4 mois depuis
BÉBÉ NERFS NEWS‼️ L’artiste américaine Enisa perd 25.000 abonnés en 24h après s’être désabonné de Davido 😳🙌🏽🇳🇬🇺🇸
Non il ne s’agit pas d’une énième affaire de sans caleçon de Tagne Wolowoss! Davido n’a rien fait mais le peuple nigérian si !🙆🏽♂️
En effet, après que la belle américaine ait posté une photo d’elle sur tweeter(X), les internautes vont très vite remarquer que celle ci a cessé de follow l’artiste nigerian. 🤔
Quelque chose qui pouvait être simplifié mais non! Car ce serait grâce à davido que celle ci a pu se faire connaître en Afrique grâce au remix de son tube « Love Cycle » en 2021🤧
En plus de davido, elle a cessé de suivre plein d’autres personnalités qui l’ont aidé à percer 😳😳Ce qui va revo-lter les naija et les motiver à se désabonner afin qu’elle redevienne humble!🤧 Elle passe de 821.000 abonnés à 796.000 abonnés en 24h🙌🏽
Apres qu’on l’ai catcham, Enisa ira donc se réabonner chez davido mais les naija ont dit « nalaï », tu mens mami ! 😩
#Peupah_Zouzoua👨🏽💻 Donc depuis là, elle bouffe une tontine mondiale qui a poussé les sud africains à rejoindre le mouvement 🤧🙌🏽 Kooo fait quoi fait quoi, les am-éricains vont maintenant respecter les africains 🥲🥲😌 Davido n’a pas encore réagi, mais on apprécie la solidarité 👏🏽 Un film digne d’une fille bafang qui n’oublie pas l’infidélité😌😉 Tegue interdit, l’envol sera ran-cunier🚶🏾🚶🏾🚶🏾🦇🦇🦇
Non il ne s’agit pas d’une énième affaire de sans caleçon de Tagne Wolowoss! Davido n’a rien fait mais le peuple nigérian si !🙆🏽♂️
En effet, après que la belle américaine ait posté une photo d’elle sur tweeter(X), les internautes vont très vite remarquer que celle ci a cessé de follow l’artiste nigerian. 🤔
Quelque chose qui pouvait être simplifié mais non! Car ce serait grâce à davido que celle ci a pu se faire connaître en Afrique grâce au remix de son tube « Love Cycle » en 2021🤧
En plus de davido, elle a cessé de suivre plein d’autres personnalités qui l’ont aidé à percer 😳😳Ce qui va revo-lter les naija et les motiver à se désabonner afin qu’elle redevienne humble!🤧 Elle passe de 821.000 abonnés à 796.000 abonnés en 24h🙌🏽
Apres qu’on l’ai catcham, Enisa ira donc se réabonner chez davido mais les naija ont dit « nalaï », tu mens mami ! 😩
#Peupah_Zouzoua👨🏽💻 Donc depuis là, elle bouffe une tontine mondiale qui a poussé les sud africains à rejoindre le mouvement 🤧🙌🏽 Kooo fait quoi fait quoi, les am-éricains vont maintenant respecter les africains 🥲🥲😌 Davido n’a pas encore réagi, mais on apprécie la solidarité 👏🏽 Un film digne d’une fille bafang qui n’oublie pas l’infidélité😌😉 Tegue interdit, l’envol sera ran-cunier🚶🏾🚶🏾🚶🏾🦇🦇🦇
4 mois depuis
🛑 #Culture : Voyage se découverte au parc Zoo-botanique de Mvog Betsi et musée ethnographique et d'histoire des peuples de la forêt d'Afrique centrale avec les enfants du programme 'Vacances Utiles GACHA neuvième édition''. La presse Mutation en parle.
4 mois depuis
#Poli mon beau petit village! 💚❤️💛
Située au Nord du Cameroun, cette charmante commune se trouve à une trentaine de kilomètres de Garoua.
C'est au cœur des peuples Daoyo de Poli que j'ai appris les valeurs humaines, l'amour du prochain et surtout la solidarité.
Ici, la beauté du paysage est notre plus grande richesse. Les principales ethnies sont les Daoyo, auxquelles s'ajoutent les Doupa, les Papé, les Foulbé, les Voko, les Mboum les Koutine et biensur le Mbororo.
La religion principale de la population est l'Islam, mais nous y trouvons également des chrétiens.
Poli est une commune magnifique avec un paysage enchanteur, un peuple accueillant et tant de merveilles à découvrir.
Vive le Cameroun 🇨🇲!
————————————————————
Je suis Le Patriote Camerounais, et sur cette page, je valorise le Cameroun, les Camerounais et la culture camerounaise. La meilleure façon de m'encourager est de vous abonner à cette page.
Ensemble pour un Cameroun meilleur 🇨🇲.
Le Patriote Camerounais
Située au Nord du Cameroun, cette charmante commune se trouve à une trentaine de kilomètres de Garoua.
C'est au cœur des peuples Daoyo de Poli que j'ai appris les valeurs humaines, l'amour du prochain et surtout la solidarité.
Ici, la beauté du paysage est notre plus grande richesse. Les principales ethnies sont les Daoyo, auxquelles s'ajoutent les Doupa, les Papé, les Foulbé, les Voko, les Mboum les Koutine et biensur le Mbororo.
La religion principale de la population est l'Islam, mais nous y trouvons également des chrétiens.
Poli est une commune magnifique avec un paysage enchanteur, un peuple accueillant et tant de merveilles à découvrir.
Vive le Cameroun 🇨🇲!
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Ensemble pour un Cameroun meilleur 🇨🇲.
Le Patriote Camerounais
4 mois depuis
La Villa Boutanga à Bangoulap : Entre Tradition et Luxe au Cœur de l’Ouest Cameroun🇨🇲
Situé au cœur des collines verdoyantes de l’Ouest Cameroun, la Villa Boutanga est une destination exceptionnelle où la culture #Bamiléké et le confort moderne se rencontrent. Cette villa incarne un équilibre parfait entre tradition et modernité, avec une architecture qui valorise les matériaux locaux tout en offrant un cadre luxueux.
Visiter la Villa Boutanga, c’est s’immerger dans l’histoire et la culture du peuple Bamiléké. Chaque détail, de l’artisanat local aux rites traditionnels, raconte une histoire authentique. La villa elle-même est un hommage à ces racines, alliant élégamment les techniques ancestrales à un design contemporain.
Les paysages environnants sont tout aussi captivants. Avec ses vues panoramiques sur les montagnes, la Villa Boutanga offre un cadre paisible et inspirant pour se ressourcer. Les activités ne manquent pas : explorez les chefferies traditionnelles, partez en randonnée dans la nature environnante, ou laissez-vous charmer par les danses et rites culturels locaux.
Enfin, la Villa Boutanga se distingue par son engagement en faveur d’un tourisme durable. En séjournant ici, vous profitez d’une expérience haut de gamme tout en respectant l’environnement et en soutenant la culture locale.
Entre culture, nature et confort, la Villa Boutanga est plus qu’une simple destination : c’est une expérience à vivre, un voyage au cœur de l’authenticité camerounaise.
✍🏾Le Patriote Camerounais
📷Le Cameroun a Travers Nos Yeux
📷Tourismo Cameroun
📷Visiter le Cameroun avec moi
📷Kimyb_
Situé au cœur des collines verdoyantes de l’Ouest Cameroun, la Villa Boutanga est une destination exceptionnelle où la culture #Bamiléké et le confort moderne se rencontrent. Cette villa incarne un équilibre parfait entre tradition et modernité, avec une architecture qui valorise les matériaux locaux tout en offrant un cadre luxueux.
Visiter la Villa Boutanga, c’est s’immerger dans l’histoire et la culture du peuple Bamiléké. Chaque détail, de l’artisanat local aux rites traditionnels, raconte une histoire authentique. La villa elle-même est un hommage à ces racines, alliant élégamment les techniques ancestrales à un design contemporain.
Les paysages environnants sont tout aussi captivants. Avec ses vues panoramiques sur les montagnes, la Villa Boutanga offre un cadre paisible et inspirant pour se ressourcer. Les activités ne manquent pas : explorez les chefferies traditionnelles, partez en randonnée dans la nature environnante, ou laissez-vous charmer par les danses et rites culturels locaux.
Enfin, la Villa Boutanga se distingue par son engagement en faveur d’un tourisme durable. En séjournant ici, vous profitez d’une expérience haut de gamme tout en respectant l’environnement et en soutenant la culture locale.
Entre culture, nature et confort, la Villa Boutanga est plus qu’une simple destination : c’est une expérience à vivre, un voyage au cœur de l’authenticité camerounaise.
✍🏾Le Patriote Camerounais
📷Le Cameroun a Travers Nos Yeux
📷Tourismo Cameroun
📷Visiter le Cameroun avec moi
📷Kimyb_
4 mois depuis
🌍🇨🇳Cette ville flotte dans la mer depuis 1300 ans. C'est la seule colonie flottante au monde. Les gens de cette communauté s'appellent Tankas ou Tanka People et ils sont 7000 en nombre.
Parfois, les Chinois 🇨🇳 et les Britanniques 🇬🇧 les appelaient « Tsiganes marins ».
Leurs maisons flottent dans la mer. Ces bateaux sont équipés de salons, de cuisines et de salles de bains. Tout, des mariages aux funérailles, a lieu sur ces bateaux. Toute la vie des gens de la tribu Tanka tourne autour de l'eau et des poissons.
Les gens de cette tribu sont principalement impliqués dans le commerce de la pêche 🎣. Pendant que beaucoup travaillent dans l'industrie du sel, certains plongent dans la mer pour la pêche à la perle 🦪.
On pense que le peuple de Tanka n'a pas mis les pieds sur terre depuis 1300 ans.
Parfois, les Chinois 🇨🇳 et les Britanniques 🇬🇧 les appelaient « Tsiganes marins ».
Leurs maisons flottent dans la mer. Ces bateaux sont équipés de salons, de cuisines et de salles de bains. Tout, des mariages aux funérailles, a lieu sur ces bateaux. Toute la vie des gens de la tribu Tanka tourne autour de l'eau et des poissons.
Les gens de cette tribu sont principalement impliqués dans le commerce de la pêche 🎣. Pendant que beaucoup travaillent dans l'industrie du sel, certains plongent dans la mer pour la pêche à la perle 🦪.
On pense que le peuple de Tanka n'a pas mis les pieds sur terre depuis 1300 ans.
4 mois depuis
Yaoundé 🇨🇲
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
VOICI L'ORIGINE DES NOMS DE 16 QUARTIERS
1- "Nkolndongo : signifie colline de Ndongo. Il vient de 2 choses . Nkol (la colline et Ndong (le ravin en Ewondo). Nkolndongo tire ses origines de la colline qui est située derrière le Lycée de Nkolndongo. Il paraît que cette colline faisait tellement peur aux populations que personne n’osait la grimper de peur de tomber dans le ravin. Avec le temps, Nkolndongo est devenu le nom d’un village où vivent les Emombo, les Mvog Mbi et les Mvog Ada.
2- Ngoa-Ekele : ou Ngok Ekele signifie en Ewondo « pierre suspendue ». Il vient des mots Ngoa ou Ngok (pierre ou rocher) et Ekele (suspendu). C’est une zone dominée par le plateau Atemengue. Mais c’est surtout le quartier de l’Université de Yaoundé I, la toute première du Cameroun.
3- Biyem-Assi : est situé au Sud-Ouest de Yaoundé. Son nom vient de la rivière Biyeme qui se jette dans le Mfoundi au Sud de la ville. Biyem-Assi abritait aussi des villages lors des migrations des Béti.
4- Messa : est le pluriel du mot « Assa » qui veut dire «safoutier ou prunier » (en Ewondo), la plante qui donne les prunes. Il paraît qu’il y en avait en abondance à cette période. Qu’elles étaient très sucrées. Malheureusement, aujourd'hui, l’urbanisation de la ville a fait qu’on en trouve presque plus là-bas. Hélas !
5- Melen : est le pluriel de « Allen » qui en Ewondo veut dire « palmier à huile ». Quand les Allemands sont arrivés, ils ont trouvé les palmiers à huile jouuuka. Ils ont même encouragé les populations à continuer à en planter en bordure de la route d’où le nom de Ndzong Melen qui signifie en français la « Rue des palmiers ».
6- Kondengui : se traduit en français par « arène des gorilles ». Konde veut dire « cour de… brousse de… » et Ngui signifie « gorille ». Pour la petite histoire, c’est en se battant que les Mvog Ebanda ont réussi à s’installer à Nkol Atom et à Kondengui. Un lieu où ils ont trouvé plusieurs gorilles.
7- Mvog Atangana-Mballa : est un quartier situé à Awaé et limité par Mvog Mbi au Nord, Mvolye vers le sud, Olezoa vers l’Ouest. Il symbolise le regroupement des domiciles des descendants consanguins de Atangana Mballa de l’ancêtre Essomba-Naa-Bana et frère de Fuda Mballa et Tsung Mballa. Ils se seraient installés ici lors des migrations Béti et bien avant que les blancs n’atterrissent.
8- Mvog-Ada : Ces habitants sont les descendants de Tsung Mballa. Son fils Otu Tamba avait épousé une floppée de femmes parmi lesquelles : Ada, Betsi, Amvuna, Ntigui et Bela. Chaque femme a accouché d’où les clans Mvog Ada, Mvog Amvuna, Mvog Bela, Mvog Betsi, Mvog Ntigui. Ils se sont installés au village dit Messa au niveau de l’Hôpital Central actuel.
9- Elig Essono : C’est un quartier situé à Djoungolo. Il a été fondé par Essono Balla Joseph, un ancien combattant qui a fait la 1ère guerre mondiale. C’est surtout un ancien chef traditionnel de Djoungolo qui était à la tête des Mvog Ada et des Ebounboun de 1930 jusqu’à sa mort en 1951.
10- Elig Edzoa : Edzoa Mbedé est le fondateur de la dynastie Elig Edzoa. Il était le chef de toute la tribu Emombo située à Nfandena. Il paraît que c’était un sorcier très puissant qui faisait peur aux populations. C’est la raison pour laquelle son apparition demeure un traumatisme pour les Emombo de Nfandena qui est une localité dans laquelle sont inclus les quartiers Omnisport, Elig Edzoa, Essos, Nlongkak, et une partie de Djoungolo.
11- Elig Effa : La dysnatie d’Elig Effa a pour fondateur Effa Omgba Amougou Alphonse, un Mvog Betsi. C’était un chef catéchiste à Mvolyé. C’est lui qui baptisait les Ewondo, les Eton, les Yambassa, les Bamiléké de la région de Yaoundé et tout le monde qui désirait se marier à l’église catholique. À sa mort en 1939, les gens ont décidé à l’unanimité de donner son nom au village.
