6 mois depuis
En 1980, un homme nommé Richard a allumé sa télévision et a vu une joueuse de tennis de Roumanie recevoir un chèque de 40 000 dollars après avoir gagné un tournoi. Cette scène a suffi à choquer Richard. C'était plus que son salaire annuel.
Quelques années plus tard, il décida que ses filles joueraient également au tennis.
Après avoir éteint la télévision, il s'est assis et a rédigé un document de 78 pages détaillant un plan pour que ses deux jeunes filles quittent leur ville natale de Compton, en Californie, une zone connue pour la violence des gangs noirs notoires. Il y avait aussi un problème : Richard ne savait rien du tennis, il n'avait pas l'argent pour payer l'entraînement de ses filles à ce sport coûteux, et peut-être que vous trouvez incroyable que ses filles n'étaient même pas encore nées à cette époque.
Au cours des cinq années suivantes, il a collectionné des magazines et des cassettes vidéo liés au tennis. Il a également appris à jouer au tennis par lui-même. Cinq ans plus tard, selon son plan, Richard avait mis une raquette de tennis dans les mains de ses deux filles, avec les mêmes magazines et vidéos et ce qu'il avait appris d'eux. Tout s'est arrêté, maintenant il était aussi le père et l'entraîneur de ces petites filles, il a commencé à leur enseigner le jeu du tennis. N'ayant pas les moyens de se payer le nécessaire pour jouer, Richard allait dans les clubs de campagne locaux pour collecter des balles de tennis usagées dans des bacs et les charger dans un chariot pour que ses filles puissent s'entraîner avec ces balles usagées sur des courts de tennis publics.
Richard était un père surprotecteur et physiquement fort, et était souvent battu par les brutes des gangs locaux en essayant de protéger ses filles du harcèlement pendant l'entraînement au tennis. Lors d'une occasion où il a refusé de quitter le court d'entraînement avec ses filles, ils lui ont cassé le nez, la mâchoire et les doigts, et lui ont arraché plusieurs dents. Richard a écrit dans son journal : "Après aujourd'hui, l'histoire se souviendra de l'homme 'sans dents' comme d'un monument de courage.
Comme le tennis était à l'époque un sport majoritairement blanc, les gens fixaient et criaient sur la famille noire alors que Richard et ses filles se rendaient sur divers courts de tennis pour des tournois juniors. Une fois, les filles ont demandé : "Papa, pourquoi les gens nous regardent-ils si mal", à quoi il a répondu : "Parce qu'ils n'ont pas l'habitude de voir des gens aussi beaux avant.
La roue du temps a tourné rapidement et la page du calendrier s'est tournée brusquement vers l'an 2000, quand une grande fille noire mince s'est lancée dans un voyage pour jouer la finale du tournoi de Wimbledon, et à des milliers de kilomètres de son ghetto natal, Richard regardait sa fille aînée jouer sur les terrains en herbe devant l'élite londonienne, les célébrités et la royauté.
C'était l'époque où personne n'avait jamais vu une joueuse de tennis avec un service aussi puissant et un jeu de jambes aussi rapide, ni entendu des coups aussi forts. C'est comme si chaque balle était battue et chaque balle criait de douleur.
Lorsque la fille a atteint un stade où la victoire était devant la peur, elle a regardé son père debout dans les gradins qui l'encourageait à remporter la victoire en criant fort. Richard disait toujours à ses filles : "Un jour, nous allons gagner Wimbledon, et ce ne sera pas pour nous. Ce sera pour les personnes sans défense et pauvres de l'Amérique. Le plan de lutte de Richard, long de 20 ans, avait maintenant atteint un point critique de l'histoire.
Lorsque la balle de l'adversaire a touché le filet, les caméras ont capturé un Richard les yeux larmoyants dansant follement en regardant sa fille Venus Williams remporter le premier de ses sept titres du Grand Chelem. Au cours des années suivantes, Richard a également vu sa plus jeune fille Serena remporter 23 tournois majeurs et devenir l'une des plus grandes joueuses de tennis de tous les temps.
Pour tout leur succès sur le court de tennis, ce que Venus et Serena ont enduré en dehors du court est la partie la plus impressionnante de leur parcours. Des spectateurs, qui ont reçu le surnom de "Frères Williams" à cause de leur physique, aux commentaires récents dans les médias appelant la fille métisse de Serena "lait au chocolat", la personnalité résiliente et aimable des deux sœurs les a aidées à faire face au racisme et à la bigoterie, a déclaré leur père. « La meilleure façon de se venger est de répondre avec sa raquette à l'intérieur du court de tennis, cette lutte inspirante de ces deux sœurs a inspiré les personnes noires et les athlètes du monde entier »
Rappelez-vous qu'une personne seule qui n'a personne au monde sauf Dieu, quand elle seule a une ferme intention d'atteindre un objectif, alors la volonté de Dieu s'ajoute aussi à cette seule, ce qui rend l'impossible possible, il suffit juste de choisir votre objectif, puis renforcer votre résolution, et ensuite faire confiance en Dieu et faire tous les efforts pour l'atteindre, alors vous atteindrez cette destination, et vous saurez ce jour-là qu'après chaque difficulté, il y a une facilité qui nous est cachée.
