7 mois depuis
🔴🔘🔵 Yaoundé - Mouloundou c'est environ 828 km et en saison pluvieuse, il faut environ 03 jours pour y arriver...
#Twitbook24 ne fait que relayer 👇👇
Afin d'aider le membre de l'église EtooPeu qui vient de prendre une balle perdue du moustachu Zen ... J'ai rassemblé quelques informations utiles pour le préparateur physique de la deuxième équipe des lions .
Bref , pour qu'il arrive à Moulondou avant lundi matin chap-chap ... Il faut qu'au plus tard cette nuit à 5 heures , il soit déjà à Mvan pour prendre le premier bus pour bertoua.
Arrivée à Bertoua Vendredi Matin, si il a de la chance il pourra trouver un autre Clando pour le tronçon : Bertoua - Yokadouma .
À Yokadouma, il devra sûrement dormir à la gare, il y a très peu d'hôtel fiables là-bas et les agressions là-bas, c'est le helèlèlè 🙌🏼🙌🏼...
Ensuite le lendemain, il doit prendre un autre Opep pour faire le tronçon : Yokadouma- Mambala, mais à ce niveau les car sont très rares, et on bâche seulement 12 personnes dans les voitures prévues pour 5 places.
À partir de Mambala , les voitures n'entrent plus dans certaines zones en saison de pluie, donc il devra se battre le reste du trajet en moto jusqu'à Moulondou.
Comme j'ai dit tantôt au début, si notre vaillant professeur d'EPS est chanceux, il pourra arriver à son lieu de service avant lundi 7:30 heures , mais pour cela, il devra prendre la route dès ce soir ! .
Dites-lui de ne pas me remercier pour les informations que je mets à disposition, je ne suis là que pour aider 😼.
✍️ Par julie Foka de la page #Kamer_Révolution_Bis
#Twitbook24 ne fait que relayer 👇👇
Afin d'aider le membre de l'église EtooPeu qui vient de prendre une balle perdue du moustachu Zen ... J'ai rassemblé quelques informations utiles pour le préparateur physique de la deuxième équipe des lions .
Bref , pour qu'il arrive à Moulondou avant lundi matin chap-chap ... Il faut qu'au plus tard cette nuit à 5 heures , il soit déjà à Mvan pour prendre le premier bus pour bertoua.
Arrivée à Bertoua Vendredi Matin, si il a de la chance il pourra trouver un autre Clando pour le tronçon : Bertoua - Yokadouma .
À Yokadouma, il devra sûrement dormir à la gare, il y a très peu d'hôtel fiables là-bas et les agressions là-bas, c'est le helèlèlè 🙌🏼🙌🏼...
Ensuite le lendemain, il doit prendre un autre Opep pour faire le tronçon : Yokadouma- Mambala, mais à ce niveau les car sont très rares, et on bâche seulement 12 personnes dans les voitures prévues pour 5 places.
À partir de Mambala , les voitures n'entrent plus dans certaines zones en saison de pluie, donc il devra se battre le reste du trajet en moto jusqu'à Moulondou.
Comme j'ai dit tantôt au début, si notre vaillant professeur d'EPS est chanceux, il pourra arriver à son lieu de service avant lundi 7:30 heures , mais pour cela, il devra prendre la route dès ce soir ! .
Dites-lui de ne pas me remercier pour les informations que je mets à disposition, je ne suis là que pour aider 😼.
✍️ Par julie Foka de la page #Kamer_Révolution_Bis
8 mois depuis
🚨RÉSULTATS DES EXAMENS OBC 2021
❌La suppression de la note éliminatoire à la base du fort taux de réussite !
🗣️L'explication a été donnée au Ministre des Enseignements secondaires, en visite à l'Office du Baccalauréat ce jour à Yaoundé, par le top management de l'institution, en réponse à l'une des préoccupations ayant motivé la descente du Pr Nalova Lyonga
🚶♀️Le Ministre des Enseignements secondaires a effectué une descente au siège de l'Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC) ce mercredi 04 août. Au-delà de la visite de routine que peut imposer le contexte de délibération des examens, le Pr Nalova Lyonga, qu'accompagnait le Secrétaire général du MINESEC, Pierre Fabien Nkot, a à cœur d'en savoir plus, non seulement sur les informations faisant état d'une distribution du Baccalauréat que d'aucuns ont vite fait d'appeler "BAC CADEAU", mais encore sur des accusations de vente des résultats avec mise à disposition des données des candidats à des organismes privés ; griefs portés à l'encontre de l'OBC.