12- Etoudi : est situé au nord de Yaoundé, siège du Palais présidentiel. Son nom vient des populations de la tribu Etudi lors des migrations Béti. On les retrouve dans les quartiers nord de la ville. Mballa, Oliga, Etoudi, Mfoundasi, Ekoudou, Nlongkak.
13- Tsinga : Tout d’abord, le vrai nom de Tsinga est Ntougou. Il est tiré d’une rivière. C’est le siège des Mvog Ekoussou, un peuple chassé vers 1936. Le nom de leur village a été modifié paraît il sous l’impulsion de André Fouda, l’ancien Maire de Yaoundé.
14- Awaé : signifie « repos » en Ewondo. Apparemment, Awaé était un endroit qui servait de repos aux populations anciennes après une longue marche. C’était donc un lieu de rassemblement, un carrefour pendant les migrations.
15- Mimboman : a presque la même explication qu’Awaé. À la différence que Mimboman était un lieu d’installation définitive. Mimboman signifie les arrivées, les rencontres définitives, ou les installations des populations. Selon plusieurs contes, les Beti d’origines diverses s’y sont installés de façon définitive.
16- Mvolyé : vient de l’expression Ewondo « Mvol ayé ». Mvol (promesse) ayé (difficile,
4 mois depuis
Yannick Noah : Une Légende Mondiale devenue Gardien de la Tradition Camerounaise🇨🇲
Yannick Noah est un véritable symbole du Cameroun. Né en France d’un père camerounais et d’une mère française, il a passé son enfance au #Cameroun avant de retourner en France pour devenir une légende du tennis. Après sa carrière sportive, il s’est tourné vers la musique, où il a également connu un grand succès.
Mais #Yannic_Noah n’a jamais oublié ses racines. Revenu au Cameroun, il est devenu chef du village de Tongolo, honorant ainsi sa lignée royale. Il a construit un petit village dans sa terre d'enfance, où il profite maintenant de sa retraite entouré de sa famille et de son peuple.
Yannick Noah incarne le patriotisme camerounais, restant toujours fidèle à son pays d’origine.
Ensemble pour un Cameroun meilleur 🇨🇲💪🏾
Le Patriote Camerounais
Yannick Noah est un véritable symbole du Cameroun. Né en France d’un père camerounais et d’une mère française, il a passé son enfance au #Cameroun avant de retourner en France pour devenir une légende du tennis. Après sa carrière sportive, il s’est tourné vers la musique, où il a également connu un grand succès.
Mais #Yannic_Noah n’a jamais oublié ses racines. Revenu au Cameroun, il est devenu chef du village de Tongolo, honorant ainsi sa lignée royale. Il a construit un petit village dans sa terre d'enfance, où il profite maintenant de sa retraite entouré de sa famille et de son peuple.
Yannick Noah incarne le patriotisme camerounais, restant toujours fidèle à son pays d’origine.
Ensemble pour un Cameroun meilleur 🇨🇲💪🏾
Le Patriote Camerounais
4 mois depuis
#NDA_CHI 🎤🎶🎼
Nda Chi son vrai nom Armand Noel Ntoungchi Kamtchoua, est un artiste multidisciplinaire, né le 23 décembre à Baleng à l'ouest du Cameroun. Il est vainqueur du concours “Mützig Star” en 2019 et médaillé d’or aux XIe Jeux de la francophonie Kinshasa 2023 dans la catégorie chanson.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
La mise en forme de cet article est à améliorer (mars 2024).
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Nda Chi, est née au Cameroun. il est originaire du département de la Mifi. La Mifi est un département de la région de l'Ouest du (Cameroun). Issu d’une lignée de notables et de reines, dès son plus jeune âge, il est initié à la société secrète “Nelong’o”, où il a appris les rythmes et les instruments traditionnels de son peuple3. Cette initiation a profondément influencé sa carrière artistique, le menant à créer le lessa groove, un style musical qui fusionne les rythmes traditionnels avec des sonorités modernes. Titulaire d'une licence en sciences juridiques et politiques, une maîtrise en Droit carrière Judiciaire, une maîtrise en Art de spectacle, option ethnomusicologie (musicologie et chorégraphie).
Chanteur, auteur-compositeur-interprète, danseur, chorégraphe, instrumentiste, et modèle photo, Nda Chi est connu pour sa polyvalence.
Carrière de #NdaChi
Nda Chi est un passionné de danse et de photographie. Il évolue dans différentes compagnies et chorégraphe de la troupe “Otitié, étoile du Cameroun” d’Ayissi Le Duc. Fondateur du groupe de danse “Modern Afro Soul”. Il se présente comme un artiste orné, orné d’or, symbole de richesse, de puissance et de beauté. Il est le fondateur du «lessa groove».
En 2018, il commence sa carrière avec la sortie de son premier single intitulé “Dis Moi” , Lauréat du concours national de chanson “Mützig Star” en 2019 avec ce titre.
En 2020 son premier album intitulé “Ngi Ngun” qui signifie "voix des peuples" voit le jour et remporte le prix du meilleur album aux Visartculture Ouest Awards.
En 2023, il participe et est médaillé d’or dans la catégorie chanson aux XIe Jeux de la francophonie Kinshasa 2024.
Il utilise sa musique pour véhiculer des messages forts et profonds qui rendent hommage aux femmes et appelle au retour aux sources.
(C)
Nda Chi son vrai nom Armand Noel Ntoungchi Kamtchoua, est un artiste multidisciplinaire, né le 23 décembre à Baleng à l'ouest du Cameroun. Il est vainqueur du concours “Mützig Star” en 2019 et médaillé d’or aux XIe Jeux de la francophonie Kinshasa 2023 dans la catégorie chanson.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
La mise en forme de cet article est à améliorer (mars 2024).
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Nda Chi, est née au Cameroun. il est originaire du département de la Mifi. La Mifi est un département de la région de l'Ouest du (Cameroun). Issu d’une lignée de notables et de reines, dès son plus jeune âge, il est initié à la société secrète “Nelong’o”, où il a appris les rythmes et les instruments traditionnels de son peuple3. Cette initiation a profondément influencé sa carrière artistique, le menant à créer le lessa groove, un style musical qui fusionne les rythmes traditionnels avec des sonorités modernes. Titulaire d'une licence en sciences juridiques et politiques, une maîtrise en Droit carrière Judiciaire, une maîtrise en Art de spectacle, option ethnomusicologie (musicologie et chorégraphie).
Chanteur, auteur-compositeur-interprète, danseur, chorégraphe, instrumentiste, et modèle photo, Nda Chi est connu pour sa polyvalence.
Carrière de #NdaChi
Nda Chi est un passionné de danse et de photographie. Il évolue dans différentes compagnies et chorégraphe de la troupe “Otitié, étoile du Cameroun” d’Ayissi Le Duc. Fondateur du groupe de danse “Modern Afro Soul”. Il se présente comme un artiste orné, orné d’or, symbole de richesse, de puissance et de beauté. Il est le fondateur du «lessa groove».
En 2018, il commence sa carrière avec la sortie de son premier single intitulé “Dis Moi” , Lauréat du concours national de chanson “Mützig Star” en 2019 avec ce titre.
En 2020 son premier album intitulé “Ngi Ngun” qui signifie "voix des peuples" voit le jour et remporte le prix du meilleur album aux Visartculture Ouest Awards.
En 2023, il participe et est médaillé d’or dans la catégorie chanson aux XIe Jeux de la francophonie Kinshasa 2024.
Il utilise sa musique pour véhiculer des messages forts et profonds qui rendent hommage aux femmes et appelle au retour aux sources.
(C)
4 mois depuis
🛑 Casque Masque Bamiléké : SERPENTS
Date : XIXe siècle
Géographie : Cameroun, Grassfields de l'Ouest, Province de l'Ouest
Culture : Peuples Bamiléké
Matière : Bois, kaolin
Dimensions : H x L : 28 x 18 3/4 po (71,1 x 47,6 cm)
Classification : Sculpture sur bois
Crédits : Achat, Fonds Louis V. Bell, 1971
Numéro d'accession : 1971.13
[Alan Brandt, New York]
Jones, Julie et Susan Mullin Vogel. Acquisitions notables (Metropolitan Museum of Art) (1965-1975), pp. 171-183.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
Date : XIXe siècle
Géographie : Cameroun, Grassfields de l'Ouest, Province de l'Ouest
Culture : Peuples Bamiléké
Matière : Bois, kaolin
Dimensions : H x L : 28 x 18 3/4 po (71,1 x 47,6 cm)
Classification : Sculpture sur bois
Crédits : Achat, Fonds Louis V. Bell, 1971
Numéro d'accession : 1971.13
[Alan Brandt, New York]
Jones, Julie et Susan Mullin Vogel. Acquisitions notables (Metropolitan Museum of Art) (1965-1975), pp. 171-183.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
4 mois depuis
#BANDJOUN ET SON HISTOIRE RESUMEE....
1. NOTCHWEGOM
2. - DU’GNECHOM
3. - NOTOUOM I
4. - NOTOUOM(1525-1575)
5. - NOTOUOM III(1575-1625)
6. - BADHEPA (quelques jours)
7. – KAPTO(1625-1675)
8. - KAPTUE(1675-1775)
9. - KAMGAI(1775-1825)
10. - FOTSO I (1825-1875)
11. - FOTSO II (1875-1925)
12. - KAMGA II(1925-1975)
13. - FOTUE KAMGA(1975-1984)
14. - NGNIE KAMGA(1984-2004)
15. - DR DJOMO KAMGA(depuis 2004)
Il faut donc noter que lorsque le premier Chef Bandjoun appelé #NOTCHWEGOM (venu de Baleng avec son frère WAfo qui plus tard ira fonder le village Balengou), La région était boisée et giboyeuse et était divisée en de nombreuses petites chefferies rivales : telles que Dioubou. M ou'We, Soun. Moudjo. Bem. Wc. En tant que bon Chasseur, il n’a pas eu de mal à flatter les autres petits chefs et s’imposera en achetant beaucoup d’esclaves.
IL créa la société Secret "majon" pour encadrer les jeunes et les entraîner à la guerre. ce qui le rendait très puissant et craint. et menais beaucoup de conquêtes.
le 7ieme Roi appelé KAPTO aussi était très rusé et intelligent et utilisait sont intelligence pour vaincre les autres royaume et agrandir Bandjoun;
... Avec le temps, le royaume s’est tellement agrandi et devenu fort, au point que le 9ime ROI appelé Kamgue1 amplifia la politique impérialiste tout autour de Bandjoun. Il combat Bameka et Bamoungoum puis surtout le royaume Bamoum alors dirigé par le grand roi Mboumboué. et il a vaincu les Bamoun (il a été quasiment le seul à vaincre l'armée Bamoun). a tel point que il a eu un titre de "AMI EGAL DU ROI BAMOUm = SOFOACHIO. et il ya eu des accords de non agression entre les deux peuple; si vous allez ver SEDEMBON, vous allez voir que beaucoup de maman labas étaient des filles Bamoun, soit volés soient offert par le sultan.
Fotso 1er fut ensuite un grand chef de guerre. Il soumit Badenkop, combattit #Baloufam et #Baham , #Bangon et #Bayamsam . A chaque fois, les guerriers de Bandjoun rapportaient des prises de guerre. Par exemple le gros tambour de cérémonie de Bangon qui resta longtemps sur la place du marché.
Fotso II (10ieme rois) poursuivit la politique de son père mais dut renoncer à l'arrivée des Allemands vers 1905. A cette époque, au tout début du XXè siècle, Bandjoun contrôlait Bahouang, Batoufam, Bandrefam, Bagang Fokam, Badenkop, Bapa, Bayangam et vingt autres chefferies plus petites. (Famla, Dembon, Mvu, Moudjou, etc)
..... le Village appelé aujourd'hui Kouoptamo à Foumban faissait partie de bandjoun à l'époque.
...... il faut aussi noter que que Plusieurs chefs ne sont pas mis dans la liste officielle; par exemple successeurs de Kapto ne sont pas reconnus dans la généalogie royale, (Entre le 7ième Roi et le 8ieme) il y a plusieurs qui ne sont pas mentionnés car certains étant morts "le ventre gonflé" (signe de grand malheur chez les Bandjoun) ou brûlé...
......Mais, ce faisant, les Bandjoun et son FO tombèrent peu à peu sous la Domination allemande, missionnaires, enseignants et infirmiers vinrent et s'intéressèrent de près aux coutumes. ..
Malgré tout, le ROI Fotso II (11ieme roi) était pro allemand (Au point oi il avait donné son Fils Kamgua qui a été formé, et baptisé par les allemands à BANA au point de prendre le prénom de JOSEPH) et la première Eglise Catholique fut construite à l’entrée du Palais Bandjoun.....
.....A la fin de la Première guerre de 1914-1918, il eut bien entendu des ennuis avec les Français venus à la place des Allemands. Bandjoun fut brimé : l'autorité du FO est réduite, beaucoup de sous chefferies sont rendues indépendantes (Bangang Fokam et Badenkop dès 1916 ; Batoufam en 1922, Badrefam en 1924 ; Bayangam, Bapa et Bahouang peu après. Le chef était tellement enervé qu’il a envoué les missionnaires Français Evangéliques Loin à Mbieng 2 ; loin de sa chefferie (un moyen aussi pour que les terre de Mbieng ne soient pas remis au Bafoussam...
...En 1925, la succession de Fotso II posa des problèmes. Les autorités Françaises imposèrent leur candidat contre celui soutenu par les Notables. Kamgue Il ou Kamga Il devint le 12ieme FO malgré tout et son règne dura 50 années, jusqu'en 1975. Le calme revint à Bandjoun, le candidat évincé et réfugié à Foumban et à Bana (Appelé BOPDA), laissa Kamgue exercer le pouvoir ; il revint même s’installer à Bandjoun à MBOUO (non loin de YOM) comme chef coutumier et prit le titre de wafo
...Par exemple, un chef nommé Fodépa
(c'est-à-dire "celui qui cultive le tabac" ou "qui est enterré près d'un champ de tabac") a régné sur Bandioun sous le nom de Notuégom II.
Certains informateurs affirment qu'il était le fils de Dyugnechom et qu'il a régné avant Kapto. Comme il est mort "le ventre gonflé'' (signe de malheur à Bandjoun), on ne put le compter parmi les souverains.........
