faire face à la censure.
🔰Militantisme politique
Ses prêches, qui attirent généralement une foule considérable, sont pour lui l'occasion de critiquer le fonctionnement du régime. S'il prend garde de ne jamais attaquer frontalement le président Ahidjo, il dénonce en revanche la corruption et la brutalité de ses collaborateurs. Le pouvoir cherche néanmoins dans un premier temps à exploiter la popularité du prélat pour pacifier la région, des maquis de l'UPC y étant encore implantés. Ainsi, il est désigné comme intermédiaire avec le chef rebelle Ernest Ouandié.
Au cours du concile Vatican II, le 16 octobre 1965, il intervient sur le ministère et la vie sacerdotale du prêtre. Il se voit également confier la tâche de s'occuper des étudiants catholiques africains en formation en Europe. Il se trouve notamment en contact avec l'organisation clandestine Solidarité, dirigée par le militant communiste et tiers-mondiste Henri Curiel. Le groupe Solidarité organise la venue en France de Nicanor Njawué, le représentant de l'UPC à Alger, pour lui permettre de prendre directement contact avec Albert Ndongmo afin de constituer un « front antifasciste » unissant l'UPC aux catholiques opposés à Ahidjo.
🔰Arrestation et procès de Mgr Albert Ndongmo
Les services de renseignement français et camerounais comprennent rapidement qu'Albert Ndongmo n'est plus un simple « intermédiaire », mais bien un militant pro-UPC, et choisissent de l'utiliser pour éliminer Ouandié et ses compagnons. Espionnant les moindres gestes de l’évêque, les services de sécurité du gouvernement camerounais localisent le maquis de Ouandié. Peu avant l’opération destinée à neutraliser ce dernier, Ndongmo est opportunément rappelé à Rome ; le Saint-Siège, alerté sur l'engagement de l'évêque aux côtés des rebelles, voulant éviter le déshonneur qu'impliquerait l'arrestation et la condamnation de l'un de ses représentants pour collaboration avec une guérilla souvent décrite comme communiste. Ndongmo retourne pourtant au Cameroun et est arrêté le 27 aout 1970.
🚨 Des dizaines « d'opposants », ou supposés tels, non liés à la rébellion, sont également arrêtés dans les jours ou semaines qui suivent le démantèlement du maquis d'Ernest Ouandié. À l'exception d'Albert Ndongmo, protégé par son statut d’évêque, tous les prisonniers sont torturés à la gégène, à la « balançoire » ou à la « baignoire ». Mgr Ndongmo est toutefois spécifiquement ciblé par une campagne de dénigrement qui lui prête notamment des relations avec de prétendues maitresses.
En France, la plupart des grands médias (AFP, Le Monde...) reproduisent sans recul la version présentée par le gouvernement d'Ahmadou Ahidjo. En revanche, le réseau Solidarité d'Henri Curiel se montre très actif, mobilisant avocats et intellectuels pour tenter d'organiser la défense juridique et médiatique des accusés, et approchant des diplomates français pour les convaincre d'intervenir.
Condamné à mort par le tribunal, sa peine est ensuite commuée par Ahmadou Ahidjo en détention à vie dans un « camp de rééducation civique » (Ernest Ouandié est quant à lui exécuté). Il est finalement libéré en 1975 et s'exile au Canada.
🚩 source: https://fr.wikipedia.org/w...
8 mois depuis
Albert Ndongmo, né le 26 septembre 1926 à Bafou (Cameroun) et mort le 29 mai 1992 à Québec (Canada), où il vivait en exil depuis sa sortie de prison en 1975 (sa condamnation à mort de 1971, **** oncée par le tribunal militaire de Yaoundé, ayant été commuée par le président Ahidjo), est un prélat catholique camerounais qui fut évêque de Nkongsamba entre août 1964 et janvier 1973.
#MgrAlbertNdongmo
#MgrAlbertNdongmo
8 mois depuis
Biographie de sa Majesté Jean-Rameau Sokoudjou :
🚩Enfance, éducation et débuts !
Jean-Rameau Sokoudjou quitte, à 13 ans, la quiétude de l’enfance pour succéder à son père le 26 décembre 1953.
Il est passionné d'agriculture.
Il part très tôt dans le sud du Cameroun où il réside avant d'être choisi comme chef. Il apprend le Bulu dans sa famille d'adoption, famille dont le patriarche lui confie la succession.
Il est un chef traditionnel Bamiléké à l'Ouest du Cameroun atypique car il est aussi patriarche au sud du Cameroun en pays Bulu, sa terre d'adoption.
Il passe par la prison de Bafoussam, Dschang, Bafia, Yoko, Nanga Eboko, Tcholirré et il reçoit l'amnistie lors de son séjour à la prison de Yaoundé au bout de 2 ans d'incarcération, de 1959 à 1961.
Le 13 août 1975, il est reçu par le pape Paul VI [à vérifier] à Rome ; il plaide alors pour la canonisation d'un Africain ayant payé de sa vie pour sauver un membre du clergé catholique.