📈En rapport avec le fort taux des réussite, le directeur de l'Office, Étienne Roger Minkoulou, explique qu'au delà des efforts consentis par l'OBC appuyé par la tutelle (MINESEC), la suppression de la note éliminatoire, corollaire de l'approche par compétence en est la principale raison. Car le principe de la note éliminatoire était l'une des causes de plusieurs échecs aux examens officiels.
🖐️Autre raison, S'agissant de la supposée vente des résultats à travers le numéro 8070 encore appelé numéro court, il a été expliqué à la Patronne des Enseignements secondaires que, non seulement il s'agit d'une option, mais encore et surtout ladite option, après avoir été supprimée par l'actuel Directeur de l'Office, a été fortement réclamée par nombre de parents et de candidats incapables de suivre la lecture des résultats à la radio et ne pouvant accéder au site de l'organisme sur lequel les résultats sont publiés.
🚶♀️Nalova Lyonga quitte le quartier Mvan, siège de l'OBC, satisfaite des informations glanées à bonne source, avec promesse d'avoir tous les résultats au plus tard fin de la semaine prochaine, mais en regrettant que les services du Ministère des Finances ayant reçu les états de paiement des frais dûs aux intervenants aux différents examens OBC, n'aient pas encore entièrement libéré le montant requis aux fins de désintéressement des concernés.
Henri Bomba
Communication spéciale de Mme le Ministre.
#MinistèredesEnseignementsSecondairesduCameroun
#MINESEC
❌La suppression de la note éliminatoire à la base du fort taux de réussite !
🗣️L'explication a été donnée au Ministre des Enseignements secondaires, en visite à l'Office du Baccalauréat ce jour à Yaoundé, par le top management de l'institution, en réponse à l'une des préoccupations ayant motivé la descente du Pr Nalova Lyonga
🚶♀️Le Ministre des Enseignements secondaires a effectué une descente au siège de l'Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC) ce mercredi 04 août. Au-delà de la visite de routine que peut imposer le contexte de délibération des examens, le Pr Nalova Lyonga, qu'accompagnait le Secrétaire général du MINESEC, Pierre Fabien Nkot, a à cœur d'en savoir plus, non seulement sur les informations faisant état d'une distribution du Baccalauréat que d'aucuns ont vite fait d'appeler "BAC CADEAU", mais encore sur des accusations de vente des résultats avec mise à disposition des données des candidats à des organismes privés ; griefs portés à l'encontre de l'OBC.
📈En rapport avec le fort taux des réussite, le directeur de l'Office, Étienne Roger Minkoulou, explique qu'au delà des efforts consentis par l'OBC appuyé par la tutelle (MINESEC), la suppression de la note éliminatoire, corollaire de l'approche par compétence en est la principale raison. Car le principe de la note éliminatoire était l'une des causes de plusieurs échecs aux examens officiels.
🖐️Autre raison, S'agissant de la supposée vente des résultats à travers le numéro 8070 encore appelé numéro court, il a été expliqué à la Patronne des Enseignements secondaires que, non seulement il s'agit d'une option, mais encore et surtout ladite option, après avoir été supprimée par l'actuel Directeur de l'Office, a été fortement réclamée par nombre de parents et de candidats incapables de suivre la lecture des résultats à la radio et ne pouvant accéder au site de l'organisme sur lequel les résultats sont publiés.
🚶♀️Nalova Lyonga quitte le quartier Mvan, siège de l'OBC, satisfaite des informations glanées à bonne source, avec promesse d'avoir tous les résultats au plus tard fin de la semaine prochaine, mais en regrettant que les services du Ministère des Finances ayant reçu les états de paiement des frais dûs aux intervenants aux différents examens OBC, n'aient pas encore entièrement libéré le montant requis aux fins de désintéressement des concernés.