👍 Source: Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
1. NOTCHWEGOM
2. - DU’GNECHOM
3. - NOTOUOM I
4. - NOTOUOM(1525-1575)
5. - NOTOUOM III(1575-1625)
6. - BADHEPA (quelques jours)
7. – KAPTO(1625-1675)
8. - KAPTUE(1675-1775)
9. - KAMGAI(1775-1825)
10. - FOTSO I (1825-1875)
11. - FOTSO II (1875-1925)
12. - KAMGA II(1925-1975)
13. - FOTUE KAMGA(1975-1984)
14. - NGNIE KAMGA(1984-2004)
15. - DR DJOMO KAMGA(depuis 2004)
Il faut donc noter que lorsque le premier Chef Bandjoun appelé #NOTCHWEGOM (venu de Baleng avec son frère WAfo qui plus tard ira fonder le village Balengou), La région était boisée et giboyeuse et était divisée en de nombreuses petites chefferies rivales : telles que Dioubou. M ou'We, Soun. Moudjo. Bem. Wc. En tant que bon Chasseur, il n’a pas eu de mal à flatter les autres petits chefs et s’imposera en achetant beaucoup d’esclaves.
IL créa la société Secret "majon" pour encadrer les jeunes et les entraîner à la guerre. ce qui le rendait très puissant et craint. et menais beaucoup de conquêtes.
le 7ieme Roi appelé KAPTO aussi était très rusé et intelligent et utilisait sont intelligence pour vaincre les autres royaume et agrandir Bandjoun;
... Avec le temps, le royaume s’est tellement agrandi et devenu fort, au point que le 9ime ROI appelé Kamgue1 amplifia la politique impérialiste tout autour de Bandjoun. Il combat Bameka et Bamoungoum puis surtout le royaume Bamoum alors dirigé par le grand roi Mboumboué. et il a vaincu les Bamoun (il a été quasiment le seul à vaincre l'armée Bamoun). a tel point que il a eu un titre de "AMI EGAL DU ROI BAMOUm = SOFOACHIO. et il ya eu des accords de non agression entre les deux peuple; si vous allez ver SEDEMBON, vous allez voir que beaucoup de maman labas étaient des filles Bamoun, soit volés soient offert par le sultan.
Fotso 1er fut ensuite un grand chef de guerre. Il soumit Badenkop, combattit #Baloufam et #Baham , #Bangon et #Bayamsam . A chaque fois, les guerriers de Bandjoun rapportaient des prises de guerre. Par exemple le gros tambour de cérémonie de Bangon qui resta longtemps sur la place du marché.
Fotso II (10ieme rois) poursuivit la politique de son père mais dut renoncer à l'arrivée des Allemands vers 1905. A cette époque, au tout début du XXè siècle, Bandjoun contrôlait Bahouang, Batoufam, Bandrefam, Bagang Fokam, Badenkop, Bapa, Bayangam et vingt autres chefferies plus petites. (Famla, Dembon, Mvu, Moudjou, etc)
..... le Village appelé aujourd'hui Kouoptamo à Foumban faissait partie de bandjoun à l'époque.
...... il faut aussi noter que que Plusieurs chefs ne sont pas mis dans la liste officielle; par exemple successeurs de Kapto ne sont pas reconnus dans la généalogie royale, (Entre le 7ième Roi et le 8ieme) il y a plusieurs qui ne sont pas mentionnés car certains étant morts "le ventre gonflé" (signe de grand malheur chez les Bandjoun) ou brûlé...
......Mais, ce faisant, les Bandjoun et son FO tombèrent peu à peu sous la Domination allemande, missionnaires, enseignants et infirmiers vinrent et s'intéressèrent de près aux coutumes. ..
Malgré tout, le ROI Fotso II (11ieme roi) était pro allemand (Au point oi il avait donné son Fils Kamgua qui a été formé, et baptisé par les allemands à BANA au point de prendre le prénom de JOSEPH) et la première Eglise Catholique fut construite à l’entrée du Palais Bandjoun.....
.....A la fin de la Première guerre de 1914-1918, il eut bien entendu des ennuis avec les Français venus à la place des Allemands. Bandjoun fut brimé : l'autorité du FO est réduite, beaucoup de sous chefferies sont rendues indépendantes (Bangang Fokam et Badenkop dès 1916 ; Batoufam en 1922, Badrefam en 1924 ; Bayangam, Bapa et Bahouang peu après. Le chef était tellement enervé qu’il a envoué les missionnaires Français Evangéliques Loin à Mbieng 2 ; loin de sa chefferie (un moyen aussi pour que les terre de Mbieng ne soient pas remis au Bafoussam...
...En 1925, la succession de Fotso II posa des problèmes. Les autorités Françaises imposèrent leur candidat contre celui soutenu par les Notables. Kamgue Il ou Kamga Il devint le 12ieme FO malgré tout et son règne dura 50 années, jusqu'en 1975. Le calme revint à Bandjoun, le candidat évincé et réfugié à Foumban et à Bana (Appelé BOPDA), laissa Kamgue exercer le pouvoir ; il revint même s’installer à Bandjoun à MBOUO (non loin de YOM) comme chef coutumier et prit le titre de wafo
...Par exemple, un chef nommé Fodépa
(c'est-à-dire "celui qui cultive le tabac" ou "qui est enterré près d'un champ de tabac") a régné sur Bandioun sous le nom de Notuégom II.
Certains informateurs affirment qu'il était le fils de Dyugnechom et qu'il a régné avant Kapto. Comme il est mort "le ventre gonflé'' (signe de malheur à Bandjoun), on ne put le compter parmi les souverains.........
👍 Source: Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
4 mois depuis
LA #DOT CHEZ LES #Mbouda Ouest Cameroun. (Mariage Mbouda-Ewondo).
Les Mbouda appartiennent à la grande famille Bamiléké de la région de l’Ouest Cameroun, et sont reconnus pour leur intégrité, leur sens du travail et de la culture, et surtout ils sont encore bien imprégnés de leurs traditions auxquelles ils sont très attachés. Bien que certains éléments dans leurs us et coutumes se perdent de nos jours, ils en conservent la plupart.
On se rappelle que jusque dans les années 1995, on comptait du bout des doigts le nombre de beaux fils originaires des autres régions (Centre, Littoral, Sud Est…). De nos jours, il n’en est plus ainsi. Les mariages inter-régions se célèbrent aujourd’hui avec une certaine aisance. Et la dot chez eux telle que nous l’avons vécu entre un Ewondo de Bipindi par Kribi et une Mbouda de Babadjou par Bamenda nous a interpellés sur bien des aspects.
D’abord l’Ewondo, qui vivait déjà depuis quelques années avec la Mbouda (le vient on reste) et était le père de son enfant, s’est présenté auprès de la famille Mbouda comme l’homme avec qui leur fille vit. En béti, on appelle ça « a voé Aba » c’est-à-dire se présenter comme futur beau fils. Malgré cet élan de sincérité, sa future belle-famille continuait à demander à leur fille, « est-ce que ton gars Nkwa va bien ? » ; Nkwa étant l’expression par laquelle les Bamiléké nomment les peuples du Centre/Sud, pendant que les Ewondo les appellent les Beloblobo.
Cependant, aucune de ces expressions n’entrave en rien les relations entre ces peuples car ces appellations sont devenues populaires. Lorsque le jeune Ewondo a perdu son papa, on a reproché à la famille de la fille de n’avoir pas assisté aux obsèques, excepté leur fille, certainement parce que le mariage coutumier n’avait pas encore été célébré. A tord ou à raison …
Au moment où l’Ewondo s’est engagé à aller faire la dot, on lui a demandé six chèvres, six bidons d’huile rouge de 20 litres, six bidons de 20l de vin de palme et trois enveloppes d’un montant de cinquante milles francs chacune. Cette dot était répartie comme suit :
Pour la famille du père, deux chèvres, deux bidons de vin de palme, deux bidons d’huile rouge ; pareil pour la famille de la mère.
Le grand-père du côté de la mère recevra une chèvre, un bidon de vin de palme et un bidon d’huile rouge ; pareil pour le grand-père du côté de la mère.
Une enveloppe de cinquante mille francs sera déposée partout où nous avons laissé les choses demandées.
L’autre aspect de la dot fut que dans chaque maison, des femmes venaient avec des assiettes couvertes, trois femmes à chaque passage , où nous trouvions tantôt des œufs, des arachides, ou des kolas. Ces assiettes étaient remises à la famille Ewondo qui les rendait à ces femmes avec une somme de leur choix dans chaque assiette. La plus grosse somme qu’on a remise était cinq mille, et c’était au début de la cérémonie, quand les poches étaient encore pleines.
Il ne va pas sans dire qu’à chaque arrêt, on consommait les meilleurs plats de la cuisine mbouda : de la sauce jaune aux pommes pilées, en passant par le couscous … quel régal ! Aucun plat d’une autre région n’était au menu, encore moins les plats européens. Par ce geste, la famille Mbouda voulait dire à son beau fils qu’il épouse toute une culture. Alors n’allons pas voir dans ce geste une attitude égoïste, voire du tribalisme.
Enfin, l’un des aspects typiquement coutumier qui nous a marqué est que : seul dans la famille du père de la fille, on a pu faire le culte des crânes auquel nous avons eu le privilège d’assister (une cérémonie qui consiste à dire aux ancêtres qu’un prétendant est venu prendre leur fille comme épouse).
C’est donc de cette manière que l’on contracte le mariage coutumier chez les Mbouda. Une fois, cette cérémonie terminée, le mariage à la mairie n’a plus d’importance, c’est un événement qui dépend maintenant du conjoint et la conjointe.
Toutefois, ce qui nous a intrigué est que lors du culte des crânes, comme on s’est retrouvé à court de liquidité, il est resté une somme de quarante mille à reverser à la belle-famille suite aux imprévus rencontrés durant la cérémonie. Nous nous sommes engagés à expédier cet argent par banque. C’est alors qu’au moment du rite des crânes, le patriarche nous dit qu’il a dit aux ancêtres qu’on doit revenir verser cet argent sinon, on aura des ennuis … Mince vrai vrai que même les morts ont leur part de dot !!!
🛑 Source : Grand Prof
Oui moi c'est Grand Prof, celui qui lap il va planter les choux. A l'heure ci tout ce que je dis ce n'est pas la bible. Si j'ai oublié un way, complète seulement ! Si j'ai menti, dis seulement ta part de vérité en commentaire !
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
Les Mbouda appartiennent à la grande famille Bamiléké de la région de l’Ouest Cameroun, et sont reconnus pour leur intégrité, leur sens du travail et de la culture, et surtout ils sont encore bien imprégnés de leurs traditions auxquelles ils sont très attachés. Bien que certains éléments dans leurs us et coutumes se perdent de nos jours, ils en conservent la plupart.
On se rappelle que jusque dans les années 1995, on comptait du bout des doigts le nombre de beaux fils originaires des autres régions (Centre, Littoral, Sud Est…). De nos jours, il n’en est plus ainsi. Les mariages inter-régions se célèbrent aujourd’hui avec une certaine aisance. Et la dot chez eux telle que nous l’avons vécu entre un Ewondo de Bipindi par Kribi et une Mbouda de Babadjou par Bamenda nous a interpellés sur bien des aspects.
D’abord l’Ewondo, qui vivait déjà depuis quelques années avec la Mbouda (le vient on reste) et était le père de son enfant, s’est présenté auprès de la famille Mbouda comme l’homme avec qui leur fille vit. En béti, on appelle ça « a voé Aba » c’est-à-dire se présenter comme futur beau fils. Malgré cet élan de sincérité, sa future belle-famille continuait à demander à leur fille, « est-ce que ton gars Nkwa va bien ? » ; Nkwa étant l’expression par laquelle les Bamiléké nomment les peuples du Centre/Sud, pendant que les Ewondo les appellent les Beloblobo.
Cependant, aucune de ces expressions n’entrave en rien les relations entre ces peuples car ces appellations sont devenues populaires. Lorsque le jeune Ewondo a perdu son papa, on a reproché à la famille de la fille de n’avoir pas assisté aux obsèques, excepté leur fille, certainement parce que le mariage coutumier n’avait pas encore été célébré. A tord ou à raison …
Au moment où l’Ewondo s’est engagé à aller faire la dot, on lui a demandé six chèvres, six bidons d’huile rouge de 20 litres, six bidons de 20l de vin de palme et trois enveloppes d’un montant de cinquante milles francs chacune. Cette dot était répartie comme suit :
Pour la famille du père, deux chèvres, deux bidons de vin de palme, deux bidons d’huile rouge ; pareil pour la famille de la mère.
Le grand-père du côté de la mère recevra une chèvre, un bidon de vin de palme et un bidon d’huile rouge ; pareil pour le grand-père du côté de la mère.
Une enveloppe de cinquante mille francs sera déposée partout où nous avons laissé les choses demandées.
L’autre aspect de la dot fut que dans chaque maison, des femmes venaient avec des assiettes couvertes, trois femmes à chaque passage , où nous trouvions tantôt des œufs, des arachides, ou des kolas. Ces assiettes étaient remises à la famille Ewondo qui les rendait à ces femmes avec une somme de leur choix dans chaque assiette. La plus grosse somme qu’on a remise était cinq mille, et c’était au début de la cérémonie, quand les poches étaient encore pleines.
Il ne va pas sans dire qu’à chaque arrêt, on consommait les meilleurs plats de la cuisine mbouda : de la sauce jaune aux pommes pilées, en passant par le couscous … quel régal ! Aucun plat d’une autre région n’était au menu, encore moins les plats européens. Par ce geste, la famille Mbouda voulait dire à son beau fils qu’il épouse toute une culture. Alors n’allons pas voir dans ce geste une attitude égoïste, voire du tribalisme.
Enfin, l’un des aspects typiquement coutumier qui nous a marqué est que : seul dans la famille du père de la fille, on a pu faire le culte des crânes auquel nous avons eu le privilège d’assister (une cérémonie qui consiste à dire aux ancêtres qu’un prétendant est venu prendre leur fille comme épouse).
C’est donc de cette manière que l’on contracte le mariage coutumier chez les Mbouda. Une fois, cette cérémonie terminée, le mariage à la mairie n’a plus d’importance, c’est un événement qui dépend maintenant du conjoint et la conjointe.
Toutefois, ce qui nous a intrigué est que lors du culte des crânes, comme on s’est retrouvé à court de liquidité, il est resté une somme de quarante mille à reverser à la belle-famille suite aux imprévus rencontrés durant la cérémonie. Nous nous sommes engagés à expédier cet argent par banque. C’est alors qu’au moment du rite des crânes, le patriarche nous dit qu’il a dit aux ancêtres qu’on doit revenir verser cet argent sinon, on aura des ennuis … Mince vrai vrai que même les morts ont leur part de dot !!!