Suivez ➡️ Twitbook24 , le #Twitter #MadeinAfrica 🇨🇲
#Ténnis #motivation #SerenaWilliams #VenusWilliams
Quelques années plus tard, il décida que ses filles joueraient également au tennis.
Après avoir éteint la télévision, il s'est assis et a rédigé un document de 78 pages détaillant un plan pour que ses deux jeunes filles quittent leur ville natale de Compton, en Californie, une zone connue pour la violence des gangs noirs notoires. Il y avait aussi un problème : Richard ne savait rien du tennis, il n'avait pas l'argent pour payer l'entraînement de ses filles à ce sport coûteux, et peut-être que vous trouvez incroyable que ses filles n'étaient même pas encore nées à cette époque.
Au cours des cinq années suivantes, il a collectionné des magazines et des cassettes vidéo liés au tennis. Il a également appris à jouer au tennis par lui-même. Cinq ans plus tard, selon son plan, Richard avait mis une raquette de tennis dans les mains de ses deux filles, avec les mêmes magazines et vidéos et ce qu'il avait appris d'eux. Tout s'est arrêté, maintenant il était aussi le père et l'entraîneur de ces petites filles, il a commencé à leur enseigner le jeu du tennis. N'ayant pas les moyens de se payer le nécessaire pour jouer, Richard allait dans les clubs de campagne locaux pour collecter des balles de tennis usagées dans des bacs et les charger dans un chariot pour que ses filles puissent s'entraîner avec ces balles usagées sur des courts de tennis publics.
Richard était un père surprotecteur et physiquement fort, et était souvent battu par les brutes des gangs locaux en essayant de protéger ses filles du harcèlement pendant l'entraînement au tennis. Lors d'une occasion où il a refusé de quitter le court d'entraînement avec ses filles, ils lui ont cassé le nez, la mâchoire et les doigts, et lui ont arraché plusieurs dents. Richard a écrit dans son journal : "Après aujourd'hui, l'histoire se souviendra de l'homme 'sans dents' comme d'un monument de courage.
Comme le tennis était à l'époque un sport majoritairement blanc, les gens fixaient et criaient sur la famille noire alors que Richard et ses filles se rendaient sur divers courts de tennis pour des tournois juniors. Une fois, les filles ont demandé : "Papa, pourquoi les gens nous regardent-ils si mal", à quoi il a répondu : "Parce qu'ils n'ont pas l'habitude de voir des gens aussi beaux avant.
La roue du temps a tourné rapidement et la page du calendrier s'est tournée brusquement vers l'an 2000, quand une grande fille noire mince s'est lancée dans un voyage pour jouer la finale du tournoi de Wimbledon, et à des milliers de kilomètres de son ghetto natal, Richard regardait sa fille aînée jouer sur les terrains en herbe devant l'élite londonienne, les célébrités et la royauté.
C'était l'époque où personne n'avait jamais vu une joueuse de tennis avec un service aussi puissant et un jeu de jambes aussi rapide, ni entendu des coups aussi forts. C'est comme si chaque balle était battue et chaque balle criait de douleur.
Lorsque la fille a atteint un stade où la victoire était devant la peur, elle a regardé son père debout dans les gradins qui l'encourageait à remporter la victoire en criant fort. Richard disait toujours à ses filles : "Un jour, nous allons gagner Wimbledon, et ce ne sera pas pour nous. Ce sera pour les personnes sans défense et pauvres de l'Amérique. Le plan de lutte de Richard, long de 20 ans, avait maintenant atteint un point critique de l'histoire.
Lorsque la balle de l'adversaire a touché le filet, les caméras ont capturé un Richard les yeux larmoyants dansant follement en regardant sa fille Venus Williams remporter le premier de ses sept titres du Grand Chelem. Au cours des années suivantes, Richard a également vu sa plus jeune fille Serena remporter 23 tournois majeurs et devenir l'une des plus grandes joueuses de tennis de tous les temps.
Pour tout leur succès sur le court de tennis, ce que Venus et Serena ont enduré en dehors du court est la partie la plus impressionnante de leur parcours. Des spectateurs, qui ont reçu le surnom de "Frères Williams" à cause de leur physique, aux commentaires récents dans les médias appelant la fille métisse de Serena "lait au chocolat", la personnalité résiliente et aimable des deux sœurs les a aidées à faire face au racisme et à la bigoterie, a déclaré leur père. « La meilleure façon de se venger est de répondre avec sa raquette à l'intérieur du court de tennis, cette lutte inspirante de ces deux sœurs a inspiré les personnes noires et les athlètes du monde entier »
Rappelez-vous qu'une personne seule qui n'a personne au monde sauf Dieu, quand elle seule a une ferme intention d'atteindre un objectif, alors la volonté de Dieu s'ajoute aussi à cette seule, ce qui rend l'impossible possible, il suffit juste de choisir votre objectif, puis renforcer votre résolution, et ensuite faire confiance en Dieu et faire tous les efforts pour l'atteindre, alors vous atteindrez cette destination, et vous saurez ce jour-là qu'après chaque difficulté, il y a une facilité qui nous est cachée.
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