Henri Bomba
Communication spéciale de Mme le Ministre.
#MinistèredesEnseignementsSecondairesduCameroun
#MINESEC
8 mois depuis
𝗚𝗮𝘇 𝗗𝗼𝗺𝗲𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝘂𝗻 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗲𝗻𝗳û𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗳𝗿𝗮𝘂𝗱𝘂𝗹𝗲𝘂𝘅 𝗺𝗶𝘀 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗰𝗲𝗹𝗹é𝘀 à 𝗬𝗮𝗼𝘂𝗻𝗱é.
Au cours d’une opération conjointe conduite par le Ministère du Commerce et la Gendarmerie nationale, un site clandestin d'enfûtage de gaz domestique a été démantelé au quartier Odza à Yaoundé. Lancée suite à une dénonciation adressée au Ministre du Commerce, cette enquête a révélé un mécontentement général des consommateurs, confrontés à une énigme : à raison de 6 500 FCFA pour une bouteille de 12,5 kg, le gaz domestique se volatilise prématurément, contraignant les foyers à des dépenses répétées.
Sur Instructions du Ministre du Commerce, 𝗟𝘂𝗰 𝗠𝗮𝗴𝗹𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗠𝗯𝗮𝗿𝗴𝗮 𝗔𝘁𝗮𝗻𝗴𝗮𝗻𝗮, les équipes de la délégation régionale du Mincommerce du Centre, appuyées par la Gendarmerie nationale, ont mis au jour des pratiques illicites au sein d'une unité de la marque "𝗣𝗹𝗲𝗶𝗻𝗚𝗮𝘇" de la société 𝗜𝗻𝗳𝗼𝘁𝗲𝗰𝗵 𝗦.𝗔, qui enfûtait les bouteilles de ses concurrents. Ce repaire de fraudes, désormais scellé depuis le jeudi 17 avril 2024, s'autorisait à remplir les bouteilles de ses concurrents, sous-quantifiant les chargements au détriment des consommateurs, créant ainsi un préjudice manifeste.
Selon la 𝗖𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗶𝗲 𝗕𝗲𝗿𝗻𝗮𝗿𝗱 𝗡𝘆𝗮𝗻𝗴𝗼𝗻𝗼, chef bureau du service Recherche judiciaire de la Première Région de Gendarmerie à Yaoundé, des bouteilles de gaz domestique défectueusement conditionnées ont été découvertes, exposant les consommateurs à des risques majeurs. De plus, l'absence de pictogramme adéquat sur les véhicules de transport enfreint les normes de sécurité en vigueur. Des responsables de ce centre d'enfûtage ont été mis aux arrêts, tandis qu'une enquête a été ouverte à la Première Région de Gendarmerie de Yaoundé.
Il est important de souligner que le gaz domestique, vital pour les foyers, bénéficie de subventions de l'État, chaque bouteille achetée étant assortie d'une contribution de l'État de 4 713 FCFA.
𝗖𝗲𝗹𝗰𝗼𝗺 𝗠𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿𝗰𝗲
#Mincommerce
#luttecontrelafraude
#protectiondesconsommateurs
#gazdomestique
#MVAN
#Yaounde
#Cameroun
Au cours d’une opération conjointe conduite par le Ministère du Commerce et la Gendarmerie nationale, un site clandestin d'enfûtage de gaz domestique a été démantelé au quartier Odza à Yaoundé. Lancée suite à une dénonciation adressée au Ministre du Commerce, cette enquête a révélé un mécontentement général des consommateurs, confrontés à une énigme : à raison de 6 500 FCFA pour une bouteille de 12,5 kg, le gaz domestique se volatilise prématurément, contraignant les foyers à des dépenses répétées.