🚩source: https://fr.wikipedia.org/w...
🚩Enfance, éducation et débuts !
Jean-Rameau Sokoudjou quitte, à 13 ans, la quiétude de l’enfance pour succéder à son père le 26 décembre 1953.
Il est passionné d'agriculture.
Il part très tôt dans le sud du Cameroun où il réside avant d'être choisi comme chef. Il apprend le Bulu dans sa famille d'adoption, famille dont le patriarche lui confie la succession.
Il est un chef traditionnel Bamiléké à l'Ouest du Cameroun atypique car il est aussi patriarche au sud du Cameroun en pays Bulu, sa terre d'adoption.
Il passe par la prison de Bafoussam, Dschang, Bafia, Yoko, Nanga Eboko, Tcholirré et il reçoit l'amnistie lors de son séjour à la prison de Yaoundé au bout de 2 ans d'incarcération, de 1959 à 1961.
Le 13 août 1975, il est reçu par le pape Paul VI [à vérifier] à Rome ; il plaide alors pour la canonisation d'un Africain ayant payé de sa vie pour sauver un membre du clergé catholique.
🚩source: https://fr.wikipedia.org/w...
9 mois depuis
ACTU PAROISSE | Vandalisme au Sanctuaire Nsimalen 😱😱
Cette nuit de mardi 02 avril 2024 le sanctuaire de Nsimalen a été vandalisé : les différents objets de piété ont été cassés. 💔
Nous invitons tous les pèlerins du Sanctuaire et tous les dévots de la Vierge à prier pour que la miséricorde de Dieu se manifeste pour les auteurs et qu’ils se convertissent. 🛐
🚨 Voir les autres images en commentaire !
#religion , #Eglise #Catholique , #ArchidiocèseDeYaoundé
Cette nuit de mardi 02 avril 2024 le sanctuaire de Nsimalen a été vandalisé : les différents objets de piété ont été cassés. 💔
Nous invitons tous les pèlerins du Sanctuaire et tous les dévots de la Vierge à prier pour que la miséricorde de Dieu se manifeste pour les auteurs et qu’ils se convertissent. 🛐
🚨 Voir les autres images en commentaire !
#religion , #Eglise #Catholique , #ArchidiocèseDeYaoundé
9 mois depuis
🔵🔘🔴 SEMAINE DE LA FEMME: JEUNE FEMME CAMEROUNAISE, IL VAUT MIEUX PARLER DE TECHNOLOGIE QUE D'EXPOSER SES LOLOS COMME LES INFLUENCEUSES PIMENTIÈRES
CAS NUMÉRO 5: Rebecca ENONCHONG
𝗟𝗮 𝗣𝗮𝗽𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗧𝗲𝗰𝗵 𝗮𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 !
Née en 1967 au Cameroun, elle y effectue ses études primaires. . À l'adolescence, Rebecca Enonchong déménage aux États-Unis avec sa famille, où elle étudiera à l'Université Catholique d'Amérique. À partir de l'âge de 15 ans, elle vend des abonnements aux journaux en porte-à-porte. À 17 ans, elle devient manager de cette même entreprise, et débute sa carrière d’entrepreneure très tôt tout en poursuivant ses études..
Après ses études, Rebecca Enonchong a travaillé aux côtés de nombreuses organisations comme Oracle Corporation et la Banque Interaméricaine de Développement. C'est en 1999 qu'elle a créé la société #AppsTech , qui fournit des solutions de logiciels aux entreprises et est aujourd’hui partenaire de plus de 40 pays. Finaliste pour le African Women Digital Award en 2013, elle a consacré une grande partie de sa carrière à faire la promotion des technologies et nouvelles technologies en Afrique. Elle a notamment installé des filiales d'AppsTech au Cameroun, malgré la difficulté de l’implantation. #Rebecca_Enonchong a toujours mis à profit ses richesses et son savoir pour aider les jeunes start-ups africaines à se lance sur la grande scène.
Rebecca Enonchong est surnommée affectueusement la "tata nationale" au Cameroun. La quinquagénaire donne son temps et son argent pour soutenir les start-ups africaines. Depuis 2017, elle est présidente du conseil d'administration d'Afrilabs, un centre d'innovation africain.
Elle a investi à ******* re personnel à travers ces incubateurs plusieurs milliards de Fcfa dans les START-UP Technologiques Africaines.
Parmi les différents prix remportés par elle, on peut citer :
➡️2001 : Enterprise Africa - Afrique Entrepreneur Award
➡️2013 : WIE Afrique de la Puissance de la Femme
➡️2019 : Margaret d'honneur - Journée de la Femme Digitale
Très active sur Tweeter où elle est l'une des Camerounaises les plus suivies, elle s'active pour l'assainissement du climat des affaires, la vulgarisation de la technologie et en particulier auprès des femmes, mais aussi le retour de la paix en zone anglophone au Cameroun.
