5 mois depuis
🚨🏅🇨🇮 L'ivoirien Alex Yama est sacré CHAMPION INTERNATIONAL de KUNG-FU SHAOLIN 2024, lors de la compétition organisée au Temple Shaolin🥋 en Chine🇨🇳
6 mois depuis
Maître Gichin #Funakoshi est considéré comme le père fondateur du karaté moderne. Il a joué un rôle principal dans le développement et la diffusion des art martiaux Okinawan, au Japon et au travers du monde.
Le #karaté (空手道, karate-dō) est un art martial, dit japonais. Cependant, il est originaire du Royaume de Ryūkyū, un ancien royaume indépendant.
C'est FUNAKOSHI GICHIN, considéré comme le père du karaté moderne, qui en 1906 avec ses collègues, fit la première démonstration publique à Okinawa.
Histoire du Karaté – KTKGichin Funakoshi ( né le 10 novembre 1868 à Yamakawa, Shuri, préfecture d'Okinawa (îles Ryūkyū, Japon)
Les origines du karaté remontent au mythique moine Bodhidharma qui aurait fondé, au 6ème siècle, le monastère de Shaolin ou se serait développé le kung-fu.
Par contre le premier qui introduira le Karaté au Japon, sera un de ses élèves, Gichin Funakoshi qui fût envoyé au Japon.
À l'âge de 11 ans, il s'était déjà fait un nom dans le style d'art martial des îles Ryūkyū. Commençant sa formation avec le Maître Azato Anko, il ne mit pas longtemps à égaler son maître en habileté et à partager avec lui le sentiment d'être
"l'artiste martial le plus accompli" dans le domaine. Il apprit également le karate-jutsu (signifiant "l'art technique de la main vide") avec Maître Anko Itosu. Ses deux professeurs furent impressionnés par sa noblesse de caractère.
Comme au cours de ses années il a poursuivi sa formation et a continuellement développé ses remarquables qualités, Maître Funakoshi est devenu Chairman de la Okinawa Martial Arts Society et instructeur à l'école de professeurs d'Okinawa. En 1922, à l'âge de 54 ans, il présenta le karaté-jutsu d'Okinawa au premier ministère de l'Éducation (aujourd'hui ministère de l'Éducation, de la Science, des Sports et de la Culture). Cette présentation, la première démonstration publique du karaté-jutsu au Japon, eut un succès incroyable. Et l'artiste martial précédemment inconnu Funakoshi Gichin est, en un instant, devenu célèbre dans tout le monde des arts martiaux japonais.
Encouragé par l'opportunité de promouvoir l'art martial pour lequel il avait tant fait, Maître Funakoshi commence à l'enseigner plus tard au Meiseijuku de Tokyo, un dortoir pour les étudiants d'Okinawa. En 1922, il publie un livre intitulé "Karaté de Ryūkyū Kempo". C'était la première exposition formelle au Japon sur l'art du karaté-jutsu. Non seulement était-il frais et romancé, mais en plus il était admirablement bien écrit, et il créa immédiatement un engouement sans précédent pour le karaté. Il a cinquante-quatre ans lorsqu'à la demande du gouvernement japonais, il fait une démonstration de l'art de l'autodéfense. Cette date marqua l'entrée au grand jour du karaté-do, qui se répandit sur l'archipel nippon puis, après la Seconde Guerre mondiale, dans le monde.
Le #karaté (空手道, karate-dō) est un art martial, dit japonais. Cependant, il est originaire du Royaume de Ryūkyū, un ancien royaume indépendant.
C'est FUNAKOSHI GICHIN, considéré comme le père du karaté moderne, qui en 1906 avec ses collègues, fit la première démonstration publique à Okinawa.
Histoire du Karaté – KTKGichin Funakoshi ( né le 10 novembre 1868 à Yamakawa, Shuri, préfecture d'Okinawa (îles Ryūkyū, Japon)
Les origines du karaté remontent au mythique moine Bodhidharma qui aurait fondé, au 6ème siècle, le monastère de Shaolin ou se serait développé le kung-fu.