Sur Instructions du Ministre du Commerce, 𝗟𝘂𝗰 𝗠𝗮𝗴𝗹𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗠𝗯𝗮𝗿𝗴𝗮 𝗔𝘁𝗮𝗻𝗴𝗮𝗻𝗮, les équipes de la délégation régionale du Mincommerce du Centre, appuyées par la Gendarmerie nationale, ont mis au jour des pratiques illicites au sein d'une unité de la marque "𝗣𝗹𝗲𝗶𝗻𝗚𝗮𝘇" de la société 𝗜𝗻𝗳𝗼𝘁𝗲𝗰𝗵 𝗦.𝗔, qui enfûtait les bouteilles de ses concurrents. Ce repaire de fraudes, désormais scellé depuis le jeudi 17 avril 2024, s'autorisait à remplir les bouteilles de ses concurrents, sous-quantifiant les chargements au détriment des consommateurs, créant ainsi un préjudice manifeste.
Selon la 𝗖𝗮𝗽𝗶𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗶𝗲 𝗕𝗲𝗿𝗻𝗮𝗿𝗱 𝗡𝘆𝗮𝗻𝗴𝗼𝗻𝗼, chef bureau du service Recherche judiciaire de la Première Région de Gendarmerie à Yaoundé, des bouteilles de gaz domestique défectueusement conditionnées ont été découvertes, exposant les consommateurs à des risques majeurs. De plus, l'absence de pictogramme adéquat sur les véhicules de transport enfreint les normes de sécurité en vigueur. Des responsables de ce centre d'enfûtage ont été mis aux arrêts, tandis qu'une enquête a été ouverte à la Première Région de Gendarmerie de Yaoundé.
Il est important de souligner que le gaz domestique, vital pour les foyers, bénéficie de subventions de l'État, chaque bouteille achetée étant assortie d'une contribution de l'État de 4 713 FCFA.
𝗖𝗲𝗹𝗰𝗼𝗺 𝗠𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿𝗰𝗲
#Mincommerce
#luttecontrelafraude
#protectiondesconsommateurs
#gazdomestique
#MVAN
#Yaounde
#Cameroun
8 mois depuis
A LA DECOUVERTE D’AKONOLINGA ET DU NYONG ET MFOUMOU
Akonolinga est le chef-lieu du département de Nyong et Mfoumou dans la Région du Centre, qui comprend les arrondissements d’Ayos, de Mengang, d’Endom, d’Akonolinga et de Kobdombo. La commune a été créée le 21 Août 1952. Sa population est estimée à près de 80.000 habitants en 2016. La commune comprend six chefferies de 2e degré (Yelinda, Sso Est, Mvog Nyengue, Yebekolo Nord, Sso centre, Akonolinga Ville).
🚩 HISTORIQUE DES VILLES DU NYONG ET MFOUMOU
#AKONOLINGA
Le nom « AKONOLINGA » date de la période de la colonisation, c’est-à-dire, vers les années 1800. Avant cette date, Akonolinga portait le nom de « EKOUA ». Cette localité, avant l’ère post coloniale, était étende et regroupait les actuels arrondissements d’Akonolinga, d’Edom et de Mengang. Les différentes ethnies qui s’y côtoyaient étaient composées de : Yembama, Yelinda, Mvog Nyengue, et Mbida Mbani. A la recherche de nouvelles terres, les Yengono venus de Nguinda (actuel arrondissement d’Awae) livrèrent une guerre contre les Yembama et les poussèrent vers la rive gauche du Nyong où ces derniers s’installèrent. Par la suite, les So’o venus de l’Est et aidés par les Yebekolo acculèrent les Yelinda et les poussèrent vers la rive droite du Nyong où ils s’installèrent. Entre temps, une autre guerre avait lieu entre les Mvog Nyengue voisins des Yembama et des Mbida Mbani venus de l’arrondissement d’Endom. Ainsi au cours de ces affrontements tribaux, deux frères, AKONO et OLINGA, guerriers de la tribu Yengono se firent remarquer par leur bravoure. Ils furent tués au cours d’une bataille vers 1906. Les Colons Allemands, ayant appris les décès des grands chefs de la tribu Yengono, envoyèrent le major DOMINIK qui arriva et mis fin à la guerre tribale qui opposait les Yembama aux Yengono. Les yengono occupèrent dont les hameaux de Mvé I, Bondi, Akolo, et une partie de la ville. Les Sso qui avaient repoussés les Yelinda occupèrent l’autre moitié de la ville. Le major Dominik, après avoir pacifié les tribus en guerre laissa un bataillon pour maintenir l’ordre, et traversa du côté Sud du fleuve pour pacifier les Mbida Mbani et les Mvog Nyengue qui étaient également en guerre. En reconnaissance de la bravoure des frères AKONO et OLINGA, les communautés des Yengono décidèrent de dénommer désormais Ekoua, "AKONOLINGA", conjonction de AKONO et OLINGA.