🛑 Source : Grand Prof
Oui moi c'est Grand Prof, celui qui lap il va planter les choux. A l'heure ci tout ce que je dis ce n'est pas la bible. Si j'ai oublié un way, complète seulement ! Si j'ai menti, dis seulement ta part de vérité en commentaire !
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
4 mois depuis
🗣️🇨🇲Pourquoi ils se font appeler les #Bafoussam ?💰🪙💵💸
Au départ constitué de petits villages, aujourd’hui la ville de Bafoussam donne fière allure. Elle est le chef-lieu de la région de l’Ouest Cameroun, chef-lieu du département de la Mifi.
En 2008, elle devient une commune urbaine.Les origines du peuple Bafoussam remontent depuis la plaine Tikar. Il y a 1200 ans, ils vivaient tout autour de la partie Sud des monts Mbam, avec d’autres groupes ethnies, sous la direction d’un chef. Sous la conduite du chef Ta’a Teh Ngouong, ils migrent d’abord vers Foussan en pays Bamoun, puis ils traversent le fleuve Noun pour s’installer à « Mepen Pen ».
Le peuple Bafoussam aurait compris que pour mieux gagner, il est préférable de vendre en détail les produits achetés en gros. Pour le faire il utilise des petits paniers pour mesurer. C’est la raison pour laquelle, Fuh veut dire « mesurer » et Sap ou Sep exprime le « bénéfice ou le trésor », pour indiquer le petit panier dans lequel on vend les produits.
Ce qui nous donne Pefuhssap ou Pefuhssap qui signifie de manière littérale « ceux qui ont découvert que le trésor se trouve dans la vente en détail ». Un argument que soutiendraient certaines personnes qui estiment que, le peuple Bafoussam depuis le pays Bamoum où ils ont vécu, porte ce nom. Puisque on leur aurait toujours reconnu cette manière de faire le commerce, d’où ce nom pour les caractériser.
Le 17 siècle est marqué par la montée en puissance des peuls, qui veulent islamiser la zone Sud. C’est dans ce contexte que, les Bafoussam, fuyant cette croisade religieuse, vont migrer à Kassap dans la localité de Fankou, à Houa dans la localité de Bandjoun, puis katchuet, Famchuet et enfin Famcep. C’est après toutes ces migrations, que le chef Tagheu choisit d’installer le royaume de Bafoussam ou encore l’institution traditionnelle Ngouong Fussep à Hiala, où il se trouve actuellement.
Dans la langue maternelle, Bafoussam s’écrit « Pe foussan » ou encore « Pe fussep » qui veut dire en français « les gens de… » . Plus tard le « Pe » va être transformé « Ba », mais en gardant toujours la même signification. Il se dit que c’est avec l’arrivée des colons que les deux mots vont être fusionnés pour donner Bafoussam. Mais une autre information fait entendre que, le nom Bafoussam viendrait du comportement de ce peuple, considéré comme très rusé en affaire.
Elle avance que Bafoussam serait une mauvaise prononciation de Fuh Sep qui veut dire « qu’on gagne plus en vendant en détail qu’en gros ».
#laculturepourledeveloppement #Andaal #apprentissage
Au départ constitué de petits villages, aujourd’hui la ville de Bafoussam donne fière allure. Elle est le chef-lieu de la région de l’Ouest Cameroun, chef-lieu du département de la Mifi.
En 2008, elle devient une commune urbaine.Les origines du peuple Bafoussam remontent depuis la plaine Tikar. Il y a 1200 ans, ils vivaient tout autour de la partie Sud des monts Mbam, avec d’autres groupes ethnies, sous la direction d’un chef. Sous la conduite du chef Ta’a Teh Ngouong, ils migrent d’abord vers Foussan en pays Bamoun, puis ils traversent le fleuve Noun pour s’installer à « Mepen Pen ».
Le peuple Bafoussam aurait compris que pour mieux gagner, il est préférable de vendre en détail les produits achetés en gros. Pour le faire il utilise des petits paniers pour mesurer. C’est la raison pour laquelle, Fuh veut dire « mesurer » et Sap ou Sep exprime le « bénéfice ou le trésor », pour indiquer le petit panier dans lequel on vend les produits.
Ce qui nous donne Pefuhssap ou Pefuhssap qui signifie de manière littérale « ceux qui ont découvert que le trésor se trouve dans la vente en détail ». Un argument que soutiendraient certaines personnes qui estiment que, le peuple Bafoussam depuis le pays Bamoum où ils ont vécu, porte ce nom. Puisque on leur aurait toujours reconnu cette manière de faire le commerce, d’où ce nom pour les caractériser.
Le 17 siècle est marqué par la montée en puissance des peuls, qui veulent islamiser la zone Sud. C’est dans ce contexte que, les Bafoussam, fuyant cette croisade religieuse, vont migrer à Kassap dans la localité de Fankou, à Houa dans la localité de Bandjoun, puis katchuet, Famchuet et enfin Famcep. C’est après toutes ces migrations, que le chef Tagheu choisit d’installer le royaume de Bafoussam ou encore l’institution traditionnelle Ngouong Fussep à Hiala, où il se trouve actuellement.
Dans la langue maternelle, Bafoussam s’écrit « Pe foussan » ou encore « Pe fussep » qui veut dire en français « les gens de… » . Plus tard le « Pe » va être transformé « Ba », mais en gardant toujours la même signification. Il se dit que c’est avec l’arrivée des colons que les deux mots vont être fusionnés pour donner Bafoussam. Mais une autre information fait entendre que, le nom Bafoussam viendrait du comportement de ce peuple, considéré comme très rusé en affaire.
Elle avance que Bafoussam serait une mauvaise prononciation de Fuh Sep qui veut dire « qu’on gagne plus en vendant en détail qu’en gros ».
#laculturepourledeveloppement #Andaal #apprentissage
4 mois depuis
FESTIVAL CULTUREL ET ARTISTIQUE DU PEUPLE BANWA KŌM NĀ Ô NKŌ' 2024
Tu es Artiste musicien, danseur, comédien, DJ et bien d'autres activités Culturelles découverte vivant dans le culturel du peuple Banwa département du Haut-Nkam région de l'Ouest Cameroun. Viens prester à la 6ème édition du Festival KŌM NĀ Ô NKŌ' et tente de gagner plusieurs cadeaux avec des sommes d'argent 15.000fcfa/20.000fcfa/25.000fcfa/30.000fcfa. gagnants tous les soirs pendant une semaine d'activités .
Aussi c'est le plus grand podium dont puisse rever un Artiste actuellement dans le Haut-Nkam, au cœur de plusieurs stands de chapiteaux du village du Festival KŌM NĀ Ô NKŌ'
Un podium pour un spectacle Live, écran géant,...Amène tes amis, tes collègues, ta famille et fans te soutenir et tu seras probablement l'un des 21 lauréats de la semaine de Noël à Banwa.
Tél : 694-17-48-19 / 679-74-33-28
Tu es Artiste musicien, danseur, comédien, DJ et bien d'autres activités Culturelles découverte vivant dans le culturel du peuple Banwa département du Haut-Nkam région de l'Ouest Cameroun. Viens prester à la 6ème édition du Festival KŌM NĀ Ô NKŌ' et tente de gagner plusieurs cadeaux avec des sommes d'argent 15.000fcfa/20.000fcfa/25.000fcfa/30.000fcfa. gagnants tous les soirs pendant une semaine d'activités .
Aussi c'est le plus grand podium dont puisse rever un Artiste actuellement dans le Haut-Nkam, au cœur de plusieurs stands de chapiteaux du village du Festival KŌM NĀ Ô NKŌ'
Un podium pour un spectacle Live, écran géant,...Amène tes amis, tes collègues, ta famille et fans te soutenir et tu seras probablement l'un des 21 lauréats de la semaine de Noël à Banwa.
Tél : 694-17-48-19 / 679-74-33-28
5 mois depuis
⛔️ACTU_F00T🇨🇲: CONTRAIREMENT aux fausses informations en circulation sur certaines pages sportives annonçant l'élimination de Rigas Fs de toutes compétitions Européens, le gardien du peuple Fabrice Ondoa et ses coéquipièrs disputeront bel et bien le 3eme tour qualificatif de la league d'Europa.
Et loin de la en cas de défaite, ils disputeront les barrages de la conférence league.
#Actufoot237
Et loin de la en cas de défaite, ils disputeront les barrages de la conférence league.
#Actufoot237
5 mois depuis
LES HABITANTS DE #SURINAME
Les habitants du Suriname est un pays d'Amérique du Sud dont les habitants (noirs) sont d'ascendance africaine, en particulier du #ghana .
Le Suriname, autrefois connu sous le nom de Guyane néerlandaise, est l'un des plus petits pays d'Amérique du Sud. ... Le Suriname est l'un des pays les plus diversifiés des Amériques sur le plan ethnique. La plupart de ses habitants descendent d'Africains, d'Indiens et de Javanais, travailleurs sous contrat amenés par les Néerlandais pour travailler dans l'agriculture.
La plus grande ville du Suriname est la capitale Paramaribo. Plus de 90 % du pays est couvert par la forêt tropicale. Le nom du pays, "Suriname", provient du peuple Surinen qui vivait dans la région au XVIe siècle. Le Suriname est connu pour ses plantations de sucre hollandaises.
L'anglais est largement parlé dans le tourisme, les restaurants, les bars, etc... L'anglais est largement parlé au Suriname et en Guyane.
Les habitants du Suriname est un pays d'Amérique du Sud dont les habitants (noirs) sont d'ascendance africaine, en particulier du #ghana .
Le Suriname, autrefois connu sous le nom de Guyane néerlandaise, est l'un des plus petits pays d'Amérique du Sud. ... Le Suriname est l'un des pays les plus diversifiés des Amériques sur le plan ethnique. La plupart de ses habitants descendent d'Africains, d'Indiens et de Javanais, travailleurs sous contrat amenés par les Néerlandais pour travailler dans l'agriculture.
La plus grande ville du Suriname est la capitale Paramaribo. Plus de 90 % du pays est couvert par la forêt tropicale. Le nom du pays, "Suriname", provient du peuple Surinen qui vivait dans la région au XVIe siècle. Le Suriname est connu pour ses plantations de sucre hollandaises.
L'anglais est largement parlé dans le tourisme, les restaurants, les bars, etc... L'anglais est largement parlé au Suriname et en Guyane.
5 mois depuis
LES 3 LANGUES AFRICAINES LES PLUS PARLÉES EN AFRIQUE :
1. LE SWAHILI :
Le swahili est la langue africaine qui connaît le plus grand nombre de locuteurs. En effet, on estime à plus de 150 millions le nombre de personnes capables de comprendre et de s’exprimer selon cette langue. Le swahili est une langue bantoue originaire d’Afrique de l’Est, parlée dans de nombreux pays comme la République Démocratique du Congo, le Rwanda, la Tanzanie, le Kenya et bien d’autres encore.
2. LE HAOUSSA :
Le haoussa est une des langues officielles du
Nigéria. Elle est parlée par de nombreux peuples, au-delà de ce pays. On peut citer en exemple le Niger, le Soudan, le Bénin ou encore le Togo. On estime son nombre de locuteurs à près de 79 millions, dont plus de 50 millions au Nigéria.
3. LE PEUL :
Le peul est une langue très répandue au sein de l’ouest de l’Afrique. Avec plus de 50 millions de locuteurs, le peul s’éparpille dans de nombreux pays comme la Gambie, le Niger, Le Burkina Faso, la Mauritanie et bien d’autres encore. Le peul se décline sous plusieurs formes d’écritures, en alphabet latin, en arabe, mais aussi en adlam, un récent alphabet inventé en Guinée. La langue porte le nom du peuple des Peuls, également désignés sous le nom de Fulfuldes, historiquement situé dans la bande sahélo-saharienne.
1. LE SWAHILI :
Le swahili est la langue africaine qui connaît le plus grand nombre de locuteurs. En effet, on estime à plus de 150 millions le nombre de personnes capables de comprendre et de s’exprimer selon cette langue. Le swahili est une langue bantoue originaire d’Afrique de l’Est, parlée dans de nombreux pays comme la République Démocratique du Congo, le Rwanda, la Tanzanie, le Kenya et bien d’autres encore.
2. LE HAOUSSA :
Le haoussa est une des langues officielles du
Nigéria. Elle est parlée par de nombreux peuples, au-delà de ce pays. On peut citer en exemple le Niger, le Soudan, le Bénin ou encore le Togo. On estime son nombre de locuteurs à près de 79 millions, dont plus de 50 millions au Nigéria.
3. LE PEUL :
Le peul est une langue très répandue au sein de l’ouest de l’Afrique. Avec plus de 50 millions de locuteurs, le peul s’éparpille dans de nombreux pays comme la Gambie, le Niger, Le Burkina Faso, la Mauritanie et bien d’autres encore. Le peul se décline sous plusieurs formes d’écritures, en alphabet latin, en arabe, mais aussi en adlam, un récent alphabet inventé en Guinée. La langue porte le nom du peuple des Peuls, également désignés sous le nom de Fulfuldes, historiquement situé dans la bande sahélo-saharienne.
5 mois depuis
🗣️Tout savoir sur l’origine du nom du peuple Tikar🇨🇲
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ». C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire qui a deux versions.
#TIKAR
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar. Les travaux de certains chercheurs camerounais pour élucider le mystère de ce peuple ont même démontré qu’il y aurait eu à partir du 16 ème siècle, un vaste empire Tikar qui allait de l’Adamaoua jusqu’au flanc de la vallée de Yoko.
D’autres études parlent aussi d’une migration qui aurait commencé depuis la Nubie, avant de se poursuivre en Égypte et puis enfin dans le pays des Mboum. C’est donc à partir de cette localité que ce hameau familial va une nouvelle fois éclater. Et la raison de cette quatrième migration qui serait à l’origine du nom Tikar trouve son explication dans deux légendes.
Dans la première légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes. Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui. Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village. C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ». Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes. Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Une autre légende parle plutôt d’un partage héritage qui aurait plutôt mal tourné entre les enfants du Belaka. À la mort de ce dernier, il laisse laisse trois enfants dont une fille et deux garçons. Mais avant son décès, le chef aurait pris le soin de laisser les consignes sur la répartition de ses biens. Seulement, les deux garçons ne vont pas suivre les directives de leur père. L’intervention de certains notables pour les revenir à la raison ne va rien changer. Au contraire, ils vont chasser leur sœur pour avoir une main mise sur la totalité de l’héritage. Ils vont également utiliser l’expression « sors d’ici » qui s’écrit cette fois-ci « tim kala » pour chasser leur sœur de la concession familiale.
