Le journaliste Frédéric Fenkam organise une dédicace du livre les révélations de Jean Fochivé ce jeudi 16 mai à Douala
Le livre relate la vie de Jean Fochivé, chef de la police politique camerounaise sous Ahidjo et Biya. Ce livre qui fut pendant des années en rupture de stocks révèle des secrets d’Etat hautement gardés.
Seule la prononciation de son nom faisait perdre le sommeil à plus d'un. C'est l'histoire du policier le plus craint de l'Histoire du Cameroun. Il avait les yeux et les oreilles partout. Il a dirigé les services du renseignement camerounais ; le CENER.
En tant que directeur de la sécurité présidentielle, il était à la tête de la garde républicaine avec poste de commandement militaire à la présidence.
Pur produit des services secrets français, il était leur correspondant au Cameroun.
Il est l’un des plus impitoyables artisans de la politique de répression des présidents Ahmadou Ahidjo et Paul Biya. Il n’hésitait pas à utiliser la torture.
En période de crise sociale, les deux présidents Ahidjo et Biya ont toujours fait appel à ses services pour ramener l'ordre et la sécurité avec un certain succès. On lui attribuait des pouvoirs mystiques. Fochivé était surnommé le Lion.
Jean Fochivé, le tout puissant patron de la police politique du Cameroun disparaît le 15 avril 1997. Des événements inexplicables et des scènes surréalistes se sont produits le jour de son enterrement.
Dans l'imaginaire collectif camerounais, le nom de cet homme évoquera à jamais les épisodes les plus tragiques de l'histoire politique du Cameroun indépendant.
Le livre relate la vie de Jean Fochivé, chef de la police politique camerounaise sous Ahidjo et Biya. Ce livre qui fut pendant des années en rupture de stocks révèle des secrets d’Etat hautement gardés.
Seule la prononciation de son nom faisait perdre le sommeil à plus d'un. C'est l'histoire du policier le plus craint de l'Histoire du Cameroun. Il avait les yeux et les oreilles partout. Il a dirigé les services du renseignement camerounais ; le CENER.
En tant que directeur de la sécurité présidentielle, il était à la tête de la garde républicaine avec poste de commandement militaire à la présidence.
Pur produit des services secrets français, il était leur correspondant au Cameroun.
Il est l’un des plus impitoyables artisans de la politique de répression des présidents Ahmadou Ahidjo et Paul Biya. Il n’hésitait pas à utiliser la torture.
En période de crise sociale, les deux présidents Ahidjo et Biya ont toujours fait appel à ses services pour ramener l'ordre et la sécurité avec un certain succès. On lui attribuait des pouvoirs mystiques. Fochivé était surnommé le Lion.
Jean Fochivé, le tout puissant patron de la police politique du Cameroun disparaît le 15 avril 1997. Des événements inexplicables et des scènes surréalistes se sont produits le jour de son enterrement.
Dans l'imaginaire collectif camerounais, le nom de cet homme évoquera à jamais les épisodes les plus tragiques de l'histoire politique du Cameroun indépendant.
7 mois depuis