#AYOS
Dès le début du xxe siècle, les rives du Haut-Nyong sont signalés comme un foyer de grande intensité de la maladie du sommeil. En janvier 1913, le médecin allemand Philalethes Kuhn, établit une première installation médicale à Ayos. Les années 1920 voient de nouvelles installations sanitaires constituer la base logistique et scientifique du programme de lutte contre la maladie du sommeil conduit par le médecin militaire français Eugène Jamot, installé à Ayos en 1922, il succède au Dr Jojot5. Le 8 avril 1926, la mission permanente de la Prophylaxie de la Maladie du Sommeil est instituée par décret ministériel, Jamot en est le directeur, ainsi fin 1926, le Centre d’Instruction d'Ayos est établi sous la direction du Docteur de Marqueissac. De 1926 à 1931, en cinq ans de travail acharné, le fléau de la Maladie du Sommeil est vaincu au Cameroun. Cependant, il est alors préconisé de poursuivre l'effort par des moyens financiers, du personnel en suffisance et l'autonomie administrative. Administrativement, la localité est siège de District en février 1924, érigé en Arrondissement en juin 1964.
#ENDOM
À l’origine, Endom n’était qu’une concentration de cacaoyères et de cultures vivrières implantées sur le site de l’actuel périmètre urbain. En fait, pour départager les localités d’Edjom et d’Ekoudou, qui se battaient avec acharnement pour être le chef-lieu de la nouvelle unité administrative, les pouvoirs publics ont joué de sagesse pour trouver un village neutre, situé à égale distance entre les deux principales rivales. Ainsi le choix s’est porté sur Endom, qui réunissait plus ou moins tous ces critères. En 1965, l’unité administrative, qui voit le jour, sera érigée en arrondissement en 1981. Ainsi est née, Endom, qui était tout simplement le nom donne aux plantations de cette localite. Du temps où les populations locales disaient « maké Endom », qui se traduit par « je vais au champ ».
#MENGANG
Essentiellement guerrières, les populations qui se trouvent à Mengang sont arrivées après avoir chassé les Ovang et les Maka actuellement installés dans le département du Haut – Nyong, Région de l’Est. Après cette victoire, ces populations ont décidé de protéger leur territoire, de ne plus faire de déplacement. Rester avec audace dans une localité, un endroit ou dans une maison en décidant de ne plus se déplacer, ce fait trouve sa traduction en langue locale par le mot « Magan ». L’harmonisation des appellations post coloniales oblige Magan à devenir Mengang. Aujourd’hui, les tribus autochtones que sont les Ndong, Edouma et Yengono vivent en harmonie avec celles venues d’ailleurs. Erigé en arrondissement en 1997, Mengang dispose entre autres d’une brigade de gendarmerie et d’une commune.
#KOBDOMBO
Crée par Décret présidentiel N°95/082 du 24 Avril 1995, la commune de KOBDOMBO est située dans la Région du Centre, département du Nyong et Mfoumou. La commune de Kobdombo compte 04 cantons avec à leur tête une chefferie de 2ème degré avec 34 villages coiffés chacun par une chefferie de 3ème degré. On dénombre plusieurs groupes socioculturels dont les principales sont : Yebekolo, Maka, Omvang, Yemekak, Essemeganda et Yegoula.
🚨 By Joseph Tsana Enama
Akonolinga est le chef-lieu du département de Nyong et Mfoumou dans la Région du Centre, qui comprend les arrondissements d’Ayos, de Mengang, d’Endom, d’Akonolinga et de Kobdombo. La commune a été créée le 21 Août 1952. Sa population est estimée à près de 80.000 habitants en 2016. La commune comprend six chefferies de 2e degré (Yelinda, Sso Est, Mvog Nyengue, Yebekolo Nord, Sso centre, Akonolinga Ville).