Déçue par le comportement de ses frères, elle trouvera refuge chez un autre communauté. Cependant, aucun récit ne fait mention de cette communauté en question. Plus tard, elle va se marier et avoir plusieurs fils. Devenus adultes, l’histoire raconte que, elle aurait envoyer ses fils vers sa famille d’origine pour réclamer leurs attributs de chefferie afin que, de retour avec leur titre de noblesse, ils puissent être à leur tour des chefs où elle avait trouvé refuge. Et qu’en souvenir de son départ du village où elle était née, le nom Tika puisse être porté par ce peuple. Même s’il convient de dire que l’expression « sors d’ici » est connu de tous les Tikar comme ayant été à l’origine du nom qu’ils portent aujourd’hui, le mystère réside maintenant dans le contexte où il a été utilisé. Et sur ce point, les avis sont partagés, peut-être il y aurait une autre version dans cette histoire.
👉🏿Charly ngon
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ». C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire qui a deux versions.
#TIKAR
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar. Les travaux de certains chercheurs camerounais pour élucider le mystère de ce peuple ont même démontré qu’il y aurait eu à partir du 16 ème siècle, un vaste empire Tikar qui allait de l’Adamaoua jusqu’au flanc de la vallée de Yoko.
D’autres études parlent aussi d’une migration qui aurait commencé depuis la Nubie, avant de se poursuivre en Égypte et puis enfin dans le pays des Mboum. C’est donc à partir de cette localité que ce hameau familial va une nouvelle fois éclater. Et la raison de cette quatrième migration qui serait à l’origine du nom Tikar trouve son explication dans deux légendes.
Dans la première légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes. Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui. Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village. C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ». Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes. Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Une autre légende parle plutôt d’un partage héritage qui aurait plutôt mal tourné entre les enfants du Belaka. À la mort de ce dernier, il laisse laisse trois enfants dont une fille et deux garçons. Mais avant son décès, le chef aurait pris le soin de laisser les consignes sur la répartition de ses biens. Seulement, les deux garçons ne vont pas suivre les directives de leur père. L’intervention de certains notables pour les revenir à la raison ne va rien changer. Au contraire, ils vont chasser leur sœur pour avoir une main mise sur la totalité de l’héritage. Ils vont également utiliser l’expression « sors d’ici » qui s’écrit cette fois-ci « tim kala » pour chasser leur sœur de la concession familiale.
Déçue par le comportement de ses frères, elle trouvera refuge chez un autre communauté. Cependant, aucun récit ne fait mention de cette communauté en question. Plus tard, elle va se marier et avoir plusieurs fils. Devenus adultes, l’histoire raconte que, elle aurait envoyer ses fils vers sa famille d’origine pour réclamer leurs attributs de chefferie afin que, de retour avec leur titre de noblesse, ils puissent être à leur tour des chefs où elle avait trouvé refuge. Et qu’en souvenir de son départ du village où elle était née, le nom Tika puisse être porté par ce peuple. Même s’il convient de dire que l’expression « sors d’ici » est connu de tous les Tikar comme ayant été à l’origine du nom qu’ils portent aujourd’hui, le mystère réside maintenant dans le contexte où il a été utilisé. Et sur ce point, les avis sont partagés, peut-être il y aurait une autre version dans cette histoire.
👉🏿Charly ngon
5 mois depuis
🔔« 1% de mon salaire va au peuple croate »
En 2015, un garçon de 16 ans a décidé de quitter "La Masia", l'une des principales académies de football au monde.
Sa destination n'était pas un grand club européen ou une ligue sous les projecteurs, mais le Dinamo Zagreb, un club croate.
Beaucoup disaient qu'il était fou et beaucoup l'ont traité de fou. Cependant, déménager pour jouer dans la « terre à damier » a changé sa vie pour toujours.
"Pourquoi avez-vous quitté La Masia ? C'est ce qu'on m'a toujours demandé. À ce moment-là, le monde en ligne était en train d'écouter ma décision : un garçon quittant Barcelone pour rejoindre Dinamo Zagreb," a-t-il commencé à se rappeler.
"Parfois, la vie vous amène à des moments inattendus. Quand vous passez cette porte, un nouveau chemin commence. Rejoignant Dinamo Zagreb, j'étais encore un garçon qui voulait jouer et rivaliser dans le football. Ce club compte plus pour moi que je ne l'aurais jamais imaginé. "
"C'est la vie. Vous ne pouvez pas prédire les personnes que vous rencontrerez, les relations que vous allez construire et les expériences que vous allez vivre. Avant de sortir, vous devez faire confiance à votre instinct et suivre votre propre conduite. "
Durant ses six années au Dinamo Zagreb, il a mené les "Bleus" à remporter 5 fois la première ligue et la Coupe de Croatie 3 fois. Les opportunités de football qu'il a reçues, il s'est transformé en aide sincère
« Pendant les six ans que j'ai vécu en Croatie, j'ai senti que ce pays était comme chez moi. J'avais un surnom en jouant au Dinamo Zagreb. Les gens m'appelaient 'Olmić,' un joli nom. La plupart des noms croates se terminent par les lettres 'ić'. "
« Même si j'ai dû dire au revoir à la Croatie il y a quelques années, il est toujours très important pour moi de rester connecté avec ce pays et les gens qui y vivent. "
« Tout au long de mon séjour en Croatie, j'ai appris son histoire et ses guerres. Il a fallu du temps à mes coéquipiers pour me révéler ces histoires. J'ai appris peu à peu comment divers conflits affectaient les gens. "
« Ces choses m'ont aussi affecté. C'est pourquoi j'ai dû rejoindre le projet Objectif Commun. Les Croates sont devenus ma famille. Je veux aider cette terre à surmonter les histoires passées et à construire un avenir brillant. "
« 1% de mon salaire va à Cross Cultures, une organisation en Croatie qui relie le football aux communautés touchées par la guerre. Je crois en leur vision. "
« En Croatie, le football est comme une religion. Les gens sont dévoués à ce sport. J'ai vu comment ça peut guérir et aider les gens. "
« Je suis reconnaissant pour le bond que j'ai fait à 16 ans pour apprendre à connaître la Croatie et son peuple merveilleux. "
Dani Olmo De #masterfoot
En 2015, un garçon de 16 ans a décidé de quitter "La Masia", l'une des principales académies de football au monde.
Sa destination n'était pas un grand club européen ou une ligue sous les projecteurs, mais le Dinamo Zagreb, un club croate.
Beaucoup disaient qu'il était fou et beaucoup l'ont traité de fou. Cependant, déménager pour jouer dans la « terre à damier » a changé sa vie pour toujours.
"Pourquoi avez-vous quitté La Masia ? C'est ce qu'on m'a toujours demandé. À ce moment-là, le monde en ligne était en train d'écouter ma décision : un garçon quittant Barcelone pour rejoindre Dinamo Zagreb," a-t-il commencé à se rappeler.
"Parfois, la vie vous amène à des moments inattendus. Quand vous passez cette porte, un nouveau chemin commence. Rejoignant Dinamo Zagreb, j'étais encore un garçon qui voulait jouer et rivaliser dans le football. Ce club compte plus pour moi que je ne l'aurais jamais imaginé. "
"C'est la vie. Vous ne pouvez pas prédire les personnes que vous rencontrerez, les relations que vous allez construire et les expériences que vous allez vivre. Avant de sortir, vous devez faire confiance à votre instinct et suivre votre propre conduite. "
Durant ses six années au Dinamo Zagreb, il a mené les "Bleus" à remporter 5 fois la première ligue et la Coupe de Croatie 3 fois. Les opportunités de football qu'il a reçues, il s'est transformé en aide sincère
« Pendant les six ans que j'ai vécu en Croatie, j'ai senti que ce pays était comme chez moi. J'avais un surnom en jouant au Dinamo Zagreb. Les gens m'appelaient 'Olmić,' un joli nom. La plupart des noms croates se terminent par les lettres 'ić'. "
« Même si j'ai dû dire au revoir à la Croatie il y a quelques années, il est toujours très important pour moi de rester connecté avec ce pays et les gens qui y vivent. "
« Tout au long de mon séjour en Croatie, j'ai appris son histoire et ses guerres. Il a fallu du temps à mes coéquipiers pour me révéler ces histoires. J'ai appris peu à peu comment divers conflits affectaient les gens. "
« Ces choses m'ont aussi affecté. C'est pourquoi j'ai dû rejoindre le projet Objectif Commun. Les Croates sont devenus ma famille. Je veux aider cette terre à surmonter les histoires passées et à construire un avenir brillant. "
« 1% de mon salaire va à Cross Cultures, une organisation en Croatie qui relie le football aux communautés touchées par la guerre. Je crois en leur vision. "
« En Croatie, le football est comme une religion. Les gens sont dévoués à ce sport. J'ai vu comment ça peut guérir et aider les gens. "
« Je suis reconnaissant pour le bond que j'ai fait à 16 ans pour apprendre à connaître la Croatie et son peuple merveilleux. "
Dani Olmo De #masterfoot
5 mois depuis
🛑 #Barbosa ... Le bouc émissaire de la défaite de la Coupe du Monde par le Brésil sur leur terrain face à l'Uruguay.
Tout allait vers la victoire du Brésil en Coupe du Monde sur leur sol natal en 1950.
Toutes les indications montrent cela.
Le Brésil a écrasé l'équipe suédoise avec sept buts et l'a suivi avec six contre l'équipe espagnole pour atteindre le match final du tournoi, où un match nul contre l'Uruguay leur garantirait leur premier titre de coupe du monde.
Le match s'est tenu au stade Maracanã devant plus de 170 000 spectateurs, certaines sources suggèrent que la présence était proche de 200 000.
Le Brésil a pris les devants avec un but, mais l'Uruguay a rapidement égalisé.
Même à ce moment-là, un tirage au sort suffit pour obtenir le titre, mais l'Uruguay avait une autre opinion L'attaquant uruguayen Ghiggia a avancé et est entré sur le côté droit de la zone de penalty
Barbosa est resté dans son but et s'attendait à ce que Ghiggia joue un cross, donc il a fait deux pas en avant
Ghiggia a remarqué cela et a surpris Barbosa en jouant la balle dans le coin étroit à droite de Barbosa.
L'impact du but était comme un cauchemar qui hante les Brésiliens jusqu'à aujourd'hui.
Mais la défaite a besoin d'un bouc émissaire, et ce but a fait de Barbosa le meilleur gardien du Brésil l'ennemi numéro un du peuple brésilien.
Il a été expulsé de l'équipe nationale et n'a pas joué un seul match avec eux par la suite, car sa simple présence dans l'équipe était considérée comme un mauvais présage, donc ils ont préféré s'isoler et rester loin de lui.
Barbosa a répété à plusieurs reprises : je n'étais pas le seul à être fautif, nous étions onze joueurs...
Mais tout le monde a évité Barbosa.
Il a essayé de trouver un emploi dans le football, mais il a échoué, et toutes les portes lui étaient fermées au visage.
Il a enfin trouvé un travail mais comme entraîneur de natation au stade Maracanã. Il a dû visiter ce stade tous les jours pendant 20 ans, lui rappelant la tragédie qui lui a frappé.
Barbosa lui-même a dit :
Pas un jour ne s'est passé sans avoir à me convaincre que je n'étais pas le seul responsable, mais les gens ont besoin d'une raison.
Certains disent que j'ai échoué, que j'ai échoué ou non,
qui va remonter le temps pour réparer ça ?
Il détestait Maracanã et détestait le regarder, mais il était forcé de revivre ses chagrins chaque jour.
Il a été tenu à l'écart des camps de l'équipe nationale brésilienne lors des tournois de la Coupe du monde suivants, car on pensait que la malchance existait là où se trouvait Barbosa
On lui a offert un poste pour analyser les matchs de l'équipe nationale brésilienne lors des finales de la Coupe du monde 1994, mais le président de la Fédération brésilienne de football a refusé.
Barbosa a commenté ce dicton :
La peine criminelle maximale au Brésil est de 30 ans, mais j'ai passé 50 ans à payer pour un crime que je n'ai pas commis. Même le criminel, quand il purge sa peine, est pardonné, mais je n'ai jamais été pardonné.
Il a eu une petite chance de se venger plus tard lorsqu'il a reçu un morceau des restes du stade Maracanã lors de quelques travaux de maintenance.
Ce morceau était une planche de bois, il l'a allumée au feu et a grillé un morceau de viande dessus, ainsi que son chagrin brûlant.
Il a dit sarcastiquement ce jour-là :
C'était le meilleur morceau de viande grillé que j'ai jamais mangé de ma vie.
Barbosa est décédée en 2000 à cause d'une crise cardiaque et n'a pas laissé d'enfants pour porter son nom et se faire rappeler qu'ils sont les enfants de Barbosa, la Barbosa qui a privé le Brésil de la coupe du monde sur leur terrain.
Tout allait vers la victoire du Brésil en Coupe du Monde sur leur sol natal en 1950.
Toutes les indications montrent cela.
Le Brésil a écrasé l'équipe suédoise avec sept buts et l'a suivi avec six contre l'équipe espagnole pour atteindre le match final du tournoi, où un match nul contre l'Uruguay leur garantirait leur premier titre de coupe du monde.
Le match s'est tenu au stade Maracanã devant plus de 170 000 spectateurs, certaines sources suggèrent que la présence était proche de 200 000.
Le Brésil a pris les devants avec un but, mais l'Uruguay a rapidement égalisé.
Même à ce moment-là, un tirage au sort suffit pour obtenir le titre, mais l'Uruguay avait une autre opinion L'attaquant uruguayen Ghiggia a avancé et est entré sur le côté droit de la zone de penalty
Barbosa est resté dans son but et s'attendait à ce que Ghiggia joue un cross, donc il a fait deux pas en avant
Ghiggia a remarqué cela et a surpris Barbosa en jouant la balle dans le coin étroit à droite de Barbosa.
L'impact du but était comme un cauchemar qui hante les Brésiliens jusqu'à aujourd'hui.
Mais la défaite a besoin d'un bouc émissaire, et ce but a fait de Barbosa le meilleur gardien du Brésil l'ennemi numéro un du peuple brésilien.
Il a été expulsé de l'équipe nationale et n'a pas joué un seul match avec eux par la suite, car sa simple présence dans l'équipe était considérée comme un mauvais présage, donc ils ont préféré s'isoler et rester loin de lui.
Barbosa a répété à plusieurs reprises : je n'étais pas le seul à être fautif, nous étions onze joueurs...
Mais tout le monde a évité Barbosa.
