5 mois depuis
🔴🔴🔴 Véron Mosengo SG de la #CAF suspendu...
✅✅✅ Il était décidé à faire tomber Eto'o, mais malheureusement pour lui, il s'en va avant le NGAMBE. Comme quoi, il y a des gens qu'on ne combat pas.
Je n'ai jamais vu un SG qui aime la mafia comme ce type...
Pour rappel Samuel Eto'o est toujours président de la #Fecafoot ... @à la une
#sef009
✅✅✅ Il était décidé à faire tomber Eto'o, mais malheureusement pour lui, il s'en va avant le NGAMBE. Comme quoi, il y a des gens qu'on ne combat pas.
Je n'ai jamais vu un SG qui aime la mafia comme ce type...
Pour rappel Samuel Eto'o est toujours président de la #Fecafoot ... @à la une
#sef009
5 mois depuis
Biographie
•♪♪♪PIERRE TCHANA 🇨🇲✍🏽
Né le 2 février 1945 à Bangoulap, il passe son enfance à Nkongsamba.
Élève, Tchana chante à l’église.
• Carrière de #Tchana_Pierre
En 1957, il remporte avec sa flûte le premier prix d’une émission publique organisée par Radio Douala .
En 1959, il s'installe à Yaoundé, où il poursuit ses études tout en faisant de la musique. En 1961, Radio Yaoundé l'enregistre dans le cadre d’un programme de découverte des jeunes talents.
De 1963 à 1965, il chante à l’ancien Pezzena Bar du quartier Madagascar. En 1965, il crée l'orchestre Travel Jazz. En 1968, il enregistre le disque Il n’est jamais trop tard chez Philips. En 1970, il est en contrat avec les éditions SATEL et en devient le représentant en Afrique centrale.
Il meurt le 24 novembre 1998 à Douala.
✍🏽 #Pierre_Tchana , né le 2 février 1945 et mort le 18 novembre 1998 (à 53 ans) est un auteur, compositeur, interprète, musicien camerounais spécialiste du mangambeu. Il a connu ses années de gloire dans les années 1970, 1980 et 1990 au Cameroun.
•♪♪♪PIERRE TCHANA 🇨🇲✍🏽
Né le 2 février 1945 à Bangoulap, il passe son enfance à Nkongsamba.
Élève, Tchana chante à l’église.
• Carrière de #Tchana_Pierre
En 1957, il remporte avec sa flûte le premier prix d’une émission publique organisée par Radio Douala .
En 1959, il s'installe à Yaoundé, où il poursuit ses études tout en faisant de la musique. En 1961, Radio Yaoundé l'enregistre dans le cadre d’un programme de découverte des jeunes talents.
De 1963 à 1965, il chante à l’ancien Pezzena Bar du quartier Madagascar. En 1965, il crée l'orchestre Travel Jazz. En 1968, il enregistre le disque Il n’est jamais trop tard chez Philips. En 1970, il est en contrat avec les éditions SATEL et en devient le représentant en Afrique centrale.
Il meurt le 24 novembre 1998 à Douala.
✍🏽 #Pierre_Tchana , né le 2 février 1945 et mort le 18 novembre 1998 (à 53 ans) est un auteur, compositeur, interprète, musicien camerounais spécialiste du mangambeu. Il a connu ses années de gloire dans les années 1970, 1980 et 1990 au Cameroun.
5 mois depuis
🗣️Tout savoir sur l’origine du nom du peuple Tikar🇨🇲
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ». C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire qui a deux versions.
#TIKAR
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar. Les travaux de certains chercheurs camerounais pour élucider le mystère de ce peuple ont même démontré qu’il y aurait eu à partir du 16 ème siècle, un vaste empire Tikar qui allait de l’Adamaoua jusqu’au flanc de la vallée de Yoko.