🚩 HISTORIQUE DES VILLES DU NYONG ET MFOUMOU
#AKONOLINGA
Le nom « AKONOLINGA » date de la période de la colonisation, c’est-à-dire, vers les années 1800. Avant cette date, Akonolinga portait le nom de « EKOUA ». Cette localité, avant l’ère post coloniale, était étende et regroupait les actuels arrondissements d’Akonolinga, d’Edom et de Mengang. Les différentes ethnies qui s’y côtoyaient étaient composées de : Yembama, Yelinda, Mvog Nyengue, et Mbida Mbani. A la recherche de nouvelles terres, les Yengono venus de Nguinda (actuel arrondissement d’Awae) livrèrent une guerre contre les Yembama et les poussèrent vers la rive gauche du Nyong où ces derniers s’installèrent. Par la suite, les So’o venus de l’Est et aidés par les Yebekolo acculèrent les Yelinda et les poussèrent vers la rive droite du Nyong où ils s’installèrent. Entre temps, une autre guerre avait lieu entre les Mvog Nyengue voisins des Yembama et des Mbida Mbani venus de l’arrondissement d’Endom. Ainsi au cours de ces affrontements tribaux, deux frères, AKONO et OLINGA, guerriers de la tribu Yengono se firent remarquer par leur bravoure. Ils furent tués au cours d’une bataille vers 1906. Les Colons Allemands, ayant appris les décès des grands chefs de la tribu Yengono, envoyèrent le major DOMINIK qui arriva et mis fin à la guerre tribale qui opposait les Yembama aux Yengono. Les yengono occupèrent dont les hameaux de Mvé I, Bondi, Akolo, et une partie de la ville. Les Sso qui avaient repoussés les Yelinda occupèrent l’autre moitié de la ville. Le major Dominik, après avoir pacifié les tribus en guerre laissa un bataillon pour maintenir l’ordre, et traversa du côté Sud du fleuve pour pacifier les Mbida Mbani et les Mvog Nyengue qui étaient également en guerre. En reconnaissance de la bravoure des frères AKONO et OLINGA, les communautés des Yengono décidèrent de dénommer désormais Ekoua, "AKONOLINGA", conjonction de AKONO et OLINGA.
#AYOS
Dès le début du xxe siècle, les rives du Haut-Nyong sont signalés comme un foyer de grande intensité de la maladie du sommeil. En janvier 1913, le médecin allemand Philalethes Kuhn, établit une première installation médicale à Ayos. Les années 1920 voient de nouvelles installations sanitaires constituer la base logistique et scientifique du programme de lutte contre la maladie du sommeil conduit par le médecin militaire français Eugène Jamot, installé à Ayos en 1922, il succède au Dr Jojot5. Le 8 avril 1926, la mission permanente de la Prophylaxie de la Maladie du Sommeil est instituée par décret ministériel, Jamot en est le directeur, ainsi fin 1926, le Centre d’Instruction d'Ayos est établi sous la direction du Docteur de Marqueissac. De 1926 à 1931, en cinq ans de travail acharné, le fléau de la Maladie du Sommeil est vaincu au Cameroun. Cependant, il est alors préconisé de poursuivre l'effort par des moyens financiers, du personnel en suffisance et l'autonomie administrative. Administrativement, la localité est siège de District en février 1924, érigé en Arrondissement en juin 1964.
#ENDOM
À l’origine, Endom n’était qu’une concentration de cacaoyères et de cultures vivrières implantées sur le site de l’actuel périmètre urbain. En fait, pour départager les localités d’Edjom et d’Ekoudou, qui se battaient avec acharnement pour être le chef-lieu de la nouvelle unité administrative, les pouvoirs publics ont joué de sagesse pour trouver un village neutre, situé à égale distance entre les deux principales rivales. Ainsi le choix s’est porté sur Endom, qui réunissait plus ou moins tous ces critères. En 1965, l’unité administrative, qui voit le jour, sera érigée en arrondissement en 1981. Ainsi est née, Endom, qui était tout simplement le nom donne aux plantations de cette localite. Du temps où les populations locales disaient « maké Endom », qui se traduit par « je vais au champ ».