Il a essayé de trouver un emploi dans le football, mais il a échoué, et toutes les portes lui étaient fermées au visage.
Il a enfin trouvé un travail mais comme entraîneur de natation au stade Maracanã. Il a dû visiter ce stade tous les jours pendant 20 ans, lui rappelant la tragédie qui lui a frappé.
Barbosa lui-même a dit :
Pas un jour ne s'est passé sans avoir à me convaincre que je n'étais pas le seul responsable, mais les gens ont besoin d'une raison.
Certains disent que j'ai échoué, que j'ai échoué ou non,
qui va remonter le temps pour réparer ça ?
Il détestait Maracanã et détestait le regarder, mais il était forcé de revivre ses chagrins chaque jour.
Il a été tenu à l'écart des camps de l'équipe nationale brésilienne lors des tournois de la Coupe du monde suivants, car on pensait que la malchance existait là où se trouvait Barbosa
On lui a offert un poste pour analyser les matchs de l'équipe nationale brésilienne lors des finales de la Coupe du monde 1994, mais le président de la Fédération brésilienne de football a refusé.
Barbosa a commenté ce dicton :
La peine criminelle maximale au Brésil est de 30 ans, mais j'ai passé 50 ans à payer pour un crime que je n'ai pas commis. Même le criminel, quand il purge sa peine, est pardonné, mais je n'ai jamais été pardonné.
Il a eu une petite chance de se venger plus tard lorsqu'il a reçu un morceau des restes du stade Maracanã lors de quelques travaux de maintenance.
Ce morceau était une planche de bois, il l'a allumée au feu et a grillé un morceau de viande dessus, ainsi que son chagrin brûlant.
Il a dit sarcastiquement ce jour-là :
C'était le meilleur morceau de viande grillé que j'ai jamais mangé de ma vie.
Barbosa est décédée en 2000 à cause d'une crise cardiaque et n'a pas laissé d'enfants pour porter son nom et se faire rappeler qu'ils sont les enfants de Barbosa, la Barbosa qui a privé le Brésil de la coupe du monde sur leur terrain.
5 mois depuis
(E)
🛑 En 1991, Michael Jackson tournait " Remember the time". Plusieurs réalisateurs avaient désisté puisqu'il insistait qu'on puisse représenter les pharaons et les peuples égyptiens en tant que africain Noir. Raison pour laquelle, le clip était réalisé par le réalisateur John Singleton qui était noir ...
C'était le tout premier clip parlant de la civilisation égyptienne en tant que noir.
C'était le tout premier clip parlant de la civilisation égyptienne en tant que noir.
5 mois depuis
Les premiers colons des Fidji sont arrivés de l'île de MELANASIA il y a environ 3 500 ans. Ils ont apporté avec eux de la nourriture, des cochons et un style de poterie connu sous le nom de Lapita Ware.
Lapita Ware est un style de poterie qui est généralement associé à un niveau bien développé de compétences en navigation, en construction de canots et en horticulture. Certains groupes de Fidji migreront plus tard vers les Tonga et les Samoa. Et ils amèneront la culture Lapita avec eux là-bas.
C’est un bon exemple de la façon dont le monde a été peuplé et de la façon dont des personnes qui semblent aujourd’hui déconnectées sont en réalité issues de la même famille. C’est pourquoi, lorsque les gens tentent de diviser l’Afrique en tribus, subsahariennes et maghrébines, ce n’est pas vraiment vrai. Bien sûr, à un moment donné, les identités se sont développées indépendamment, mais à l’origine elles partageaient exactement la même culture.
En Afrique, cette culture était connue sous le nom de culture nubienne. Le peigne que vous pouvez voir sur cette photo est un peigne afro et les plus anciens se trouvent en Afrique. Au Soudan et à Kemet (Egypte ancienne). C'est le peigne utilisé pour les cheveux laineux.
Lapita Ware est un style de poterie qui est généralement associé à un niveau bien développé de compétences en navigation, en construction de canots et en horticulture. Certains groupes de Fidji migreront plus tard vers les Tonga et les Samoa. Et ils amèneront la culture Lapita avec eux là-bas.
C’est un bon exemple de la façon dont le monde a été peuplé et de la façon dont des personnes qui semblent aujourd’hui déconnectées sont en réalité issues de la même famille. C’est pourquoi, lorsque les gens tentent de diviser l’Afrique en tribus, subsahariennes et maghrébines, ce n’est pas vraiment vrai. Bien sûr, à un moment donné, les identités se sont développées indépendamment, mais à l’origine elles partageaient exactement la même culture.
En Afrique, cette culture était connue sous le nom de culture nubienne. Le peigne que vous pouvez voir sur cette photo est un peigne afro et les plus anciens se trouvent en Afrique. Au Soudan et à Kemet (Egypte ancienne). C'est le peigne utilisé pour les cheveux laineux.
5 mois depuis
LAH-KAM : CHEFFERIE SUPÉRIEURE DE PREMIER DEGRÉ DE #Babadjou : LE NOUVEAU FÔ DES BASSÔ EN ROUTE POUR SON INTRONISATION.
Ca bouge déjà à la chefferie depuis hier, tic-tac . Peuple BABADJOU sommes-nous déjà prêts ?
Force et courage Majesté.
Que les dieux et les ancêtres Mbafung soient avec toi .
NB; Bientôt l'annonce officielle de la période des interdits au village.
Intronisation Chef Supérieur Babadjou
Images by 📸 GTF MEDIA GROUP
Ca bouge déjà à la chefferie depuis hier, tic-tac . Peuple BABADJOU sommes-nous déjà prêts ?
Force et courage Majesté.
Que les dieux et les ancêtres Mbafung soient avec toi .
NB; Bientôt l'annonce officielle de la période des interdits au village.
Intronisation Chef Supérieur Babadjou
Images by 📸 GTF MEDIA GROUP
5 mois depuis
🛑 #Cameroon : 16 juin 1964 - 16 juin 2024 : Abel Kingué, un héros camerounais dans l'ombre des pharaons.
Il y a soixante ans, le 16 juin 1964, Abel Kingué, figure emblématique de la lutte pour l'indépendance du Cameroun, rendait son dernier souffle au Caire. Loin de sa terre natale, Fokoué par Dschang Menoua , où il avait vu le jour, il repose depuis lors dans l'antique nécropole des pharaons.
Ce soixantième anniversaire de sa disparition est l'occasion de rappeler le parcours de cet homme d'exception, dont le destin s'est mêlé à celui d'autres figures marquantes de l'histoire camerounaise, comme en témoigne une photo jaunie où il apparaît aux côtés d'Ernest Ouandié et Félix Moumié.
Abel Kingué, fervent nationaliste, a consacré sa vie à la libération de son pays du joug colonial. Exilé en Égypte, il a continué à œuvrer sans relâche pour la cause camerounaise, jusqu'à son dernier souffle.
Son inhumation en terre égyptienne, loin de ses racines, est un symbole poignant de l'exil forcé de nombreux combattants de la liberté. Mais elle témoigne aussi de la solidarité entre les peuples africains engagés dans la lutte pour l'indépendance.
Aujourd'hui, alors qu'on célèbre le soixantième anniversaire de son décès, le souvenir d'Abel Kingué reste vivace. Son combat pour la liberté et la dignité continue d'inspirer les nouvelles générations.
En ce jour de #commémoration , une prière s'élève : que les restes d'Abel Kingué puissent un jour être rapatriés à Fokoué, pour reposer enfin dans la terre de ses ancêtres. Un souhait qui, s'il se réalisait, serait un hommage à la hauteur du sacrifice de ce héros national.
Il y a soixante ans, le 16 juin 1964, Abel Kingué, figure emblématique de la lutte pour l'indépendance du Cameroun, rendait son dernier souffle au Caire. Loin de sa terre natale, Fokoué par Dschang Menoua , où il avait vu le jour, il repose depuis lors dans l'antique nécropole des pharaons.
Ce soixantième anniversaire de sa disparition est l'occasion de rappeler le parcours de cet homme d'exception, dont le destin s'est mêlé à celui d'autres figures marquantes de l'histoire camerounaise, comme en témoigne une photo jaunie où il apparaît aux côtés d'Ernest Ouandié et Félix Moumié.
Abel Kingué, fervent nationaliste, a consacré sa vie à la libération de son pays du joug colonial. Exilé en Égypte, il a continué à œuvrer sans relâche pour la cause camerounaise, jusqu'à son dernier souffle.
Son inhumation en terre égyptienne, loin de ses racines, est un symbole poignant de l'exil forcé de nombreux combattants de la liberté. Mais elle témoigne aussi de la solidarité entre les peuples africains engagés dans la lutte pour l'indépendance.
Aujourd'hui, alors qu'on célèbre le soixantième anniversaire de son décès, le souvenir d'Abel Kingué reste vivace. Son combat pour la liberté et la dignité continue d'inspirer les nouvelles générations.
En ce jour de #commémoration , une prière s'élève : que les restes d'Abel Kingué puissent un jour être rapatriés à Fokoué, pour reposer enfin dans la terre de ses ancêtres. Un souhait qui, s'il se réalisait, serait un hommage à la hauteur du sacrifice de ce héros national.
5 mois depuis
VIVANTS OU MORTS , LES JUMEAUX SONT CÉLÉBRÉS AU BÉNIN 🇧🇯 COMME DES DEMI-DIEUX 👬👫👭
Le Culte des jumeaux est un culte particulier voué aux naissances gémellaires selon une certaine tradition africaine. Pratique ancienne très développée en Afrique de l'Ouest notamment au Bénin 🇧🇯 au Togo🇹🇬 et au Nigéria 🇳🇬 les jumeaux sont généralement considérés comme porte-bonheur ou porte-malheur selon les régions à travers la vénération des statuettes des jumeaux.
Dénommé #Ibéji au Nigéria🇳🇬, #Hoho au Bénin🇧🇯 et #Wénanvi (Vénanvi) au Togo 🇹🇬 et au Ghana 🇬🇭, les prénoms donnés au jumeaux varient selon les traditions, les régions et les cultures. Cependant, dans la plupart de ces traditions les petits sont souvent devant et leurs aînés ferment la marche.
Chez les peuples #yoruba un grand groupe ethnique d'Afrique, présent au Nigéria et Bénin, le premier-né et nommé #Taiyé , ce qui signifie littéralement « le premier à goûter le monde » , le second nommé #Kehindé est celui qui arrive en après le premier. Ce dernier envoie Tayie en éclaireur pour voir si la vie vaut la peine d’être vécue selon la tradition africaine.
Chez les peuples #Baatonou au Bénin , le nom de baptême #Séni est donné aux jumeaux , s’ils sont des garçons et #Assana , pour les filles .
Si l'un des jumeaux meurt, des statuettes sculptées « des poupées » pour les remplacer auprès des parents endeuillés qui leur donnent un nom, leur font un lit, les habillent comme si les enfants n’étaient pas décédé afin d'abriter son âme et son esprit . Très vénérés avec des pouvoirs surnaturels selon la tradition africaine, les jumeaux ne meurent pas, ils sont allés chercher du bois de chauffe à la forêt ;
Ainsi, des bénédictions ou des malédictions sont tirées de la part de son entourage selon de soins réguliers dont ils font l’objet. Il s’agit entre autres du lavage, de l’habillage, de la nourriture à la statuette, symbole de protection représenté est toujours vivant .
Le Culte des jumeaux est un culte particulier voué aux naissances gémellaires selon une certaine tradition africaine. Pratique ancienne très développée en Afrique de l'Ouest notamment au Bénin 🇧🇯 au Togo🇹🇬 et au Nigéria 🇳🇬 les jumeaux sont généralement considérés comme porte-bonheur ou porte-malheur selon les régions à travers la vénération des statuettes des jumeaux.
Dénommé #Ibéji au Nigéria🇳🇬, #Hoho au Bénin🇧🇯 et #Wénanvi (Vénanvi) au Togo 🇹🇬 et au Ghana 🇬🇭, les prénoms donnés au jumeaux varient selon les traditions, les régions et les cultures. Cependant, dans la plupart de ces traditions les petits sont souvent devant et leurs aînés ferment la marche.
Chez les peuples #yoruba un grand groupe ethnique d'Afrique, présent au Nigéria et Bénin, le premier-né et nommé #Taiyé , ce qui signifie littéralement « le premier à goûter le monde » , le second nommé #Kehindé est celui qui arrive en après le premier. Ce dernier envoie Tayie en éclaireur pour voir si la vie vaut la peine d’être vécue selon la tradition africaine.
Chez les peuples #Baatonou au Bénin , le nom de baptême #Séni est donné aux jumeaux , s’ils sont des garçons et #Assana , pour les filles .
Si l'un des jumeaux meurt, des statuettes sculptées « des poupées » pour les remplacer auprès des parents endeuillés qui leur donnent un nom, leur font un lit, les habillent comme si les enfants n’étaient pas décédé afin d'abriter son âme et son esprit . Très vénérés avec des pouvoirs surnaturels selon la tradition africaine, les jumeaux ne meurent pas, ils sont allés chercher du bois de chauffe à la forêt ;
Ainsi, des bénédictions ou des malédictions sont tirées de la part de son entourage selon de soins réguliers dont ils font l’objet. Il s’agit entre autres du lavage, de l’habillage, de la nourriture à la statuette, symbole de protection représenté est toujours vivant .
5 mois depuis
D'OÙ VIENNENT LES MAYAS ET LES AZTÈQUES ?
...
Charles Étienne Brasseur de Bourbourg (1814 - 1874) était un abbé flamand du XIXe siècle. Outre sa profession cléricale, l'abbé français est universellement connu pour ses contributions significatives à la connaissance des peuples mésoaméricains. En effet, Charles Étienne Brasseur était également un écrivain, ethnographe et archéologue réputé qui s'est particulièrement spécialisé dans l'étude des civilisations maya et aztèque.
...
Selon l'universitaire, les Mayas se souvenaient de leur patrie comme d'un "continent situé dans le Pacifique", qui avait ensuite sombré. Ils appelaient ce continent "Terre de Mu".
...
Il y a quelques années encore, on pensait qu'il s'agissait d'une légende. Mais l'avènement des satellites a prouvé que tout cela était vrai. En effet, l'Indonésie et l'Australie actuelles sont des "vestiges" d'un continent beaucoup plus vaste, que les scientifiques appellent Sundaland. Ce continent situé dans les eaux de l'océan Pacifique a été partiellement submergé il y a 14 000 ans, lorsque l'océan Pacifique s'est élevé d'environ 140 mètres.
...
Comment les Mayas ont-ils eu connaissance du "continent englouti" dans l'océan Pacifique ? S'agit-il d'une incroyable coïncidence ? Ou bien leurs ancêtres venaient-ils vraiment du Sundaland ?