D’autres études parlent aussi d’une migration qui aurait commencé depuis la Nubie, avant de se poursuivre en Égypte et puis enfin dans le pays des Mboum. C’est donc à partir de cette localité que ce hameau familial va une nouvelle fois éclater. Et la raison de cette quatrième migration qui serait à l’origine du nom Tikar trouve son explication dans deux légendes.
Dans la première légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes. Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui. Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village. C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ». Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes. Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Une autre légende parle plutôt d’un partage héritage qui aurait plutôt mal tourné entre les enfants du Belaka. À la mort de ce dernier, il laisse laisse trois enfants dont une fille et deux garçons. Mais avant son décès, le chef aurait pris le soin de laisser les consignes sur la répartition de ses biens. Seulement, les deux garçons ne vont pas suivre les directives de leur père. L’intervention de certains notables pour les revenir à la raison ne va rien changer. Au contraire, ils vont chasser leur sœur pour avoir une main mise sur la totalité de l’héritage. Ils vont également utiliser l’expression « sors d’ici » qui s’écrit cette fois-ci « tim kala » pour chasser leur sœur de la concession familiale.
Déçue par le comportement de ses frères, elle trouvera refuge chez un autre communauté. Cependant, aucun récit ne fait mention de cette communauté en question. Plus tard, elle va se marier et avoir plusieurs fils. Devenus adultes, l’histoire raconte que, elle aurait envoyer ses fils vers sa famille d’origine pour réclamer leurs attributs de chefferie afin que, de retour avec leur titre de noblesse, ils puissent être à leur tour des chefs où elle avait trouvé refuge. Et qu’en souvenir de son départ du village où elle était née, le nom Tika puisse être porté par ce peuple. Même s’il convient de dire que l’expression « sors d’ici » est connu de tous les Tikar comme ayant été à l’origine du nom qu’ils portent aujourd’hui, le mystère réside maintenant dans le contexte où il a été utilisé. Et sur ce point, les avis sont partagés, peut-être il y aurait une autre version dans cette histoire.
👉🏿Charly ngon
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ». C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire qui a deux versions.
#TIKAR
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar. Les travaux de certains chercheurs camerounais pour élucider le mystère de ce peuple ont même démontré qu’il y aurait eu à partir du 16 ème siècle, un vaste empire Tikar qui allait de l’Adamaoua jusqu’au flanc de la vallée de Yoko.
D’autres études parlent aussi d’une migration qui aurait commencé depuis la Nubie, avant de se poursuivre en Égypte et puis enfin dans le pays des Mboum. C’est donc à partir de cette localité que ce hameau familial va une nouvelle fois éclater. Et la raison de cette quatrième migration qui serait à l’origine du nom Tikar trouve son explication dans deux légendes.
Dans la première légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes. Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui. Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village. C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ». Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes. Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Une autre légende parle plutôt d’un partage héritage qui aurait plutôt mal tourné entre les enfants du Belaka. À la mort de ce dernier, il laisse laisse trois enfants dont une fille et deux garçons. Mais avant son décès, le chef aurait pris le soin de laisser les consignes sur la répartition de ses biens. Seulement, les deux garçons ne vont pas suivre les directives de leur père. L’intervention de certains notables pour les revenir à la raison ne va rien changer. Au contraire, ils vont chasser leur sœur pour avoir une main mise sur la totalité de l’héritage. Ils vont également utiliser l’expression « sors d’ici » qui s’écrit cette fois-ci « tim kala » pour chasser leur sœur de la concession familiale.
Déçue par le comportement de ses frères, elle trouvera refuge chez un autre communauté. Cependant, aucun récit ne fait mention de cette communauté en question. Plus tard, elle va se marier et avoir plusieurs fils. Devenus adultes, l’histoire raconte que, elle aurait envoyer ses fils vers sa famille d’origine pour réclamer leurs attributs de chefferie afin que, de retour avec leur titre de noblesse, ils puissent être à leur tour des chefs où elle avait trouvé refuge. Et qu’en souvenir de son départ du village où elle était née, le nom Tika puisse être porté par ce peuple. Même s’il convient de dire que l’expression « sors d’ici » est connu de tous les Tikar comme ayant été à l’origine du nom qu’ils portent aujourd’hui, le mystère réside maintenant dans le contexte où il a été utilisé. Et sur ce point, les avis sont partagés, peut-être il y aurait une autre version dans cette histoire.
