6 mois depuis
BOKAR BIRO
Le dernier grand almamy du Fouta Djallon
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Le dernier grand almamy du Fouta Djallon
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7 mois depuis
Calixthe Beyala est née à Douala (Cameroun) en 1961. Après avoir suivi des études à l’école polytechnique de Douala, elle émigre à Paris à l’âge de dix-sept ans, où elle continue ses études de Littérature.
À vingt ans, elle débute sa carrière d’écrivain avec la publication de son premier roman C’est le soleil qui m’a brûlée (1987). En 1993, elle reçoit le Grand Prix Littéraire de l’Afrique Noire pour son œuvre Maman a un amant et en 1997 le Grand Prix du roman de l’Académie française pour Les honneurs perdus. Avec Femme nue, femme noire (2003), elle devient l’une des premières auteures africaines à écrire des romans érotiques.
Elle passe la moitié de l’année au Cameroun, où elle travaille à l’amélioration des conditions de vie de ses compatriotes, et l’autre moitié en France. L’écrivaine camerounaise est en outre connue pour sa lutte en faveur des droits de la femme et des minorités.
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À vingt ans, elle débute sa carrière d’écrivain avec la publication de son premier roman C’est le soleil qui m’a brûlée (1987). En 1993, elle reçoit le Grand Prix Littéraire de l’Afrique Noire pour son œuvre Maman a un amant et en 1997 le Grand Prix du roman de l’Académie française pour Les honneurs perdus. Avec Femme nue, femme noire (2003), elle devient l’une des premières auteures africaines à écrire des romans érotiques.
Elle passe la moitié de l’année au Cameroun, où elle travaille à l’amélioration des conditions de vie de ses compatriotes, et l’autre moitié en France. L’écrivaine camerounaise est en outre connue pour sa lutte en faveur des droits de la femme et des minorités.
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