5 mois depuis
#NPI Née aux États-Unis de parents camerounais, Clervie Ngounoue, âgée de seulement 16 ans, vient de marquer l'histoire du tennis en remportant le titre junior en simple féminin à Wimbledon le 16 juillet dernier.
Représentant l'émergence d'une nouvelle étoile dans ce sport, elle avait déjà deux titres de championne du Grand Chelem en double chez les filles à son actif. En effet, après avoir triomphé à l'Open d'Australie en 2022 et à Roland Garros plus tôt cette année, sa victoire récente à Wimbledon renforce son statut de jeune talent exceptionnel. Elle a démontré sa maîtrise en battant la joueuse tchèque Nikola Bartůňková 6-2, 6-2.
Formée au sein de la Metropolitan Tennis and Education Group USTA Foundation NJTL chapter à Silver Spring et de l'USTA Foundation Excellence Team, Clervie Ngounoue occupe actuellement la cinquième place au classement mondial junior, après avoir été en tête il y a quelques mois.
Les entraîneurs de Clervie Ngounoue, tout comme sa famille, jouent un rôle crucial dans son développement. Ils soulignent ses qualités athlétiques exceptionnelles et son esprit de compétition aigu. Ce qui distingue particulièrement Clervie Ngounoue, c'est sa résilience mentale et sa capacité à rester concentrée même dans les moments les plus stressants. Les experts du tennis louent également son adaptabilité à différentes surfaces, faisant d'elle une adversaire redoutable sur tous les types de terrains.
Représentant l'émergence d'une nouvelle étoile dans ce sport, elle avait déjà deux titres de championne du Grand Chelem en double chez les filles à son actif. En effet, après avoir triomphé à l'Open d'Australie en 2022 et à Roland Garros plus tôt cette année, sa victoire récente à Wimbledon renforce son statut de jeune talent exceptionnel. Elle a démontré sa maîtrise en battant la joueuse tchèque Nikola Bartůňková 6-2, 6-2.
Formée au sein de la Metropolitan Tennis and Education Group USTA Foundation NJTL chapter à Silver Spring et de l'USTA Foundation Excellence Team, Clervie Ngounoue occupe actuellement la cinquième place au classement mondial junior, après avoir été en tête il y a quelques mois.
Les entraîneurs de Clervie Ngounoue, tout comme sa famille, jouent un rôle crucial dans son développement. Ils soulignent ses qualités athlétiques exceptionnelles et son esprit de compétition aigu. Ce qui distingue particulièrement Clervie Ngounoue, c'est sa résilience mentale et sa capacité à rester concentrée même dans les moments les plus stressants. Les experts du tennis louent également son adaptabilité à différentes surfaces, faisant d'elle une adversaire redoutable sur tous les types de terrains.
5 mois depuis
LES BASSAA DE LA RÉGION DE L’OUEST DU CAMEROUN 🇨🇲
Piqué sur le mur de Massoda Ma-Nlep
Contrairement à l’opinion la plus répandue, la Région de l’Ouest du Cameroun n’est pas peuplée que de « Bandobo » ( communément appelés « Bamilékés ») et de Bamouns.
S’il est généralement admis que les Bamouns constituent un groupe ethnique ayant une même origine, les recherches menées en anthropologie et ethnologie et en histoire ont établi que les Bamilékés ont des origines diverses.
Dans son ouvrage (intitulé Les problèmes de l’anthropologie et de l’histoire africaines paru en 1982 aux éditions CLE à Yaoundé, collection Etudes et Documents Africains), l’anthropologue et ethnologue Prince Dika-Akwa nya Bonambela soutient: « Quelle que soit son importance, l’unité linguistique et culturelle ne signifie cependant pas que les peuples concernés partagent automatiquement une parenté généalogique.
Les Bamilékés de l’Ouest Cameroun parlent des idiomes, dialectes et langues tellement semblables que du point de vue de l´histoire de la culture, ils constituent une unité indiscutable. Pourtant, du point de vue de la généalogie, ces Bamilékés représentent une mosaïque de peuples d’origines diverses; Ndobo en tête, Tikar, Bassa, Sow [mpoo-bassaa], Baya, Ngala-Dwala, etc.