CAS NUMÉRO 5: Rebecca ENONCHONG
𝗟𝗮 𝗣𝗮𝗽𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗧𝗲𝗰𝗵 𝗮𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻 !
Née en 1967 au Cameroun, elle y effectue ses études primaires. . À l'adolescence, Rebecca Enonchong déménage aux États-Unis avec sa famille, où elle étudiera à l'Université Catholique d'Amérique. À partir de l'âge de 15 ans, elle vend des abonnements aux journaux en porte-à-porte. À 17 ans, elle devient manager de cette même entreprise, et débute sa carrière d’entrepreneure très tôt tout en poursuivant ses études..
Après ses études, Rebecca Enonchong a travaillé aux côtés de nombreuses organisations comme Oracle Corporation et la Banque Interaméricaine de Développement. C'est en 1999 qu'elle a créé la société #AppsTech , qui fournit des solutions de logiciels aux entreprises et est aujourd’hui partenaire de plus de 40 pays. Finaliste pour le African Women Digital Award en 2013, elle a consacré une grande partie de sa carrière à faire la promotion des technologies et nouvelles technologies en Afrique. Elle a notamment installé des filiales d'AppsTech au Cameroun, malgré la difficulté de l’implantation. #Rebecca_Enonchong a toujours mis à profit ses richesses et son savoir pour aider les jeunes start-ups africaines à se lance sur la grande scène.
Rebecca Enonchong est surnommée affectueusement la "tata nationale" au Cameroun. La quinquagénaire donne son temps et son argent pour soutenir les start-ups africaines. Depuis 2017, elle est présidente du conseil d'administration d'Afrilabs, un centre d'innovation africain.
Elle a investi à ******* re personnel à travers ces incubateurs plusieurs milliards de Fcfa dans les START-UP Technologiques Africaines.
Parmi les différents prix remportés par elle, on peut citer :
➡️2001 : Enterprise Africa - Afrique Entrepreneur Award
➡️2013 : WIE Afrique de la Puissance de la Femme
➡️2019 : Margaret d'honneur - Journée de la Femme Digitale
Très active sur Tweeter où elle est l'une des Camerounaises les plus suivies, elle s'active pour l'assainissement du climat des affaires, la vulgarisation de la technologie et en particulier auprès des femmes, mais aussi le retour de la paix en zone anglophone au Cameroun.
9 mois depuis
#religion : Des milliers de jeunes et enfants attendus le samedi 23 mars 2024 à la cathédrale saints Pierre et Paul de Douala pour la journée diocésaine des jeunes et de l'enfance. 🙏
⛪ #Eglise , #Catholique , #Archidiocese_De_Douala ✝️
⛪ #Eglise , #Catholique , #Archidiocese_De_Douala ✝️
9 mois depuis
𝐌𝐚’𝐚 𝐌𝐚𝐟𝐟𝐨 𝐃𝐎𝐍𝐓𝐒𝐀 𝐁𝐢𝐛𝐢𝐚𝐧𝐞
🎯𝐌𝐚’𝐚 𝐁𝐢 𝐯𝐨𝐢𝐭 𝐥𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝟎𝟐 𝐃𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟏𝟗𝟑𝟐 𝐚̀ 𝐅𝐨𝐫𝐞𝐤é-𝐃𝐬𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠.
Aujourd’hui elle est une 𝐯é𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐛𝐢𝐛𝐥𝐢𝐨𝐭𝐡è𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞 que nous avons dans notre communauté. Commerçante dans sa jeunesse, cette chrétienne catholique convaincue, 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐦𝐚𝐭𝐫𝐢𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝟗𝟐 𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐢.
✍ Plus connue sous le patronyme de 𝐌𝐚’ 𝐁𝐢 pour certains et 𝐌𝐚’𝐚 𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐮𝐧 pour d’autres, elle appartient à la 𝐠é𝐧é𝐚𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐧𝐜𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐨𝐲𝐚𝐥𝐞. ****** ulaire du « 𝐌𝐁𝐎’𝐎 » 𝐝𝐢𝐩𝐥𝐨̂𝐦𝐞 𝐨𝐛𝐭𝐞𝐧𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐥𝐚𝐧𝐠𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐂𝐄𝐏, elle parle et écrit couramment le 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐉𝐢𝐞𝐮𝐦𝐛𝐚. Cette nonagénaire a été comptée parmi les premières scolarisées et instruites de son époque.
Compagnon de route depuis son bas âge de 𝐅𝐨’𝐨 𝐃𝐉𝐎𝐔𝐌𝐄𝐒𝐒𝐈 𝐄𝐝𝐦𝐨𝐧𝐝 elle a toujours été très proche du monarque. 𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐚𝐦𝐚𝐳𝐨𝐧𝐞 𝐝𝐮 𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐅𝐨𝐫é𝐤𝐞́-𝐃𝐬𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐥𝐞 𝐧𝐨𝐦 𝐝𝐞 𝐌𝐚’𝐚 𝐌𝐚𝐟𝐟𝐨 𝐃𝐎𝐍𝐓𝐒𝐀 𝐁𝐢𝐛𝐢𝐚𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐨𝐮𝐬𝐞 𝐀𝐙𝐀𝐅𝐄𝐔.