Par contre le premier qui introduira le Karaté au Japon, sera un de ses élèves, Gichin Funakoshi qui fût envoyé au Japon.
À l'âge de 11 ans, il s'était déjà fait un nom dans le style d'art martial des îles Ryūkyū. Commençant sa formation avec le Maître Azato Anko, il ne mit pas longtemps à égaler son maître en habileté et à partager avec lui le sentiment d'être
"l'artiste martial le plus accompli" dans le domaine. Il apprit également le karate-jutsu (signifiant "l'art technique de la main vide") avec Maître Anko Itosu. Ses deux professeurs furent impressionnés par sa noblesse de caractère.
Comme au cours de ses années il a poursuivi sa formation et a continuellement développé ses remarquables qualités, Maître Funakoshi est devenu Chairman de la Okinawa Martial Arts Society et instructeur à l'école de professeurs d'Okinawa. En 1922, à l'âge de 54 ans, il présenta le karaté-jutsu d'Okinawa au premier ministère de l'Éducation (aujourd'hui ministère de l'Éducation, de la Science, des Sports et de la Culture). Cette présentation, la première démonstration publique du karaté-jutsu au Japon, eut un succès incroyable. Et l'artiste martial précédemment inconnu Funakoshi Gichin est, en un instant, devenu célèbre dans tout le monde des arts martiaux japonais.
Encouragé par l'opportunité de promouvoir l'art martial pour lequel il avait tant fait, Maître Funakoshi commence à l'enseigner plus tard au Meiseijuku de Tokyo, un dortoir pour les étudiants d'Okinawa. En 1922, il publie un livre intitulé "Karaté de Ryūkyū Kempo". C'était la première exposition formelle au Japon sur l'art du karaté-jutsu. Non seulement était-il frais et romancé, mais en plus il était admirablement bien écrit, et il créa immédiatement un engouement sans précédent pour le karaté. Il a cinquante-quatre ans lorsqu'à la demande du gouvernement japonais, il fait une démonstration de l'art de l'autodéfense. Cette date marqua l'entrée au grand jour du karaté-do, qui se répandit sur l'archipel nippon puis, après la Seconde Guerre mondiale, dans le monde.
8 mois depuis
#Sport : Il y a des choses qui dépassent le naturel … 🥋🤼
🇨🇲 Maître Dominique Saatenang une valeur sûre.
Les chinois l'ont surnommé "aigle noir",les africains "le Bruce Lee africain", les européens "le chinois noir". L'histoire de maître Dominique Saatenang est une aventure hors norme, celle d'un camerounais 🇨🇲 parti un jour de son Bafou (ville situé à l'ouest Cameroun) natale pour la Chine bousculer l'ordre établi d'un art martial ancestral réservé aux asiatiques.Il est important de souligner qu'il est Double vice champion du monde de Kung-fu,Il est également le 1er africain moine du temple de Shaolin 👏
#Kungfu #Wushu , #Taichi , #Shaolin
🇨🇲 Maître Dominique Saatenang une valeur sûre.
Les chinois l'ont surnommé "aigle noir",les africains "le Bruce Lee africain", les européens "le chinois noir". L'histoire de maître Dominique Saatenang est une aventure hors norme, celle d'un camerounais 🇨🇲 parti un jour de son Bafou (ville situé à l'ouest Cameroun) natale pour la Chine bousculer l'ordre établi d'un art martial ancestral réservé aux asiatiques.Il est important de souligner qu'il est Double vice champion du monde de Kung-fu,Il est également le 1er africain moine du temple de Shaolin 👏
#Kungfu #Wushu , #Taichi , #Shaolin
9 mois depuis
Le continent 🇨🇲 toujours le continent et encore le continent.💪🏾
Maître Dominique Saatenang une valeur sûre.