👉🏿Charly ngon
8 mois depuis
Appui au développement local :
2,2 milliards de FCFA au profit de 7 Collectivités Territoriales Décentralisées !
Le Ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, Alamine OUSMANE MEY a procédé, ce jeudi 29 février 2024 à Yaoundé, à la signature des conventions de partenariat y relatives avec les Maires des Communes bénéficiaires, en présence du Directeur du Bureau International du Travail au Cameroun.
Dans quelques mois, les Communes de Fokoué, Kribi 1er, Nkongsamba 2ème, Ngaoundéré 3ème, Nitoukou, Touroua, et Tubah verront leur parc infrastructurel s’améliorer. Ceci, grâce aux ressources additionnelles issues du Budget d’Investissement Public du MINEPAT au ******* re des exercices 2024 et suivants. En effet, les 2,2 milliards de FCFA alloués à ces 07 Communes, s’inscrivent dans le cadre du partenariat MINEPAT-Collectivités Territoriales Décentralisées camerounaises, pour la réalisation des ouvrages démonstratifs type « Haute Intensité de Main d’œuvre » (HIMO).
De manière spécifique, les conventions signées permettront la réhabilitation et l’entretien des routes en terre, ainsi que la construction des logements sociaux et des boutiques dans les Communes sus-citées. Les projets retenus ont fait l’objet d’études préalables, et devront à terme : générer 1 520 emplois directs, développer des aptitudes techniques en BTP, promouvoir la main d’œuvre locale non qualifiée et contribuer à la valorisation des matériaux disponibles dans chaque municipalité.
En prenant la parole au nom des 07 Maires signataires des conventions, le Maire de la Commune de Fokoué dans la région de l’Ouest, a exprimé leur gratitude au Gouvernement : « ces nouveaux financements permettront la réalisation des projets qui viendront à coup sûr améliorer le bien-être des populations des Communes bénéficiaires », a souligné Adrienne DEMENOU.
Pour le Ministre de l’Economie, « cette signature de conventions s’inscrit dans la dynamique nationale, sous la très haute impulsion du Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, en faveur d’une décentralisation vertueuse pour un avenir prospère ». Elle est la concrétisation de l’une des orientations de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 (SND30), à savoir « la systématisation de l’approche HIMO dans le double objectif de développer les infrastructures et de générer des revenus temporaires pour les ménages pauvres ».
Pour la mise en œuvre efficace de ces conventions, Alamine OUSMANE MEY a invité les Maires bénéficiaires à veiller à une collaboration étroite avec l’Unité Technique HIMO qui dispose en son sein, les représentants du #MINEFOP , du #Mintp , du #MINHDU et d’une banque de données d’experts des techniques HIMO. « Ces Ressources intellectuelles, matérielles et humaines sont à votre disposition, afin de garantir une réalisation satisfaisante de vos opérations », a fait savoir le #Minepat .