...
Encore une fois, si nous écoutions la science et non nos préjugés, les Mayas auraient tout à fait raison. Leurs ancêtres venaient bel et bien du Sundaland. Comment en sommes-nous sûrs ? Selon Kenneth M. Olsen, biologiste spécialisé dans l'évolution des plantes à l'université Washington de St. Louis, nous disposons de preuves irréfutables que des navigateurs de la région du Sundaland et du Sahuland se sont rendus jusqu'au Panama, en Amérique centrale, à l'époque précolombienne.
...
La "preuve vivante" est la présence de la noix de coco en Amérique. Ce chercheur a découvert que tous les cocotiers, où qu'ils se trouvent dans le monde, sont originaires soit de l'Inde, soit de l'ancienne région du Sundaland. De plus, le professeur explique que, du moins en ce qui concerne les grandes distances, le cocotier ne migre pas naturellement, comme le font les graines d'autres plantes. Dans son cas, il doit être transporté par l'homme vers d'autres régions éloignées, afin de s'y enraciner à son tour. Si le cocotier est arrivé en Amérique centrale à l'époque précolombienne, cela signifie que des marins de la région du Sundaland sont arrivés en Amérique avant Christophe Colomb et l'ont planté. Il n'y a pas grand-chose à redire à cela.
...
L'article se poursuit dans le livre :
HOMO RELOADED - L'histoire cachée des 75 000 dernières années
Vous pouvez trouver une copie du livre à ce lien...
https://www.amazon.fr/dp/B...
...
Charles Étienne Brasseur de Bourbourg (1814 - 1874) était un abbé flamand du XIXe siècle. Outre sa profession cléricale, l'abbé français est universellement connu pour ses contributions significatives à la connaissance des peuples mésoaméricains. En effet, Charles Étienne Brasseur était également un écrivain, ethnographe et archéologue réputé qui s'est particulièrement spécialisé dans l'étude des civilisations maya et aztèque.
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Selon l'universitaire, les Mayas se souvenaient de leur patrie comme d'un "continent situé dans le Pacifique", qui avait ensuite sombré. Ils appelaient ce continent "Terre de Mu".
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Il y a quelques années encore, on pensait qu'il s'agissait d'une légende. Mais l'avènement des satellites a prouvé que tout cela était vrai. En effet, l'Indonésie et l'Australie actuelles sont des "vestiges" d'un continent beaucoup plus vaste, que les scientifiques appellent Sundaland. Ce continent situé dans les eaux de l'océan Pacifique a été partiellement submergé il y a 14 000 ans, lorsque l'océan Pacifique s'est élevé d'environ 140 mètres.
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Comment les Mayas ont-ils eu connaissance du "continent englouti" dans l'océan Pacifique ? S'agit-il d'une incroyable coïncidence ? Ou bien leurs ancêtres venaient-ils vraiment du Sundaland ?
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Encore une fois, si nous écoutions la science et non nos préjugés, les Mayas auraient tout à fait raison. Leurs ancêtres venaient bel et bien du Sundaland. Comment en sommes-nous sûrs ? Selon Kenneth M. Olsen, biologiste spécialisé dans l'évolution des plantes à l'université Washington de St. Louis, nous disposons de preuves irréfutables que des navigateurs de la région du Sundaland et du Sahuland se sont rendus jusqu'au Panama, en Amérique centrale, à l'époque précolombienne.
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La "preuve vivante" est la présence de la noix de coco en Amérique. Ce chercheur a découvert que tous les cocotiers, où qu'ils se trouvent dans le monde, sont originaires soit de l'Inde, soit de l'ancienne région du Sundaland. De plus, le professeur explique que, du moins en ce qui concerne les grandes distances, le cocotier ne migre pas naturellement, comme le font les graines d'autres plantes. Dans son cas, il doit être transporté par l'homme vers d'autres régions éloignées, afin de s'y enraciner à son tour. Si le cocotier est arrivé en Amérique centrale à l'époque précolombienne, cela signifie que des marins de la région du Sundaland sont arrivés en Amérique avant Christophe Colomb et l'ont planté. Il n'y a pas grand-chose à redire à cela.
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L'article se poursuit dans le livre :
HOMO RELOADED - L'histoire cachée des 75 000 dernières années
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5 mois depuis
COMMENT ON DEVIENT ROI AU PAYS BAMILÉKÉ
Les Bamiléké constituent le groupe ethnique le plus important au plan démographique des Grass lands. Leur itinéraire migratoire reste encore entaché de floue. La plupart des traditions orales situent dans le Haut Mbam, l'actuel pays Tikar, le point de départ du mouvement migratoire d'une partie de ce peuple qui les a conduit[s] dans les hauts plateaux de l'ouest.
Le pays Bamiléké est constitué d'une mosaïque de petites et moyennes royaumes qui se sont formées par segmentation.
L'organisation socio-politique est également centralisée. Le Mfo ou Roi exerce l'autorité suprême. Il est entouré des neuf notables représentant chacun [les] pères fondateurs du royaume (les Nkamvë). Le prestige dont jouit la Reine-mère (Ma Mfo) et l'existences de nombreuses associations coutumières ou société[s] secrètes concourent au contrôle et à la canalisation du pouvoir politique exercé par le Mfo.
Concernant la désignation du chef, appelé le « Mfo », le « Fon », le « Fö », le « Fwa », le « Few »...
Au pays Bamiléké dans l'Ouest Cameroun, le Fö est à la tête de la hiérarchie traditionnelle. Il est Prêtre traditionnel, dépositaire des coutumes ancestrales, personnage sacré au pouvoir divin, il veille à la sécurité de son peuple. Aussi la désignation de son successeur a-t-elle toujours revêtu un caractère absolu et sacré. Si par des forces intérieures ou extérieures un usurpateur prend la place, le culte est interrompu et le pays est frappé de plusieurs malheurs. Mais le processus de succession n'est pas forcément le même partout dans l'ouest et dans le Grassfield en général.
Le choix du Roi :
Chez les BABADJOU dans le BAMBOUTOS par exemple, le choix du roi est un acte public. La cérémonie se déroule pendant le grand deuil du défunt Roi, selon les v�ux du souverain disparu, de celui du conseil des Neuf appuyé par les deux conseils des sept et de la Maison royale. Le conseil des Neuf reste souverain en dernier ressort et est seul à choisir le Roi, parfois indépendamment des v�ux du défunt Roi, de sa famille ou de quiconque, dans le strict intérêt de la tribu.
Même si l'autorité du Roi est illimitée sur son peuple au Pays Bamiléké, il vit sous la hantise de ses notables, car pris ensemble, ils ont sur le roi un droit de vie ou de mort. Ils le placent au trône comme ils peuvent l'en élim[in]er.
De son vivant, le chef désigne parmi ses propres enfants cinq dont le premier sera le véritable chef (Fo'o). Le deuxième, adjoint (Kouété) sera placé à la tête d'un village comme Chef ou y résidera comme une personnalité indépendante et jouera un rôle honorifique dans le royaume. Par contre, si c'est le Roi qui décède sans enfant, son Kouété le remplace.
Ailleurs, l'on observe pourtant des variantes à ce processus. Il semble que le premier fils du Roi ne peut lui succéder à quelque titre que ce soit. Lorsque encore vivant, le roi désigne ses héritiers, il communique leurs noms au conseil des notables qui sont tenus au secret et ne peuvent pas juger du choix fait par le Roi.
Rites d'arrestation du Roi et de son adjoint :
La désignation et l'intronisation d'un roi [chez] les baméliké sont du ressort de deux collèges de grands notables.
À Bangoua, c'est le premier collège composé de sept notables qui aura la lourde tâche de présenter aux populations le successeur du chef défunt. Il s'agit de Nzeu Ndjambgoung, Nzeu Tchietcho, Wafo Fanguieu, Wafo Koumkap, Wafo Keulek, Mbeu Nkajip, Mbeu Nkoubamzep.
Le deuxième collège composé de neuf notables qui contrôlent les différents quartiers du groupement aura à assurer la formation du nouveau roi durant son séjour au La'akam. Il s'agit de Makap Nzeutep, Mekap Lieujik, Nzeusa, Nzeu Ze, Nzeu kouo, Nzeu Tiekap, Nzeu Tekaap; Nzeu Wang, Nzeu Nkiondze.
Chez les Ngemba, le roi s'entoure soit des neuf, des sept ou des quatre notables; ceci varie selon les villages. Membres des sociétés secrètes, les notables gardent les secrets de la succession sur le trône. Il leur revient, après la disparition du roi, d'arrêter dans les rangs du deuil l'héritier du feu roi parmi ses propres fils, en tenant compte de la volonté du défunt. Les notables initiés le saisissent et le passent aux mains des autres qui, le ruant de coups, le dépouillent de ses vêtements. Une lutte s'engage d'autant plus acharné[e] que l'élu n'avait aucune prétention à la chaise de son père. Les ravisseurs disparaissent avec leur victime vers le la'kam (lieu de retraite de 9 semaines, d'investiture et d'initiation aux mystères du royaume) après l'arrestation du roi, on procède immédiatement à celle du NKWETCHE, son adjoint. Ils sont bien encadrés pas les « feffo » police secrète du royaume qui assure leur sécurité.
Ailleurs au décès du Roi, les notables n'annoncent publiquement cette mort que huit jours après. L'annonce se fait par des tambours et des coups de fusil, toute la population s'assemble au palais. Alors les grands notables (conseil des neuf) se saisissent des héritiers l'un après l'autre et dans l'ordre : Fo'o, Kouété, Sop Tsi, Kamgheu et éventuellement Mato'o ils sont présentés à la population et ramenés couverts des signes distinctifs au fond du palais hors vue de la population.
Les rites d'investiture :
Dès son entrée au la'Kam, on rase les cheveux du futur Roi à même le crâne, on lui répand sur la tête et les jambes le « Pho », poudre du padouk en disant : Nous, désignatifs et consécrateurs des chefs, agissant toujours selon la justice pour ce qui concerne la succession au trône du palais de ce village, t'appliquons l'onction du sacre et te nommons roi. Que si quelqu'un d'autre intervenait indûment pour te remplacer contre la volonté de ton père, qu'il paye de sa tête, ainsi un autre roi (ceci dépend des relations ancestrales) malmenée de plus en plus par ceux qui sont considérés comme les gardiens du temple.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
📷 En image le roi SOKOUDJOU (Fon de Bamendjou)
Les Bamiléké constituent le groupe ethnique le plus important au plan démographique des Grass lands. Leur itinéraire migratoire reste encore entaché de floue. La plupart des traditions orales situent dans le Haut Mbam, l'actuel pays Tikar, le point de départ du mouvement migratoire d'une partie de ce peuple qui les a conduit[s] dans les hauts plateaux de l'ouest.
Le pays Bamiléké est constitué d'une mosaïque de petites et moyennes royaumes qui se sont formées par segmentation.
L'organisation socio-politique est également centralisée. Le Mfo ou Roi exerce l'autorité suprême. Il est entouré des neuf notables représentant chacun [les] pères fondateurs du royaume (les Nkamvë). Le prestige dont jouit la Reine-mère (Ma Mfo) et l'existences de nombreuses associations coutumières ou société[s] secrètes concourent au contrôle et à la canalisation du pouvoir politique exercé par le Mfo.
Concernant la désignation du chef, appelé le « Mfo », le « Fon », le « Fö », le « Fwa », le « Few »...
Au pays Bamiléké dans l'Ouest Cameroun, le Fö est à la tête de la hiérarchie traditionnelle. Il est Prêtre traditionnel, dépositaire des coutumes ancestrales, personnage sacré au pouvoir divin, il veille à la sécurité de son peuple. Aussi la désignation de son successeur a-t-elle toujours revêtu un caractère absolu et sacré. Si par des forces intérieures ou extérieures un usurpateur prend la place, le culte est interrompu et le pays est frappé de plusieurs malheurs. Mais le processus de succession n'est pas forcément le même partout dans l'ouest et dans le Grassfield en général.
Le choix du Roi :
Chez les BABADJOU dans le BAMBOUTOS par exemple, le choix du roi est un acte public. La cérémonie se déroule pendant le grand deuil du défunt Roi, selon les v�ux du souverain disparu, de celui du conseil des Neuf appuyé par les deux conseils des sept et de la Maison royale. Le conseil des Neuf reste souverain en dernier ressort et est seul à choisir le Roi, parfois indépendamment des v�ux du défunt Roi, de sa famille ou de quiconque, dans le strict intérêt de la tribu.
Même si l'autorité du Roi est illimitée sur son peuple au Pays Bamiléké, il vit sous la hantise de ses notables, car pris ensemble, ils ont sur le roi un droit de vie ou de mort. Ils le placent au trône comme ils peuvent l'en élim[in]er.
De son vivant, le chef désigne parmi ses propres enfants cinq dont le premier sera le véritable chef (Fo'o). Le deuxième, adjoint (Kouété) sera placé à la tête d'un village comme Chef ou y résidera comme une personnalité indépendante et jouera un rôle honorifique dans le royaume. Par contre, si c'est le Roi qui décède sans enfant, son Kouété le remplace.
Ailleurs, l'on observe pourtant des variantes à ce processus. Il semble que le premier fils du Roi ne peut lui succéder à quelque titre que ce soit. Lorsque encore vivant, le roi désigne ses héritiers, il communique leurs noms au conseil des notables qui sont tenus au secret et ne peuvent pas juger du choix fait par le Roi.
Rites d'arrestation du Roi et de son adjoint :
La désignation et l'intronisation d'un roi [chez] les baméliké sont du ressort de deux collèges de grands notables.
À Bangoua, c'est le premier collège composé de sept notables qui aura la lourde tâche de présenter aux populations le successeur du chef défunt. Il s'agit de Nzeu Ndjambgoung, Nzeu Tchietcho, Wafo Fanguieu, Wafo Koumkap, Wafo Keulek, Mbeu Nkajip, Mbeu Nkoubamzep.
Le deuxième collège composé de neuf notables qui contrôlent les différents quartiers du groupement aura à assurer la formation du nouveau roi durant son séjour au La'akam. Il s'agit de Makap Nzeutep, Mekap Lieujik, Nzeusa, Nzeu Ze, Nzeu kouo, Nzeu Tiekap, Nzeu Tekaap; Nzeu Wang, Nzeu Nkiondze.