Les chinois l'ont surnommé "aigle noir",les africains "le Bruce Lee africain", les européens "le chinois noir". L'histoire de maître Dominique Saatenang est une aventure hors norme, celle d'un camerounais 🇨🇲 parti un jour de son Bafou natale pour la Chine bousculer l'ordre établi d'un art martial ancestral réservé aux asiatiques.Il est important de souligner qu'il est Double vice champion du monde de Kung-fu,Il est également le 1er africain moine du temple de Shaolin 👏
#multi_sport le cyclone de l'info 💥
Maître Dominique Saatenang une valeur sûre.
Les chinois l'ont surnommé "aigle noir",les africains "le Bruce Lee africain", les européens "le chinois noir". L'histoire de maître Dominique Saatenang est une aventure hors norme, celle d'un camerounais 🇨🇲 parti un jour de son Bafou natale pour la Chine bousculer l'ordre établi d'un art martial ancestral réservé aux asiatiques.Il est important de souligner qu'il est Double vice champion du monde de Kung-fu,Il est également le 1er africain moine du temple de Shaolin 👏
#multi_sport le cyclone de l'info 💥
1 année depuis
#Focus du Camerounais Dominique Saatenang, le premier moine noir du temple de shaoling.
Grace à son amour des films de Bruce lee depuis tout petit dans son village natal Bafou que Dominique se retrouve en chine a l’âge de 24 ans où il intègre une école parmi des milliers et se contente de quelques cours.
Au bout de quelques semaines de stage, il rencontre le chef spirituel du temple, Shi Yongxin qui l’invite à venir passer six mois mais y est resté quatre ans. Ses années durant lesquelles il a appris le mandarin, la médecine traditionnelle et évidemment l’art du « wu shu », la boxe chinoise, plus connue sous le nom de kung-fu.
C’est ainsi que son nouveau nom de moine bouddhiste chinois devient « Shi Yan Ma » et surnommé le « Bruce Lee Africain »
Dans cette école de vie difficile au réveil à 4h30 suivi de huit longues heures d’entraînement intense ou l’abandon pointait le bout de son nez, dominique ne lâche pas malgré l’abandon de ses compagnons et devient ainsi le premier moine bouddhiste africain, le seul arbitre international étranger de kung-fu et, depuis 2011, l’ambassadeur itinérant du temple à l’étranger.
Il a ouvert plusieurs écoles de kung-fu notamment au Mali, au Gabon, au Sénégal, au Cameroun et en Côte d’Ivoire.
Une fierté pour l’Afrique 💪🏽✅
#UN .MEDIA
Grace à son amour des films de Bruce lee depuis tout petit dans son village natal Bafou que Dominique se retrouve en chine a l’âge de 24 ans où il intègre une école parmi des milliers et se contente de quelques cours.
Au bout de quelques semaines de stage, il rencontre le chef spirituel du temple, Shi Yongxin qui l’invite à venir passer six mois mais y est resté quatre ans. Ses années durant lesquelles il a appris le mandarin, la médecine traditionnelle et évidemment l’art du « wu shu », la boxe chinoise, plus connue sous le nom de kung-fu.
C’est ainsi que son nouveau nom de moine bouddhiste chinois devient « Shi Yan Ma » et surnommé le « Bruce Lee Africain »
Dans cette école de vie difficile au réveil à 4h30 suivi de huit longues heures d’entraînement intense ou l’abandon pointait le bout de son nez, dominique ne lâche pas malgré l’abandon de ses compagnons et devient ainsi le premier moine bouddhiste africain, le seul arbitre international étranger de kung-fu et, depuis 2011, l’ambassadeur itinérant du temple à l’étranger.
Il a ouvert plusieurs écoles de kung-fu notamment au Mali, au Gabon, au Sénégal, au Cameroun et en Côte d’Ivoire.
Une fierté pour l’Afrique 💪🏽✅
#UN .MEDIA