Il faut noter que le recours aux approches HIMO pour la réalisation des infrastructures de base constitue une option forte du Gouvernement camerounais, contenue dans ses instruments juridiques. Outre la Circulaire présidentielle relative à la préparation du budget de l’Etat pour l’exercice 2024, le décret du 20 juin 2018 portant Code des Marchés Publics, prévoit des dispositions incitatives aux approches HIMO. Il en est de même du décret du 24 mars 2014 fixant les conditions de recours et d’application des approches HIMO au Cameroun. C’est pour assurer une promotion plus accrue de ces approches, que le MINEPAT a entrepris depuis 2013, la réalisation, en partenariat direct avec les CTD, des ouvrages démonstratifs suivant la technique HIMO. A date, 59 CTD ont bénéficié de cette initiative, avec des résultats jugés satisfaisants dans divers domaines. A ******* re d’illustration, plus de 10 597 emplois directs ont été créés, dont 1 650 dans les localités de Nwa, Mbengwi, Fundong et Bamenda dans le Nord-Ouest, Mamfé, Tinto, Tiko et ******* ba dans le Sud-Ouest ; 270 déplacés internes ont eu l’opportunité de travailler dans les chantiers HIMO à Babadjou, Bafoussam, Banka, Melong, Nkongsamba, Makénéné et Ngambé-Tikar ; 3 650 ouvriers non qualifiés ont été formés à plusieurs spécialités techniques, à savoir la maçonnerie de moellons, le coffrage, le ferraillage, le curage des cours d’eau, la fabrication et la pose des pavés, ainsi que la fabrication des blocs de terre comprimée ; près de 4,4 milliards de FCFA de revenus salariaux versés aux populations riveraines, renforçant ainsi leur pouvoir d’achat ; des routes ont été assainies et revêtues en pavés de béton ou de pierre ; des hangars, boutiques, salles de classe et logements sociaux ont été construits en bloc de terre comprimée ; des dalots et ponceaux ont été réalisés en maçonnerie de moellons, etc. L’idée ici est de faire des CTD, de véritables pôles de croissance et de développement économique et social au niveau régional et local.
📞 Tél du Minepat Cameroun: 2 22 23 44 83
🎯 Email: celcom @minepat .gov.cm
🎯 site web:: https://minepat.gouv.cm
2,2 milliards de FCFA au profit de 7 Collectivités Territoriales Décentralisées !
Le Ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, Alamine OUSMANE MEY a procédé, ce jeudi 29 février 2024 à Yaoundé, à la signature des conventions de partenariat y relatives avec les Maires des Communes bénéficiaires, en présence du Directeur du Bureau International du Travail au Cameroun.
Dans quelques mois, les Communes de Fokoué, Kribi 1er, Nkongsamba 2ème, Ngaoundéré 3ème, Nitoukou, Touroua, et Tubah verront leur parc infrastructurel s’améliorer. Ceci, grâce aux ressources additionnelles issues du Budget d’Investissement Public du MINEPAT au ******* re des exercices 2024 et suivants. En effet, les 2,2 milliards de FCFA alloués à ces 07 Communes, s’inscrivent dans le cadre du partenariat MINEPAT-Collectivités Territoriales Décentralisées camerounaises, pour la réalisation des ouvrages démonstratifs type « Haute Intensité de Main d’œuvre » (HIMO).
De manière spécifique, les conventions signées permettront la réhabilitation et l’entretien des routes en terre, ainsi que la construction des logements sociaux et des boutiques dans les Communes sus-citées. Les projets retenus ont fait l’objet d’études préalables, et devront à terme : générer 1 520 emplois directs, développer des aptitudes techniques en BTP, promouvoir la main d’œuvre locale non qualifiée et contribuer à la valorisation des matériaux disponibles dans chaque municipalité.
En prenant la parole au nom des 07 Maires signataires des conventions, le Maire de la Commune de Fokoué dans la région de l’Ouest, a exprimé leur gratitude au Gouvernement : « ces nouveaux financements permettront la réalisation des projets qui viendront à coup sûr améliorer le bien-être des populations des Communes bénéficiaires », a souligné Adrienne DEMENOU.
Pour le Ministre de l’Economie, « cette signature de conventions s’inscrit dans la dynamique nationale, sous la très haute impulsion du Chef de l’Etat, S.E Paul BIYA, en faveur d’une décentralisation vertueuse pour un avenir prospère ». Elle est la concrétisation de l’une des orientations de la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030 (SND30), à savoir « la systématisation de l’approche HIMO dans le double objectif de développer les infrastructures et de générer des revenus temporaires pour les ménages pauvres ».