👌Personnalité ressource et 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 «𝐀𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐀𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 » 𝐝𝐮 𝐋𝐈𝐊𝐔𝐍 et courageuse guerrière, 𝐌𝐚’𝐚 𝐁𝐢 𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 𝐥’𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐮̂𝐫𝐞𝐬 sur laquelle nous pourrons nous ressourcer pour l’immersion dans notre culture à travers nos us et coutumes.
#Lekún2024 #FestivalCulturel #ForekeDschang
🎯𝐌𝐚’𝐚 𝐁𝐢 𝐯𝐨𝐢𝐭 𝐥𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝟎𝟐 𝐃𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟏𝟗𝟑𝟐 𝐚̀ 𝐅𝐨𝐫𝐞𝐤é-𝐃𝐬𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠.
Aujourd’hui elle est une 𝐯é𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐛𝐢𝐛𝐥𝐢𝐨𝐭𝐡è𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞 que nous avons dans notre communauté. Commerçante dans sa jeunesse, cette chrétienne catholique convaincue, 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐦𝐚𝐭𝐫𝐢𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐝𝐞 𝟗𝟐 𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐢.
✍ Plus connue sous le patronyme de 𝐌𝐚’ 𝐁𝐢 pour certains et 𝐌𝐚’𝐚 𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐮𝐧 pour d’autres, elle appartient à la 𝐠é𝐧é𝐚𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐧𝐜𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐨𝐲𝐚𝐥𝐞. ****** ulaire du « 𝐌𝐁𝐎’𝐎 » 𝐝𝐢𝐩𝐥𝐨̂𝐦𝐞 𝐨𝐛𝐭𝐞𝐧𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐥𝐚𝐧𝐠𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐂𝐄𝐏, elle parle et écrit couramment le 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐉𝐢𝐞𝐮𝐦𝐛𝐚. Cette nonagénaire a été comptée parmi les premières scolarisées et instruites de son époque.
Compagnon de route depuis son bas âge de 𝐅𝐨’𝐨 𝐃𝐉𝐎𝐔𝐌𝐄𝐒𝐒𝐈 𝐄𝐝𝐦𝐨𝐧𝐝 elle a toujours été très proche du monarque. 𝐂𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐚𝐦𝐚𝐳𝐨𝐧𝐞 𝐝𝐮 𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐅𝐨𝐫é𝐤𝐞́-𝐃𝐬𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐥𝐞 𝐧𝐨𝐦 𝐝𝐞 𝐌𝐚’𝐚 𝐌𝐚𝐟𝐟𝐨 𝐃𝐎𝐍𝐓𝐒𝐀 𝐁𝐢𝐛𝐢𝐚𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐨𝐮𝐬𝐞 𝐀𝐙𝐀𝐅𝐄𝐔.
👌Personnalité ressource et 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 «𝐀𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐀𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 » 𝐝𝐮 𝐋𝐈𝐊𝐔𝐍 et courageuse guerrière, 𝐌𝐚’𝐚 𝐁𝐢 𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 𝐥’𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐮̂𝐫𝐞𝐬 sur laquelle nous pourrons nous ressourcer pour l’immersion dans notre culture à travers nos us et coutumes.
#Lekún2024 #FestivalCulturel #ForekeDschang
9 mois depuis
#Ministère_DesTravaux_Publics_Du_Cameroun : 🗣️
Route Babadjou-Bamenda : les travaux sur la section Babadjou-Matazem sont presqu’achevés. 🥳
Au 15 mars 2024, l’avancement physique des travaux sur cet itinéraire de 17 km reliant Babadjou à Matazem, se situe à 93% pour ce qui est de la route principale. De manière détaillée, on note que les terrassements et la couche de fondation sont exécutés sur tout le linéaire, la couche de base en grave bitume et la couche de revêtement en béton bitumineux mises en œuvre couvrent un linéaire de 16.8km et les travaux de signalisation réalisés au 15 mars 2024 s’étendent sur 14 km. S’agissant des projets connexes, notamment de l’aménagement des itinéraires Toumaka-Bafenga-Bamekoupere (8,8 km), Carrefour Peter Madem avec bretelle Entrée Mission Catholique St. Charles Lwanga-Bawa Chefferie (1, 3 km) et la construction d’un dalot de 7 ml 2x3, 5x2, 5 sur la rivière Tchi Neuh à Bamendousso, les terrassements sont réalisés sur 9 km, les couches de fondation et de base sont respectivement mises en œuvre sur 8.6km et 7.9km et les ouvrages sont exécutés à 70%.
Au regard de ces avancées, il y a lieu de relever que le projet sera livré avant la fin du premier semestre 2024.