Chez les Ngemba, le roi s'entoure soit des neuf, des sept ou des quatre notables; ceci varie selon les villages. Membres des sociétés secrètes, les notables gardent les secrets de la succession sur le trône. Il leur revient, après la disparition du roi, d'arrêter dans les rangs du deuil l'héritier du feu roi parmi ses propres fils, en tenant compte de la volonté du défunt. Les notables initiés le saisissent et le passent aux mains des autres qui, le ruant de coups, le dépouillent de ses vêtements. Une lutte s'engage d'autant plus acharné[e] que l'élu n'avait aucune prétention à la chaise de son père. Les ravisseurs disparaissent avec leur victime vers le la'kam (lieu de retraite de 9 semaines, d'investiture et d'initiation aux mystères du royaume) après l'arrestation du roi, on procède immédiatement à celle du NKWETCHE, son adjoint. Ils sont bien encadrés pas les « feffo » police secrète du royaume qui assure leur sécurité.
Ailleurs au décès du Roi, les notables n'annoncent publiquement cette mort que huit jours après. L'annonce se fait par des tambours et des coups de fusil, toute la population s'assemble au palais. Alors les grands notables (conseil des neuf) se saisissent des héritiers l'un après l'autre et dans l'ordre : Fo'o, Kouété, Sop Tsi, Kamgheu et éventuellement Mato'o ils sont présentés à la population et ramenés couverts des signes distinctifs au fond du palais hors vue de la population.
Les rites d'investiture :
Dès son entrée au la'Kam, on rase les cheveux du futur Roi à même le crâne, on lui répand sur la tête et les jambes le « Pho », poudre du padouk en disant : Nous, désignatifs et consécrateurs des chefs, agissant toujours selon la justice pour ce qui concerne la succession au trône du palais de ce village, t'appliquons l'onction du sacre et te nommons roi. Que si quelqu'un d'autre intervenait indûment pour te remplacer contre la volonté de ton père, qu'il paye de sa tête, ainsi un autre roi (ceci dépend des relations ancestrales) malmenée de plus en plus par ceux qui sont considérés comme les gardiens du temple.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
📷 En image le roi SOKOUDJOU (Fon de Bamendjou)
5 mois depuis
LES BASSAA DE LA RÉGION DE L’OUEST DU CAMEROUN 🇨🇲
Piqué sur le mur de Massoda Ma-Nlep
Contrairement à l’opinion la plus répandue, la Région de l’Ouest du Cameroun n’est pas peuplée que de « Bandobo » ( communément appelés « Bamilékés ») et de Bamouns.
S’il est généralement admis que les Bamouns constituent un groupe ethnique ayant une même origine, les recherches menées en anthropologie et ethnologie et en histoire ont établi que les Bamilékés ont des origines diverses.
Dans son ouvrage (intitulé Les problèmes de l’anthropologie et de l’histoire africaines paru en 1982 aux éditions CLE à Yaoundé, collection Etudes et Documents Africains), l’anthropologue et ethnologue Prince Dika-Akwa nya Bonambela soutient: « Quelle que soit son importance, l’unité linguistique et culturelle ne signifie cependant pas que les peuples concernés partagent automatiquement une parenté généalogique.
Les Bamilékés de l’Ouest Cameroun parlent des idiomes, dialectes et langues tellement semblables que du point de vue de l´histoire de la culture, ils constituent une unité indiscutable. Pourtant, du point de vue de la généalogie, ces Bamilékés représentent une mosaïque de peuples d’origines diverses; Ndobo en tête, Tikar, Bassa, Sow [mpoo-bassaa], Baya, Ngala-Dwala, etc.
Culturellement, les groupes ont façonné et trouvé leur "homogénéité". Celle-ci indique surtout, compte tenu de leur localisation, qu´ils appartiennent à un même peuple résidentiel et non à un peuple racial » ( Prince Dika-Akwa 1982: 136). Même l´ethnologue Jean-Claude Barbier avait attiré l’attention — dans le cadre d’un colloque international du C.N.R.S. ( du 24 au 28 septembre 1973) — sur l´ « hétérogénéité du peuplement » du « plateau bamiléké » (Jean-Claude Barbier, Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké, Colloques Internationaux du C.N.R.S., N° 551, Contribution de la recherche ethnologique à l´histoire des civilisations du Cameroun, 331-353, colloque du 24-28 septembre 1973, volume 2 publié par Claude Tardits, ici page 332). Ceci n´est guère surprenant, étant donné qu´il est de notoriété publique que les populations du département du Haut-Nkam, dont Bafang est le chef-lieu, sont originaires de Ngok-Lituba, partant du pays bassaa (encore appelé « Belle-Contrée » ou « Niceland » en anglais). L´anthropologue et ethnologue Dika-Akwa écrivait en 1982, dans son ouvrage mentionné ci-dessus, que les Bassaa furent les premiers occupants de toute la région de l´Ouest Cameroun et que les Bana sont essentiellement Bassaa et Mpoo-Bassaa ( Bakoko): » […] la puissante ethnarchie de Bana renferme plusieurs quartiers dont le plus important et le plus central porte le nom de Bassa; l´analyse d´autres données anthropologiques révèle que non seulement tout l´Ouest, l´actuel pays bamiléké, était appelé M’bassa avant l´occupation des Néo-Nubiens, les Ndobo en l´occurence, mais encore il subsiste comme au coeur de Bana des groupuscules complètement assimilés dont les généalogies ramènent en droite ligne en pays Bassa, plus au sud. Grâce à la toponymie, on sait que l´implantation bassa est antérieure à celles des Ndobo [Bamilékés, Néo-Soudanais], Tikar, Ngala et Mandjara dans l´Ouest » (Prince Dika-Akwa 1982:83). L´historien Emmanuel Konde étaye aussi, dans son ouvrage intitulé Bassa Antiquity in Contemporary Limbe,publié en 2010, la thèse selon laquelle les Bana sont d´origine bassaa.
Chutes d´eau sur le fleuve Nkam, près de Bafang (chef-lieu du département du Haut-Nkam). « Nkam » est un nom bassaa. Si les Bana sont d´origine bassaa (au sens restreint du terme ou du mot) et mpoo-bassa, on doit tout de même préciser qu´en « tant que tribu raciale, la dynastie de la puissante chefferie Bana et les lignages dérivés descendent d´un certain Toko, Tenke en féfé-bamiléké, devenu Tchenko. Alors qu´un fils de Toko, du nom de Njee, disent les traditions Mbang [mpoo-bassaa] de Nkondjok, devait fonder Bana et y établir le siège d´une préfecture de l´arbre de vie (Likonge) rayonnant à partir de la côte, son frère Siam alla fonder la tribu et la chefferie de Bakassa. A y voir de près Nje[e] Likonge aurait donné Nzeutcheukongue conservé comme nom du fils (Bana) de Tchenko; quant à Syam, il reste un nom typiquement Sow [mpoo-bassaa] » (Prince Dika-Akwa 1982: 113). Dans l´article (Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké) de l ´ethnologue Jean-Claude Barbier, ce dernier souligne:
« a. Les généalogies des dynasties régnantes ne renseignent que très approximativement sur l’histoire du peuplement du plateau bamiléké. D’autres groupes pouvaient être installés depuis longtemps avant l‘arrivée du fondateur, lui-même n’étant souvent qu’un individu isolé sans poids démographique. Par exemple, l’arrivée du chasseur Nzǝ tʃokōŋgwe dont les trois fils fondèrent les chefferies Bakassa, Bandoumkassa et Bana, peut être située vers le milieu du XVIIe siècle; or, l‘étude des généalogies des chefs locaux antérieurs à cette immigration et qui ont été conquis, repousse la date du peuplement de la région au début du XVIe siècle (7)./ b.
#Twitbook24 vous invite à lire la suite en commentaire 👇👇
Piqué sur le mur de Massoda Ma-Nlep
Contrairement à l’opinion la plus répandue, la Région de l’Ouest du Cameroun n’est pas peuplée que de « Bandobo » ( communément appelés « Bamilékés ») et de Bamouns.
S’il est généralement admis que les Bamouns constituent un groupe ethnique ayant une même origine, les recherches menées en anthropologie et ethnologie et en histoire ont établi que les Bamilékés ont des origines diverses.
Dans son ouvrage (intitulé Les problèmes de l’anthropologie et de l’histoire africaines paru en 1982 aux éditions CLE à Yaoundé, collection Etudes et Documents Africains), l’anthropologue et ethnologue Prince Dika-Akwa nya Bonambela soutient: « Quelle que soit son importance, l’unité linguistique et culturelle ne signifie cependant pas que les peuples concernés partagent automatiquement une parenté généalogique.
Les Bamilékés de l’Ouest Cameroun parlent des idiomes, dialectes et langues tellement semblables que du point de vue de l´histoire de la culture, ils constituent une unité indiscutable. Pourtant, du point de vue de la généalogie, ces Bamilékés représentent une mosaïque de peuples d’origines diverses; Ndobo en tête, Tikar, Bassa, Sow [mpoo-bassaa], Baya, Ngala-Dwala, etc.
Culturellement, les groupes ont façonné et trouvé leur "homogénéité". Celle-ci indique surtout, compte tenu de leur localisation, qu´ils appartiennent à un même peuple résidentiel et non à un peuple racial » ( Prince Dika-Akwa 1982: 136). Même l´ethnologue Jean-Claude Barbier avait attiré l’attention — dans le cadre d’un colloque international du C.N.R.S. ( du 24 au 28 septembre 1973) — sur l´ « hétérogénéité du peuplement » du « plateau bamiléké » (Jean-Claude Barbier, Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké, Colloques Internationaux du C.N.R.S., N° 551, Contribution de la recherche ethnologique à l´histoire des civilisations du Cameroun, 331-353, colloque du 24-28 septembre 1973, volume 2 publié par Claude Tardits, ici page 332). Ceci n´est guère surprenant, étant donné qu´il est de notoriété publique que les populations du département du Haut-Nkam, dont Bafang est le chef-lieu, sont originaires de Ngok-Lituba, partant du pays bassaa (encore appelé « Belle-Contrée » ou « Niceland » en anglais). L´anthropologue et ethnologue Dika-Akwa écrivait en 1982, dans son ouvrage mentionné ci-dessus, que les Bassaa furent les premiers occupants de toute la région de l´Ouest Cameroun et que les Bana sont essentiellement Bassaa et Mpoo-Bassaa ( Bakoko): » […] la puissante ethnarchie de Bana renferme plusieurs quartiers dont le plus important et le plus central porte le nom de Bassa; l´analyse d´autres données anthropologiques révèle que non seulement tout l´Ouest, l´actuel pays bamiléké, était appelé M’bassa avant l´occupation des Néo-Nubiens, les Ndobo en l´occurence, mais encore il subsiste comme au coeur de Bana des groupuscules complètement assimilés dont les généalogies ramènent en droite ligne en pays Bassa, plus au sud. Grâce à la toponymie, on sait que l´implantation bassa est antérieure à celles des Ndobo [Bamilékés, Néo-Soudanais], Tikar, Ngala et Mandjara dans l´Ouest » (Prince Dika-Akwa 1982:83). L´historien Emmanuel Konde étaye aussi, dans son ouvrage intitulé Bassa Antiquity in Contemporary Limbe,publié en 2010, la thèse selon laquelle les Bana sont d´origine bassaa.
Chutes d´eau sur le fleuve Nkam, près de Bafang (chef-lieu du département du Haut-Nkam). « Nkam » est un nom bassaa. Si les Bana sont d´origine bassaa (au sens restreint du terme ou du mot) et mpoo-bassa, on doit tout de même préciser qu´en « tant que tribu raciale, la dynastie de la puissante chefferie Bana et les lignages dérivés descendent d´un certain Toko, Tenke en féfé-bamiléké, devenu Tchenko. Alors qu´un fils de Toko, du nom de Njee, disent les traditions Mbang [mpoo-bassaa] de Nkondjok, devait fonder Bana et y établir le siège d´une préfecture de l´arbre de vie (Likonge) rayonnant à partir de la côte, son frère Siam alla fonder la tribu et la chefferie de Bakassa. A y voir de près Nje[e] Likonge aurait donné Nzeutcheukongue conservé comme nom du fils (Bana) de Tchenko; quant à Syam, il reste un nom typiquement Sow [mpoo-bassaa] » (Prince Dika-Akwa 1982: 113). Dans l´article (Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké) de l ´ethnologue Jean-Claude Barbier, ce dernier souligne:
« a. Les généalogies des dynasties régnantes ne renseignent que très approximativement sur l’histoire du peuplement du plateau bamiléké. D’autres groupes pouvaient être installés depuis longtemps avant l‘arrivée du fondateur, lui-même n’étant souvent qu’un individu isolé sans poids démographique. Par exemple, l’arrivée du chasseur Nzǝ tʃokōŋgwe dont les trois fils fondèrent les chefferies Bakassa, Bandoumkassa et Bana, peut être située vers le milieu du XVIIe siècle; or, l‘étude des généalogies des chefs locaux antérieurs à cette immigration et qui ont été conquis, repousse la date du peuplement de la région au début du XVIe siècle (7)./ b.
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6 mois depuis
Un an de plus pour le mandat des élus du peuple à l'Assemblée nationale. C'est l'objectif de l'exécutif qui a déposé ce jour un projet de loi portant prorogation d'un du mandat des députés.
Cette prorogation permettrait d’alléger le calendrier électoral qui prévoit quatre scrutins en 2025.
#Elections2025
#237vote
#Parlement
Cette prorogation permettrait d’alléger le calendrier électoral qui prévoit quatre scrutins en 2025.
#Elections2025
#237vote
#Parlement
6 mois depuis
6 mois depuis
Le peuple PENDE 🇨🇩
Le peuple Pende est considéré comme l’un des pionniers de la résistance centrale pour sa résistance à la c0lonisation où l’autorité c0loniale Belge fera face à la révolte Pende en 1931, notamment en Angola contre les Portuguais.
Les Bapende se trouvaient essentiellement dans la province du Kwilu, avec les migrations présent dans la province du Kwango, à Tshikapa , à l’Equateur, à Kinshasa et même en Angola
C’est aussi un peuple avec une grande spiritualité et exprime un grand respect aux ancêtres.
📷Kamite média mboka na ngai🇨🇩 🇨🇩
Le peuple Pende est considéré comme l’un des pionniers de la résistance centrale pour sa résistance à la c0lonisation où l’autorité c0loniale Belge fera face à la révolte Pende en 1931, notamment en Angola contre les Portuguais.
Les Bapende se trouvaient essentiellement dans la province du Kwilu, avec les migrations présent dans la province du Kwango, à Tshikapa , à l’Equateur, à Kinshasa et même en Angola
C’est aussi un peuple avec une grande spiritualité et exprime un grand respect aux ancêtres.
📷Kamite média mboka na ngai🇨🇩 🇨🇩