Culturellement, les groupes ont façonné et trouvé leur "homogénéité". Celle-ci indique surtout, compte tenu de leur localisation, qu´ils appartiennent à un même peuple résidentiel et non à un peuple racial » ( Prince Dika-Akwa 1982: 136). Même l´ethnologue Jean-Claude Barbier avait attiré l’attention — dans le cadre d’un colloque international du C.N.R.S. ( du 24 au 28 septembre 1973) — sur l´ « hétérogénéité du peuplement » du « plateau bamiléké » (Jean-Claude Barbier, Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké, Colloques Internationaux du C.N.R.S., N° 551, Contribution de la recherche ethnologique à l´histoire des civilisations du Cameroun, 331-353, colloque du 24-28 septembre 1973, volume 2 publié par Claude Tardits, ici page 332). Ceci n´est guère surprenant, étant donné qu´il est de notoriété publique que les populations du département du Haut-Nkam, dont Bafang est le chef-lieu, sont originaires de Ngok-Lituba, partant du pays bassaa (encore appelé « Belle-Contrée » ou « Niceland » en anglais). L´anthropologue et ethnologue Dika-Akwa écrivait en 1982, dans son ouvrage mentionné ci-dessus, que les Bassaa furent les premiers occupants de toute la région de l´Ouest Cameroun et que les Bana sont essentiellement Bassaa et Mpoo-Bassaa ( Bakoko): » […] la puissante ethnarchie de Bana renferme plusieurs quartiers dont le plus important et le plus central porte le nom de Bassa; l´analyse d´autres données anthropologiques révèle que non seulement tout l´Ouest, l´actuel pays bamiléké, était appelé M’bassa avant l´occupation des Néo-Nubiens, les Ndobo en l´occurence, mais encore il subsiste comme au coeur de Bana des groupuscules complètement assimilés dont les généalogies ramènent en droite ligne en pays Bassa, plus au sud. Grâce à la toponymie, on sait que l´implantation bassa est antérieure à celles des Ndobo [Bamilékés, Néo-Soudanais], Tikar, Ngala et Mandjara dans l´Ouest » (Prince Dika-Akwa 1982:83). L´historien Emmanuel Konde étaye aussi, dans son ouvrage intitulé Bassa Antiquity in Contemporary Limbe,publié en 2010, la thèse selon laquelle les Bana sont d´origine bassaa.
Chutes d´eau sur le fleuve Nkam, près de Bafang (chef-lieu du département du Haut-Nkam). « Nkam » est un nom bassaa. Si les Bana sont d´origine bassaa (au sens restreint du terme ou du mot) et mpoo-bassa, on doit tout de même préciser qu´en « tant que tribu raciale, la dynastie de la puissante chefferie Bana et les lignages dérivés descendent d´un certain Toko, Tenke en féfé-bamiléké, devenu Tchenko. Alors qu´un fils de Toko, du nom de Njee, disent les traditions Mbang [mpoo-bassaa] de Nkondjok, devait fonder Bana et y établir le siège d´une préfecture de l´arbre de vie (Likonge) rayonnant à partir de la côte, son frère Siam alla fonder la tribu et la chefferie de Bakassa. A y voir de près Nje[e] Likonge aurait donné Nzeutcheukongue conservé comme nom du fils (Bana) de Tchenko; quant à Syam, il reste un nom typiquement Sow [mpoo-bassaa] » (Prince Dika-Akwa 1982: 113). Dans l´article (Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké) de l ´ethnologue Jean-Claude Barbier, ce dernier souligne:
« a. Les généalogies des dynasties régnantes ne renseignent que très approximativement sur l’histoire du peuplement du plateau bamiléké. D’autres groupes pouvaient être installés depuis longtemps avant l‘arrivée du fondateur, lui-même n’étant souvent qu’un individu isolé sans poids démographique. Par exemple, l’arrivée du chasseur Nzǝ tʃokōŋgwe dont les trois fils fondèrent les chefferies Bakassa, Bandoumkassa et Bana, peut être située vers le milieu du XVIIe siècle; or, l‘étude des généalogies des chefs locaux antérieurs à cette immigration et qui ont été conquis, repousse la date du peuplement de la région au début du XVIe siècle (7)./ b.
#Twitbook24 vous invite à lire la suite en commentaire 👇👇
Piqué sur le mur de Massoda Ma-Nlep
Contrairement à l’opinion la plus répandue, la Région de l’Ouest du Cameroun n’est pas peuplée que de « Bandobo » ( communément appelés « Bamilékés ») et de Bamouns.
S’il est généralement admis que les Bamouns constituent un groupe ethnique ayant une même origine, les recherches menées en anthropologie et ethnologie et en histoire ont établi que les Bamilékés ont des origines diverses.
Dans son ouvrage (intitulé Les problèmes de l’anthropologie et de l’histoire africaines paru en 1982 aux éditions CLE à Yaoundé, collection Etudes et Documents Africains), l’anthropologue et ethnologue Prince Dika-Akwa nya Bonambela soutient: « Quelle que soit son importance, l’unité linguistique et culturelle ne signifie cependant pas que les peuples concernés partagent automatiquement une parenté généalogique.
Les Bamilékés de l’Ouest Cameroun parlent des idiomes, dialectes et langues tellement semblables que du point de vue de l´histoire de la culture, ils constituent une unité indiscutable. Pourtant, du point de vue de la généalogie, ces Bamilékés représentent une mosaïque de peuples d’origines diverses; Ndobo en tête, Tikar, Bassa, Sow [mpoo-bassaa], Baya, Ngala-Dwala, etc.