————————
#Babadjou -Bamenda Road: Works on the Babadjou-Matazem Section Almost Completed.
As at 15 March 2024, the physical progress of works on this 17 km route linking Babadjou to Matazem stood at 93% for the main road. In detail, earthworks and sub-base have been completed along the entire distance, bituminous-bound graded aggregate base course and bituminous concrete surfacing have been laid over 16.8 km, and signing works had been completed over 14 km. As for related projects, these include the development of the following routes: Toumaka-Bafenga-Bamekoupere (8.8 km), Carrefour Peter Madem with a ramp at Entrée Mission Catholique St. Charles Lwanga-Bawa Chefferie (1.3 km), and the construction of a 2x3.5x2.5 box culvert, 7 LM long, on River Tchi Neuh in Bamendousso. Earthworks have been completed over 9 km, the sub-base and the base course have been laid over 8.6 km and 7.9 km respectively, and the structures are 70% complete.
In view of this progress, it should be noted that the project will be delivered before the end of the first half of 2024.
Route Babadjou-Bamenda : les travaux sur la section Babadjou-Matazem sont presqu’achevés. 🥳
Au 15 mars 2024, l’avancement physique des travaux sur cet itinéraire de 17 km reliant Babadjou à Matazem, se situe à 93% pour ce qui est de la route principale. De manière détaillée, on note que les terrassements et la couche de fondation sont exécutés sur tout le linéaire, la couche de base en grave bitume et la couche de revêtement en béton bitumineux mises en œuvre couvrent un linéaire de 16.8km et les travaux de signalisation réalisés au 15 mars 2024 s’étendent sur 14 km. S’agissant des projets connexes, notamment de l’aménagement des itinéraires Toumaka-Bafenga-Bamekoupere (8,8 km), Carrefour Peter Madem avec bretelle Entrée Mission Catholique St. Charles Lwanga-Bawa Chefferie (1, 3 km) et la construction d’un dalot de 7 ml 2x3, 5x2, 5 sur la rivière Tchi Neuh à Bamendousso, les terrassements sont réalisés sur 9 km, les couches de fondation et de base sont respectivement mises en œuvre sur 8.6km et 7.9km et les ouvrages sont exécutés à 70%.
Au regard de ces avancées, il y a lieu de relever que le projet sera livré avant la fin du premier semestre 2024.
————————
#Babadjou -Bamenda Road: Works on the Babadjou-Matazem Section Almost Completed.
As at 15 March 2024, the physical progress of works on this 17 km route linking Babadjou to Matazem stood at 93% for the main road. In detail, earthworks and sub-base have been completed along the entire distance, bituminous-bound graded aggregate base course and bituminous concrete surfacing have been laid over 16.8 km, and signing works had been completed over 14 km. As for related projects, these include the development of the following routes: Toumaka-Bafenga-Bamekoupere (8.8 km), Carrefour Peter Madem with a ramp at Entrée Mission Catholique St. Charles Lwanga-Bawa Chefferie (1.3 km), and the construction of a 2x3.5x2.5 box culvert, 7 LM long, on River Tchi Neuh in Bamendousso. Earthworks have been completed over 9 km, the sub-base and the base course have been laid over 8.6 km and 7.9 km respectively, and the structures are 70% complete.
In view of this progress, it should be noted that the project will be delivered before the end of the first half of 2024.
1 année depuis
BIENVENUE À YABASSI ✍🏽🇨🇲🇨🇲🇨🇲📈
Yabassi est une ville, chef-lieu du département du Nkam, dans la région du Littoral au Cameroun. Sa population est estimée à 12 000 habitants en 2001.
C'est aussi le nom d'un peuple dont l'ancêtre serait Bassi ou Basi. Les Yabassi parlent le yabassi, une langue qui ne connaît pas encore les écrits, mais qui sert de parler véhiculaire dans le département du Nkam ; on y retrouve également d'autres langues originaires d'autres régions du Cameroun comme le bodiman, le ewodi ou oli et le banya les langues bamiléké et le haoussa, etc.
💥 Geographie :
La ville est située sur la rive droite et au point de rupture de navigabilité du fleuve Wouri à 65 km de son embouchure. Elle est desservie par la route P15 à 98 km au nord du chef-lieu régional Douala.
💥 Histoire de #Yabassi :
À l'époque du protectorat allemand au Cameroun, Yabassi était une plaque tournante dans la stratégie commerciale et militaire. La station de la mission catholique est fondée par Paul Bouque S.C.I. après le départ des Allemands.
📸 by Nji ip2
Nji ip2un
Yabassi est une ville, chef-lieu du département du Nkam, dans la région du Littoral au Cameroun. Sa population est estimée à 12 000 habitants en 2001.
C'est aussi le nom d'un peuple dont l'ancêtre serait Bassi ou Basi. Les Yabassi parlent le yabassi, une langue qui ne connaît pas encore les écrits, mais qui sert de parler véhiculaire dans le département du Nkam ; on y retrouve également d'autres langues originaires d'autres régions du Cameroun comme le bodiman, le ewodi ou oli et le banya les langues bamiléké et le haoussa, etc.