Pour la mise en œuvre efficace de ces conventions, Alamine OUSMANE MEY a invité les Maires bénéficiaires à veiller à une collaboration étroite avec l’Unité Technique HIMO qui dispose en son sein, les représentants du #MINEFOP , du #Mintp , du #MINHDU et d’une banque de données d’experts des techniques HIMO. « Ces Ressources intellectuelles, matérielles et humaines sont à votre disposition, afin de garantir une réalisation satisfaisante de vos opérations », a fait savoir le #Minepat .
Il faut noter que le recours aux approches HIMO pour la réalisation des infrastructures de base constitue une option forte du Gouvernement camerounais, contenue dans ses instruments juridiques. Outre la Circulaire présidentielle relative à la préparation du budget de l’Etat pour l’exercice 2024, le décret du 20 juin 2018 portant Code des Marchés Publics, prévoit des dispositions incitatives aux approches HIMO. Il en est de même du décret du 24 mars 2014 fixant les conditions de recours et d’application des approches HIMO au Cameroun. C’est pour assurer une promotion plus accrue de ces approches, que le MINEPAT a entrepris depuis 2013, la réalisation, en partenariat direct avec les CTD, des ouvrages démonstratifs suivant la technique HIMO. A date, 59 CTD ont bénéficié de cette initiative, avec des résultats jugés satisfaisants dans divers domaines. A ******* re d’illustration, plus de 10 597 emplois directs ont été créés, dont 1 650 dans les localités de Nwa, Mbengwi, Fundong et Bamenda dans le Nord-Ouest, Mamfé, Tinto, Tiko et ******* ba dans le Sud-Ouest ; 270 déplacés internes ont eu l’opportunité de travailler dans les chantiers HIMO à Babadjou, Bafoussam, Banka, Melong, Nkongsamba, Makénéné et Ngambé-Tikar ; 3 650 ouvriers non qualifiés ont été formés à plusieurs spécialités techniques, à savoir la maçonnerie de moellons, le coffrage, le ferraillage, le curage des cours d’eau, la fabrication et la pose des pavés, ainsi que la fabrication des blocs de terre comprimée ; près de 4,4 milliards de FCFA de revenus salariaux versés aux populations riveraines, renforçant ainsi leur pouvoir d’achat ; des routes ont été assainies et revêtues en pavés de béton ou de pierre ; des hangars, boutiques, salles de classe et logements sociaux ont été construits en bloc de terre comprimée ; des dalots et ponceaux ont été réalisés en maçonnerie de moellons, etc. L’idée ici est de faire des CTD, de véritables pôles de croissance et de développement économique et social au niveau régional et local.
📞 Tél du Minepat Cameroun: 2 22 23 44 83
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8 mois depuis
🔴 Samuel Eto’o : « Je tiens tout d’abord à exprimer ma profonde gratitude envers le chef de l’État, S.E Paul Biya, pour l’ensemble des efforts qu’il a déployés pour rendre accessible le site de Ngambé. Je n’oublierai jamais le soutien indéfectible que m’a toujours apporté le président Biya. Par cette attention si particulière, le président Biya a une fois de plus démontré son profond attachement envers notre famille et sa reconnaissance ». 🙏🇨🇲
8 mois depuis
🔴 CARRÉ PEOPLE ⭐
Venu spécialement de la Guinée 🇬🇳 pour assister aux obsèques de PAPA DAVID ETO'O à Ngambe, Samuel Eto'o a apprécié cette grande marque d'attention de l'artiste ''GRAND P'' et lui a accordé de son temps.☺️
#Rip #DavidEtoo 🛐
Venu spécialement de la Guinée 🇬🇳 pour assister aux obsèques de PAPA DAVID ETO'O à Ngambe, Samuel Eto'o a apprécié cette grande marque d'attention de l'artiste ''GRAND P'' et lui a accordé de son temps.☺️
#Rip #DavidEtoo 🛐
8 mois depuis
#menotv #Cérémonie d’#inhumation du #patriarche David Eto'o (père de Samuel Eto'o) ce samedi 13 avril 2024 à #NGAMBÈ (village natal du patriarche David Eto'o)
8 mois depuis
#Nécrologie : Samuel Eto’o craque lors de son discours d’adieu à son papa😞😭💔
Beaucoup de courage au président de la fecafoot 🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽😔😔😔
#Peupah_Zouzoua👨🏽💻 Comme quoi un enfant n’est jamais grand devant ses parents! Cette douleur !!!!😭😭😭😭 Beaucoup de courage Ngambè 🙏🏽🙏🏽🇨🇲🇨🇲🇨🇲RIP David Eto’o 🕯️🌿
Beaucoup de courage au président de la fecafoot 🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽😔😔😔
#Peupah_Zouzoua👨🏽💻 Comme quoi un enfant n’est jamais grand devant ses parents! Cette douleur !!!!😭😭😭😭 Beaucoup de courage Ngambè 🙏🏽🙏🏽🇨🇲🇨🇲🇨🇲RIP David Eto’o 🕯️🌿
8 mois depuis
📗🍅💛 ORIGINE DU NOM #TIKAR
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ».
