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Alain Web-creator
Par Céline Steyer :
« A 2 ans, elle est placée en famille d’accueil. La cause : ses parents sont accros à l'alcool et la drogue. A 27 ans, elle vient de remporter 3 médailles d’or aux Jeux de Paris 2024.

Elle, c’est Simone Biles. La gymnaste la plus titrée de tous les temps.
Une légende.
Une icone.

Et j’ai raconté son histoire sur Nouvelles Héroïnes・Podcast : https://lnkd.in/enkxuXDA

Mais pour conquérir plus de 40 médailles, tout ne s’est pas fait
❌ Sans secrets
❌ Sans sacrifices
❌ Sans souffrances
❌ Sans insultes racistes

A 5 ans, elle est adoptée par son grand-père maternel.
A 6 ans, sa mère adoptive l’emmène au gymnase du quartier.
C’est le début de sa grande histoire.

6 ans, c’est déjà trop tard pour commencer la gymnastique.

Mais Simone déjoue les lois de l’apesanteur.
Elle a le niveau d’une gymnaste du double de son âge.

A 14 ans, Simone est déjà considérée comme la meilleure gymnaste américaine de sa génération.
La coach Marta Karolyi veut en faire une CHAMPIONNE OLYMPIQUE.

Les autres filles sont jalouses et ne s’en cachent pas derrière la poutre.
A défaut de s'attaquer sur ses prouesses phénoménales, elles se moquent de sa taille : ''1m42. ''

« Tu resteras toujours une naine »

Elle leur répond : « Tu trouves que je suis trop petite ? Je suis née comme ça pour pouvoir te battre »

Elle renonce au collège, à voir ses amies et à avoir une vie normale comme tous les autres ados.
Sans avoir la certitude de pouvoir gagner cette médaille d’or.

Et puis, viennent les insultes racistes lors des compétitions.

« Nous devrions peindre notre peau en noir pour gagner »

Et les doutes sur la poutre.
Elle consulte un psychologue et fait de la thérapie le meilleur allié de sa carrière.

A 18 ans, elle possède 14 médailles dont 10 dorées.

Aux Jeux de Rio, elle est sacrée championne olympique.

Mais l’histoire de Simone n’est pas qu’une succession de médailles, de victoires et de sacrifices.
A 20 ans, elle révèle avoir été victime d’attouchements du médecin de la fédération.

A 23 ans aux Jeux de Tokyo, elle déclare forfait après l’épreuve de concours général.
La pression est trop forte.
Pour le meilleur et pas pour le pire.

En écrivant l’histoire de #Simone_Biles ,
- j’ai pleuré
- je me suis révoltée
- j’ai compris que la santé mentale des sportives était encore un tabou.
Les JO une machine à broyer. �
Son histoire est intense, joyeuse, triste et d’utilité publique.»
2 mois depuis

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