💥 Geographie :
La ville est située sur la rive droite et au point de rupture de navigabilité du fleuve Wouri à 65 km de son embouchure. Elle est desservie par la route P15 à 98 km au nord du chef-lieu régional Douala.
💥 Histoire de #Yabassi :
À l'époque du protectorat allemand au Cameroun, Yabassi était une plaque tournante dans la stratégie commerciale et militaire. La station de la mission catholique est fondée par Paul Bouque S.C.I. après le départ des Allemands.
📸 by Nji ip2
Nji ip2un
1 année depuis
LA PREMIÈRE ÉCOLE DU CAMEROUN
-1845-
La première école au Cameroun fut ouverte le lundi 21 avril 1845 à Bimbia par le pasteur jamaïcain Joseph Merrick - Dans sa classe il accueillit ce jour-là 35 jeunes camerounais - les enseignements étaient alors dispensés en anglais - en vérité la première langue que les camerounais étudièrent à l'école fut l'anglais - En 1902 on comptait déjà une dizaine d'école dans la région de Kribi avec plus de 300 élèves.
En septembre 1904, les missionnaires palottins allemands ouvrirent une école à Nkol-Akono en pays Mvog Fouda et confièrent la direction à un mvog dzou (mvog Tsoungui Balla) Henri Tsala ( le grand père de Barbara Etoa qui fut longtemps journaliste à la CRTV)
Pour faire une chandelle à mon bro Mvomo Michel curé Doyen de Minlaba, l'école de sa paroisse fut ouverte le 22 mars 1912 avec environ 250 écoliers sous la direction du frère Grän. 4 ans après, cette zone compte 11 écoles satellites avec 1400 écoliers. (lire à cet effet Nicolas Ossama La mission catholique de Mvolyé fondation et modèle d'une animation missionnaire par les Pallottins allemands). Ces allemands disaient alors "Celui qui a l'école, a l'avenir". Ceci est-il toujours vrai aujourd'hui? Je voudrais rappeler que très tôt dans le grand centre et le grand ouest les familles envoyèrent ***** ez rapidement à l'école les filles et les garçons - quand dans une école on comptait 150 garçons on y retrouve 80 filles.
💥 Source: Centre Educatif Montessiro Bastos.
#Twitbook24
-1845-
La première école au Cameroun fut ouverte le lundi 21 avril 1845 à Bimbia par le pasteur jamaïcain Joseph Merrick - Dans sa classe il accueillit ce jour-là 35 jeunes camerounais - les enseignements étaient alors dispensés en anglais - en vérité la première langue que les camerounais étudièrent à l'école fut l'anglais - En 1902 on comptait déjà une dizaine d'école dans la région de Kribi avec plus de 300 élèves.
En septembre 1904, les missionnaires palottins allemands ouvrirent une école à Nkol-Akono en pays Mvog Fouda et confièrent la direction à un mvog dzou (mvog Tsoungui Balla) Henri Tsala ( le grand père de Barbara Etoa qui fut longtemps journaliste à la CRTV)
Pour faire une chandelle à mon bro Mvomo Michel curé Doyen de Minlaba, l'école de sa paroisse fut ouverte le 22 mars 1912 avec environ 250 écoliers sous la direction du frère Grän. 4 ans après, cette zone compte 11 écoles satellites avec 1400 écoliers. (lire à cet effet Nicolas Ossama La mission catholique de Mvolyé fondation et modèle d'une animation missionnaire par les Pallottins allemands). Ces allemands disaient alors "Celui qui a l'école, a l'avenir". Ceci est-il toujours vrai aujourd'hui? Je voudrais rappeler que très tôt dans le grand centre et le grand ouest les familles envoyèrent ***** ez rapidement à l'école les filles et les garçons - quand dans une école on comptait 150 garçons on y retrouve 80 filles.
💥 Source: Centre Educatif Montessiro Bastos.
#Twitbook24
1 année depuis
**Les Mekès me komo (dit fang de l’Estuaire), les fang de l’ogooué maritime, du moyen ogooué, les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), les Eshiras, les tsogo de l’Estuaire, l’Ogooué maritime, le moyen Ogooué voir l’ogooué Ivindo viennent du Royaume Fang avant l’annexion de nos terres par les colons français et allemand.**
## L’HISTOIRE DE NOS PEUPLES SE TROUVE DANS NOS ARBRES GENEALOGIQUES, LES NOMS DE NOS COURS D’EAUX, LES NOMS DE NOS FORETS ET BIEN D’AUTRES
Les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), Tsogo, Eshiras et bien d’autres viennent de la région de KOMO.