#MENGANG
Essentiellement guerrières, les populations qui se trouvent à Mengang sont arrivées après avoir chassé les Ovang et les Maka actuellement installés dans le département du Haut – Nyong, Région de l’Est. Après cette victoire, ces populations ont décidé de protéger leur territoire, de ne plus faire de déplacement. Rester avec audace dans une localité, un endroit ou dans une maison en décidant de ne plus se déplacer, ce fait trouve sa traduction en langue locale par le mot « Magan ». L’harmonisation des appellations post coloniales oblige Magan à devenir Mengang. Aujourd’hui, les tribus autochtones que sont les Ndong, Edouma et Yengono vivent en harmonie avec celles venues d’ailleurs. Erigé en arrondissement en 1997, Mengang dispose entre autres d’une brigade de gendarmerie et d’une commune.
#KOBDOMBO
Crée par Décret présidentiel N°95/082 du 24 Avril 1995, la commune de KOBDOMBO est située dans la Région du Centre, département du Nyong et Mfoumou. La commune de Kobdombo compte 04 cantons avec à leur tête une chefferie de 2ème degré avec 34 villages coiffés chacun par une chefferie de 3ème degré. On dénombre plusieurs groupes socioculturels dont les principales sont : Yebekolo, Maka, Omvang, Yemekak, Essemeganda et Yegoula.
🚨 By Joseph Tsana Enama
8 mois depuis
☺️🌬️L’actuel département du Nyong et Mfoumou 🇨🇲♥️🌊
de la région du centre de l’état du Cameroun,
en Afrique central, est composé de 5 arrondissements :
I. Akonolinga
II. Nyakokombo
III. Ayos
IV. Mengang
V. Endom
Au sein de ces 5 arrondissements (chef-lieu Akonolinga)
Nous pouvons compter 10 principales tribus
divisées en 16 groupements
(de 347 villages et 39 quartiers …)
du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest
qui sont les suivants :
1. Yebekolo Nord
2. Maka Nord
3. Yebekolo Nord Est I.
4. Yebekolo Nord Est II.
5. Omvang
6. Yebekolo Est
7. Sso centre
8. Sso Est
9. Akonolinga Ville
10. Yengono
11. Yembama
12. Yelinda
13. Mvog Nyengue
14. Mbida Mbani
15. Essankom
16. Maka Sud
La chefferie traditionnelle des guerriers Yebekolo,
au cœur de l’ethnie Beti be Nnanga …
La tribu Yebekolo n’est actuellement pas gouvernée par un chef de 1er degré (chefferie supérieure)
Cependant, elle est à constituée de 4 groupements
(chefferie de second degré)
dans lesquelles nous pouvons compter 75 villages et
18 quartiers (chefferies de 3e degré)
1. Yebekolo Nord
(chef lieu : Mengueme Si)
Un ensemble de 23 villages
Sa majesté Si Angoula Jean Jacques (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Angoula Si Ernest
Petit-fils de sa majesté Si Mekoa/ Ayi David
Arrière petit-fils de sa majesté Ayi Bidoung
Arrière arrière petit-fils de Bidoung Bi Ngo’o
2. Yebekolo Nord Est I.
(chef lieu : Sobia)
Un ensemble de 10 villages
Trône vacant depuis le décès en 2011 de
Sa majesté Amba’a Bengondo Joseph (2e degré)