Culturellement, les groupes ont façonné et trouvé leur "homogénéité". Celle-ci indique surtout, compte tenu de leur localisation, qu´ils appartiennent à un même peuple résidentiel et non à un peuple racial » ( Prince Dika-Akwa 1982: 136). Même l´ethnologue Jean-Claude Barbier avait attiré l’attention — dans le cadre d’un colloque international du C.N.R.S. ( du 24 au 28 septembre 1973) — sur l´ « hétérogénéité du peuplement » du « plateau bamiléké » (Jean-Claude Barbier, Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké, Colloques Internationaux du C.N.R.S., N° 551, Contribution de la recherche ethnologique à l´histoire des civilisations du Cameroun, 331-353, colloque du 24-28 septembre 1973, volume 2 publié par Claude Tardits, ici page 332). Ceci n´est guère surprenant, étant donné qu´il est de notoriété publique que les populations du département du Haut-Nkam, dont Bafang est le chef-lieu, sont originaires de Ngok-Lituba, partant du pays bassaa (encore appelé « Belle-Contrée » ou « Niceland » en anglais). L´anthropologue et ethnologue Dika-Akwa écrivait en 1982, dans son ouvrage mentionné ci-dessus, que les Bassaa furent les premiers occupants de toute la région de l´Ouest Cameroun et que les Bana sont essentiellement Bassaa et Mpoo-Bassaa ( Bakoko): » […] la puissante ethnarchie de Bana renferme plusieurs quartiers dont le plus important et le plus central porte le nom de Bassa; l´analyse d´autres données anthropologiques révèle que non seulement tout l´Ouest, l´actuel pays bamiléké, était appelé M’bassa avant l´occupation des Néo-Nubiens, les Ndobo en l´occurence, mais encore il subsiste comme au coeur de Bana des groupuscules complètement assimilés dont les généalogies ramènent en droite ligne en pays Bassa, plus au sud. Grâce à la toponymie, on sait que l´implantation bassa est antérieure à celles des Ndobo [Bamilékés, Néo-Soudanais], Tikar, Ngala et Mandjara dans l´Ouest » (Prince Dika-Akwa 1982:83). L´historien Emmanuel Konde étaye aussi, dans son ouvrage intitulé Bassa Antiquity in Contemporary Limbe,publié en 2010, la thèse selon laquelle les Bana sont d´origine bassaa.
Chutes d´eau sur le fleuve Nkam, près de Bafang (chef-lieu du département du Haut-Nkam). « Nkam » est un nom bassaa. Si les Bana sont d´origine bassaa (au sens restreint du terme ou du mot) et mpoo-bassa, on doit tout de même préciser qu´en « tant que tribu raciale, la dynastie de la puissante chefferie Bana et les lignages dérivés descendent d´un certain Toko, Tenke en féfé-bamiléké, devenu Tchenko. Alors qu´un fils de Toko, du nom de Njee, disent les traditions Mbang [mpoo-bassaa] de Nkondjok, devait fonder Bana et y établir le siège d´une préfecture de l´arbre de vie (Likonge) rayonnant à partir de la côte, son frère Siam alla fonder la tribu et la chefferie de Bakassa. A y voir de près Nje[e] Likonge aurait donné Nzeutcheukongue conservé comme nom du fils (Bana) de Tchenko; quant à Syam, il reste un nom typiquement Sow [mpoo-bassaa] » (Prince Dika-Akwa 1982: 113). Dans l´article (Le peuplement de la partie méridionale du pays bamiléké) de l ´ethnologue Jean-Claude Barbier, ce dernier souligne:
« a. Les généalogies des dynasties régnantes ne renseignent que très approximativement sur l’histoire du peuplement du plateau bamiléké. D’autres groupes pouvaient être installés depuis longtemps avant l‘arrivée du fondateur, lui-même n’étant souvent qu’un individu isolé sans poids démographique. Par exemple, l’arrivée du chasseur Nzǝ tʃokōŋgwe dont les trois fils fondèrent les chefferies Bakassa, Bandoumkassa et Bana, peut être située vers le milieu du XVIIe siècle; or, l‘étude des généalogies des chefs locaux antérieurs à cette immigration et qui ont été conquis, repousse la date du peuplement de la région au début du XVIe siècle (7)./ b.
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6 mois depuis
🔴 Lettre Ouverte de NDA CHI à ses Chers Fans
Peh liah loh ? 👋🏽☺️🥇 Pe Men Shí,
Aujourd’hui, je m’adresse à vous avec un cœur empli de gratitude et d’enthousiasme. La sortie imminente de notre chanson “Yayato” est un moment que je chéris profondément. C’est bien plus qu’une simple mélodie ; c’est un lien sacré entre nous, une danse d’âmes qui transcende les frontières et les différences.