Pour rappel, l’Omyéné est une langue Bekuign (fancisé couchite) que les Ekang avaient trouvé à Ondzambo’a (francisé grande corne d’Afrique). La généalogie Mpongwé débouche par l’ancêtre Mimbé ou Meba (un autre nom de Mvae). Mimbé est le nom liturgique chez les Mpongwé. Mimbé est un mélange entre Mvae et Bekuign (Ngwe-myéné). Ils sont matrilinéaires et prennent le nom liturgique de leur mère Mimbé (symbolise Angono Ntum).
A l’origine Komo est un groupe ethnie et non une rivière, on les appelle aussi les Kwaras. Le royaume Fang fût créé en 1504 par le roi NDONG MBA de la tribu OVANG. Le royaume FANG couvrait le Soudan moderne, le Sud-Soudan et l’Etat régional Bishangui Ngumu de l’empire d’Ethiopie. Les KOMO vivaient à l’Etat Régional Bishangui Ngumu.
**Comment les Ekang (de la lignée Mvae) sont venus les retrouver ?**
Quand une branche des Ekang quitta So’o à Somaliland, ils sont venus rester à Araala au sawa en Ethiopie centrale actuelle ADDIS ABEBA.
En 1606 quand tsira MEYONG MEYEME (alias Susynos) devint Empereur de l’empire d’Ethiopie, il va commencer à nommer ses frères dans plusieurs royaumes pour consolider son pouvoir. C’est ainsi qu’il va envoyer son grand frère le Général (BIZAMACK) MEKÈ ME QARA de la tribu ESOKÈ représenter le gouvernement central dans le royaume Fang. Le royaume du Fang se compose de 2 grande communautés, la communauté d’AMIASI dit AMIASI FANG qu’on trouve les OVANG et la maison KOMO qu’on trouve MESANA Me FANG qu’on trouve les Ngwe-myéné. Arriver au royaume Fang, le Général MEKÈ va combattre une rébellion au royaume Fang (les Ovang étaient des rebelles), constatant que le roi de la dynastie OVANG n’était pas en phase avec les orientations de l’administration centrale, il va déposer le Roi et l’éliminer.
Il s’autoproclame Roi du royaume FANG avec son ***** re de BIZAMACK (général en français). Ceci va attirer une grande rivalité chez les OVANG. Le général MEKÈ ME QARA va déplacer la capitale de la ville de TSINGA à MEKORA dans le royaume de NGO’O ZANG des Angono Mvae. Le royaume de NGO’O ZANG va fusionner avec le royaume du Fang et devenir un seul Royaume. Quand la guerre de 1616 (guerre de 1616-1630) éclate entre l’église orthodoxe copte d’Ethiopie dit ELAATE-QOBA et l’église catholique romaine car l’empire de Rome voulait annexer L’Empire de l’Ethiopie, le général MEKÈ ME QARA ayant déjà l’expérience d’avoir mater la rébellion, stabiliser et unifier la région, va réunir ses troupes pour chasser les troupes romaines qui voulaient annexer l’empire Ethiopien et installer l’Eglise catholique de Rome.
Le général MEKÈ va faire venir les membres de sa communauté Ekang (Mvae) dans le royaume du Fang en même temps il va épouser les femmes de la communauté Komo c’est cette coalition qui prit le nom « MEKÈ ME KOMO ». En mémoire de la région KOMO de l’ancien royaume du FANG, ils sont venus baptiser le fleuve KOMO qui se trouve dans l’Estuaire du GABON.
Quand les #KOMO (Ngwe-Myénés et autres) arrivent dans l’estuaire du Gabon ils étaient déjà métissés et plus tard l’arrivé des MEKÈ a été très facile car ils se connaissaient déjà depuis le royaume FANG et ils sont tous #FANG de par l’appartenance dans le passé d’un même Royaume.
Les Mimbés ou Memba ou encore Meba sont dans le grand ensemble KOMO, ils parlent la langue maternelle Bekuign (couchite) ou omyéné et MEKÈ parle Atsi.
Les Ngwe-Myéné ou Omyénés du côté du cameroun leur langue s’appelle « Bongo » que les européens ont surnommé « Duala ou Batanga » et de Campo (cameroun) à Libreville en passant par la guinée Equatoriale parlent « Tù-Kele ou Akele » qu’on appelle aussi « BEYOK » ce sont les Yassa, Benga, Mpongwé, Kombé etc. qui en parlent.
C’est la restauration de notre vrai histoire et non ce que les européens ont écrit sur nous pour nous réduire à des sous-hommes qui n'avaient aucune valeur et qui ont découvert les lumières du développement grâce à eux.
Merci à tous et surtout modzang Tata Motto Motto pour les données des archives de la métropole
By #JOHN_OBOUNOU **
Président Génération EKANG**
**Cellule ESTUAIRE**
## L’HISTOIRE DE NOS PEUPLES SE TROUVE DANS NOS ARBRES GENEALOGIQUES, LES NOMS DE NOS COURS D’EAUX, LES NOMS DE NOS FORETS ET BIEN D’AUTRES
Les Ngwe-Myénés (langue Omyéné), Tsogo, Eshiras et bien d’autres viennent de la région de KOMO.