Fils de Bengondo Messanga Siméon
Petit-fils de Messanga Owoundi
Arrière petit-fils de Owoundi Mvodo
Arrière arrière petit-fils de Mvodo Engonga
3. Yebekolo Nord Est II.
(chef lieu : Nkol Oboudou I)
Un ensemble de 8 villages
Sa majesté Engonga Nkodo Ronan C. (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Nkodo Evina Simon
Petit-fils de sa majesté Evina Bengongo
Arrière petit-fils de sa majesté Bengongo Be Foumena
Arrière arrière petit-fils de Foumena Mekinda
4. Yebekolo Est
(chef lieu : Ndelle)
Un ensemble de 34 villages et 18 quartiers
Sa majesté Abada Zengue Grégoire (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Zengue Medjo Joseph
Petit-fils de sa majesté Medjo me Zengue
Arrière petit-fils de sa majesté Zengue Bilounga / Zengue
Arrière arrière petit-fils de Zengue Abada
On y associe également les groupements suivants :
5. Maka Nord
(chef lieu : Nkpwanze)
Un ensemble de 4 villages
Sa majesté Nda Wola Raymond (chef 2e degré)
6. Omvang
(chef lieu Mbeka’a)
Un ensemble de 17 villages
Sa majesté Ngoa Ze Jean Blaise (chef 2e degré)
À suivre
Son altesse royale,
Andrea Nde Dang Bengondo Mekoula Messanga
de la région du centre de l’état du Cameroun,
en Afrique central, est composé de 5 arrondissements :
I. Akonolinga
II. Nyakokombo
III. Ayos
IV. Mengang
V. Endom
Au sein de ces 5 arrondissements (chef-lieu Akonolinga)
Nous pouvons compter 10 principales tribus
divisées en 16 groupements
(de 347 villages et 39 quartiers …)
du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest
qui sont les suivants :
1. Yebekolo Nord
2. Maka Nord
3. Yebekolo Nord Est I.
4. Yebekolo Nord Est II.
5. Omvang
6. Yebekolo Est
7. Sso centre
8. Sso Est
9. Akonolinga Ville
10. Yengono
11. Yembama
12. Yelinda
13. Mvog Nyengue
14. Mbida Mbani
15. Essankom
16. Maka Sud
La chefferie traditionnelle des guerriers Yebekolo,
au cœur de l’ethnie Beti be Nnanga …
La tribu Yebekolo n’est actuellement pas gouvernée par un chef de 1er degré (chefferie supérieure)
Cependant, elle est à constituée de 4 groupements
(chefferie de second degré)
dans lesquelles nous pouvons compter 75 villages et
18 quartiers (chefferies de 3e degré)
1. Yebekolo Nord
(chef lieu : Mengueme Si)
Un ensemble de 23 villages
Sa majesté Si Angoula Jean Jacques (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Angoula Si Ernest
Petit-fils de sa majesté Si Mekoa/ Ayi David
Arrière petit-fils de sa majesté Ayi Bidoung
Arrière arrière petit-fils de Bidoung Bi Ngo’o
2. Yebekolo Nord Est I.
(chef lieu : Sobia)
Un ensemble de 10 villages
Trône vacant depuis le décès en 2011 de
Sa majesté Amba’a Bengondo Joseph (2e degré)
Fils de Bengondo Messanga Siméon
Petit-fils de Messanga Owoundi
Arrière petit-fils de Owoundi Mvodo
Arrière arrière petit-fils de Mvodo Engonga
3. Yebekolo Nord Est II.
(chef lieu : Nkol Oboudou I)
Un ensemble de 8 villages
Sa majesté Engonga Nkodo Ronan C. (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Nkodo Evina Simon
Petit-fils de sa majesté Evina Bengongo
Arrière petit-fils de sa majesté Bengongo Be Foumena
Arrière arrière petit-fils de Foumena Mekinda
4. Yebekolo Est
(chef lieu : Ndelle)
Un ensemble de 34 villages et 18 quartiers
Sa majesté Abada Zengue Grégoire (chef 2e degré)
Fils de sa majesté Zengue Medjo Joseph
Petit-fils de sa majesté Medjo me Zengue
Arrière petit-fils de sa majesté Zengue Bilounga / Zengue
Arrière arrière petit-fils de Zengue Abada
On y associe également les groupements suivants :
5. Maka Nord
(chef lieu : Nkpwanze)
Un ensemble de 4 villages
Sa majesté Nda Wola Raymond (chef 2e degré)
6. Omvang
(chef lieu Mbeka’a)
Un ensemble de 17 villages
Sa majesté Ngoa Ze Jean Blaise (chef 2e degré)
À suivre
Son altesse royale,
Andrea Nde Dang Bengondo Mekoula Messanga