Dans le rythme vibrant de “Yayato,” je trouve l’écho de nos ancêtres, de ces esprits qui dansent encore sous le ciel infini. Ils nous ont légué la joie, la fraternité, et la force de la communauté. Et aujourd’hui, nous célébrons cela ensemble.
Notre musique est un pont entre hier et demain. Elle porte en elle les paroles significatives, les mélodies captivantes, et les influences culturelles qui nous unissent. Elle est le souffle du vent, le feu purificateur, la lumière de l’aurore. Elle est “Yayato.”
Je vous invite à vous installer confortablement dans cette harmonie. Que les tambours appellent à la vie, que les étoiles guident vos pas. Que nos pas racontent notre histoire, que nos chants résonnent de gaieté. Car “Yayato” est bien plus qu’une chanson ; c’est notre hymne à la vie, notre ode à l’unité.
Alors, mes chers amis, partageons ce moment. Dansez avec moi, réfléchissez avec moi, célébrez avec moi. Que nos cœurs battent au rythme de “Yayato.” Et que cette musique, comme un feu sacré, illumine nos vies et nos âmes.
Merci d’être là, merci d’être vous. Ensemble, nous écrivons l’histoire, nous tissons les fils de la fraternité. Et demain, quand le soleil se lèvera, nous serons là, dans la lumière de la communauté.
Avec tout mon amour,🎶❤️
Nda Chi , l’artiste qui relie les mondes
Seulement Dieu , Seulement la musique
Pic by Vision Stobon 7 🤲🏽🤲🏽🤲🏽🤲🏽
#NdaChi #YayatoVibes
#lessagroove #SoulfulSounds
#AfricanUnity
Peh liah loh ? 👋🏽☺️🥇 Pe Men Shí,
Aujourd’hui, je m’adresse à vous avec un cœur empli de gratitude et d’enthousiasme. La sortie imminente de notre chanson “Yayato” est un moment que je chéris profondément. C’est bien plus qu’une simple mélodie ; c’est un lien sacré entre nous, une danse d’âmes qui transcende les frontières et les différences.
Dans le rythme vibrant de “Yayato,” je trouve l’écho de nos ancêtres, de ces esprits qui dansent encore sous le ciel infini. Ils nous ont légué la joie, la fraternité, et la force de la communauté. Et aujourd’hui, nous célébrons cela ensemble.
Notre musique est un pont entre hier et demain. Elle porte en elle les paroles significatives, les mélodies captivantes, et les influences culturelles qui nous unissent. Elle est le souffle du vent, le feu purificateur, la lumière de l’aurore. Elle est “Yayato.”
Je vous invite à vous installer confortablement dans cette harmonie. Que les tambours appellent à la vie, que les étoiles guident vos pas. Que nos pas racontent notre histoire, que nos chants résonnent de gaieté. Car “Yayato” est bien plus qu’une chanson ; c’est notre hymne à la vie, notre ode à l’unité.
Alors, mes chers amis, partageons ce moment. Dansez avec moi, réfléchissez avec moi, célébrez avec moi. Que nos cœurs battent au rythme de “Yayato.” Et que cette musique, comme un feu sacré, illumine nos vies et nos âmes.
Merci d’être là, merci d’être vous. Ensemble, nous écrivons l’histoire, nous tissons les fils de la fraternité. Et demain, quand le soleil se lèvera, nous serons là, dans la lumière de la communauté.
Avec tout mon amour,🎶❤️
Nda Chi , l’artiste qui relie les mondes
Seulement Dieu , Seulement la musique
Pic by Vision Stobon 7 🤲🏽🤲🏽🤲🏽🤲🏽
#NdaChi #YayatoVibes
#lessagroove #SoulfulSounds
#AfricanUnity
9 mois depuis
La loi c'est la loi...un légaliste ne saurait manquer de cohérence. Bravo la #Fecafoot_Officiel !!!
Monsieur le Professeur #Narcisse_Mouelle_Kombi c'est vous qui enseignez le droit, venez nous expliquer comment on arrive à prendre des décisions qui remette en question un décret présidentiel. 🤫
Pire encore, expliquez nous comment vous arriverez à associer le President #Paul_Biya dans une violation des textes que lui-même a engagé son homme honneur devant l'Assemblée nationale et le peuple ?
Monsieur le Professeur #Narcisse_Mouelle_Kombi c'est vous qui enseignez le droit, venez nous expliquer comment on arrive à prendre des décisions qui remette en question un décret présidentiel. 🤫
Pire encore, expliquez nous comment vous arriverez à associer le President #Paul_Biya dans une violation des textes que lui-même a engagé son homme honneur devant l'Assemblée nationale et le peuple ?