C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire.
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar.
Une légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes.
Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui.
Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village.
C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ».
Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes.
Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Sce: Charly Ngon , #VisitCameroun 🇨🇲
𝐂𝐀𝐌𝐄𝐑 𝐍𝐀𝐓𝐀𝐋, 𝐥𝐞 𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐮𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐮𝐧 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞🇨🇲
Vous voulez faire promouvoir l'image d'une VILLE, d'un VILLAGE ou pour toute AUTRE INFORMATION, bien vouloir nous contacter par message
Le peuple Tikar tire son nom d’origine de l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire « Sors d’ici ».
C’est du moins ce que tout le monde sait. Cependant, derrière l’origine de ce nom se cache une histoire.
De l’Adamaoua au Centre, en passant par l’Ouest et le Nord-Ouest, on retrouve dans chacune de ces régions une communauté Tikar.
Une légende, on affirme que le nom Tikar viendrait d’une histoire d’adultère entre le fils d’un chef Mboum avec l’une de ses femmes.
Le Belaka ( nom attribué au chef de la tribu chez les Mboum) n’a pas pu accepter cette humiliation, encore que celle-ci venait d’une personne très proche de lui.
Dans une colère noire, il décide de chasser son fils pas seulement de la chefferie, mais du village.
C’est donc en criant sur ce dernier qu’il va lâcher l’expression « Ti kàlá jè » qui veut dire en langue Mboum « Sors d’ici ».
Klo, le fils déchu va quitter le village avec un groupe de personnes.
Dans leurs errements, ils vont arpenter les plateaux de l’Adamaoua, jusqu’à progresser au niveau de la rive gauche du Mbam avant de prolonger vers d’autres localités comme Ngambe ( Ngambe-Tikar), Bankim, Noun, Bafut…
Sce: Charly Ngon , #VisitCameroun 🇨🇲
𝐂𝐀𝐌𝐄𝐑 𝐍𝐀𝐓𝐀𝐋, 𝐥𝐞 𝐂𝐚𝐦𝐞𝐫𝐨𝐮𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐮𝐧 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞🇨🇲
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1 année depuis
Le Combat du Camerounais Francis Ngannou sera bel et bien diffusé sur la principale chaîne Africaine la ( CRTV ) C'est à la demande et aux frais du compatriote Samuel Eto'o. Rendez - vous à 2 h du matin heure du Cameroun
Le montant s'élève à 540 millions de Fcfa pendant toute la durée du combat . Disons merci à #Samuel_Eto 'o 👏
Alias le #Ngambé , #Le9 , le Pr de la #Fecafoot ✌️
Le montant s'élève à 540 millions de Fcfa pendant toute la durée du combat . Disons merci à #Samuel_Eto 'o 👏
Alias le #Ngambé , #Le9 , le Pr de la #Fecafoot ✌️