Pour rappel, l’Omyéné est une langue Bekuign (fancisé couchite) que les Ekang avaient trouvé à Ondzambo’a (francisé grande corne d’Afrique). La généalogie Mpongwé débouche par l’ancêtre Mimbé ou Meba (un autre nom de Mvae). Mimbé est le nom liturgique chez les Mpongwé. Mimbé est un mélange entre Mvae et Bekuign (Ngwe-myéné). Ils sont matrilinéaires et prennent le nom liturgique de leur mère Mimbé (symbolise Angono Ntum).
A l’origine Komo est un groupe ethnie et non une rivière, on les appelle aussi les Kwaras. Le royaume Fang fût créé en 1504 par le roi NDONG MBA de la tribu OVANG. Le royaume FANG couvrait le Soudan moderne, le Sud-Soudan et l’Etat régional Bishangui Ngumu de l’empire d’Ethiopie. Les KOMO vivaient à l’Etat Régional Bishangui Ngumu.
**Comment les Ekang (de la lignée Mvae) sont venus les retrouver ?**
Quand une branche des Ekang quitta So’o à Somaliland, ils sont venus rester à Araala au sawa en Ethiopie centrale actuelle ADDIS ABEBA.
En 1606 quand tsira MEYONG MEYEME (alias Susynos) devint Empereur de l’empire d’Ethiopie, il va commencer à nommer ses frères dans plusieurs royaumes pour consolider son pouvoir. C’est ainsi qu’il va envoyer son grand frère le Général (BIZAMACK) MEKÈ ME QARA de la tribu ESOKÈ représenter le gouvernement central dans le royaume Fang. Le royaume du Fang se compose de 2 grande communautés, la communauté d’AMIASI dit AMIASI FANG qu’on trouve les OVANG et la maison KOMO qu’on trouve MESANA Me FANG qu’on trouve les Ngwe-myéné. Arriver au royaume Fang, le Général MEKÈ va combattre une rébellion au royaume Fang (les Ovang étaient des rebelles), constatant que le roi de la dynastie OVANG n’était pas en phase avec les orientations de l’administration centrale, il va déposer le Roi et l’éliminer.
Il s’autoproclame Roi du royaume FANG avec son ***** re de BIZAMACK (général en français). Ceci va attirer une grande rivalité chez les OVANG. Le général MEKÈ ME QARA va déplacer la capitale de la ville de TSINGA à MEKORA dans le royaume de NGO’O ZANG des Angono Mvae. Le royaume de NGO’O ZANG va fusionner avec le royaume du Fang et devenir un seul Royaume. Quand la guerre de 1616 (guerre de 1616-1630) éclate entre l’église orthodoxe copte d’Ethiopie dit ELAATE-QOBA et l’église catholique romaine car l’empire de Rome voulait annexer L’Empire de l’Ethiopie, le général MEKÈ ME QARA ayant déjà l’expérience d’avoir mater la rébellion, stabiliser et unifier la région, va réunir ses troupes pour chasser les troupes romaines qui voulaient annexer l’empire Ethiopien et installer l’Eglise catholique de Rome.
Le général MEKÈ va faire venir les membres de sa communauté Ekang (Mvae) dans le royaume du Fang en même temps il va épouser les femmes de la communauté Komo c’est cette coalition qui prit le nom « MEKÈ ME KOMO ». En mémoire de la région KOMO de l’ancien royaume du FANG, ils sont venus baptiser le fleuve KOMO qui se trouve dans l’Estuaire du GABON.
Quand les #KOMO (Ngwe-Myénés et autres) arrivent dans l’estuaire du Gabon ils étaient déjà métissés et plus tard l’arrivé des MEKÈ a été très facile car ils se connaissaient déjà depuis le royaume FANG et ils sont tous #FANG de par l’appartenance dans le passé d’un même Royaume.
Les Mimbés ou Memba ou encore Meba sont dans le grand ensemble KOMO, ils parlent la langue maternelle Bekuign (couchite) ou omyéné et MEKÈ parle Atsi.
Les Ngwe-Myéné ou Omyénés du côté du cameroun leur langue s’appelle « Bongo » que les européens ont surnommé « Duala ou Batanga » et de Campo (cameroun) à Libreville en passant par la guinée Equatoriale parlent « Tù-Kele ou Akele » qu’on appelle aussi « BEYOK » ce sont les Yassa, Benga, Mpongwé, Kombé etc. qui en parlent.
C’est la restauration de notre vrai histoire et non ce que les européens ont écrit sur nous pour nous réduire à des sous-hommes qui n'avaient aucune valeur et qui ont découvert les lumières du développement grâce à eux.
Merci à tous et surtout modzang Tata Motto Motto pour les données des archives de la métropole
By #JOHN_OBOUNOU **
Président Génération EKANG**
**Cellule ESTUAIRE**