5 mois depuis
✈️ ESPACE TOURISME : CHEFFERIE BAMENDJOU✈️
#Bamendjou est un village situé dans les Hauts-plateaux de l'ouest Cameroun. Ce village est populaire grâce au charisme, le dynamisme et les prises de position de son roi SM Sokoudjou.
Né vers 1936,de son vrai non Chendjou Sokoudjou 2 Jean Rameau,ce jeune prince passa toute son enfance à Bikok dans la province du centre-sud à l'époque. A la mort de son père en 1953,il fut intronisé roi des Bamendjou.
Aujourd'hui c'est le monarque qui est au plus long règne sur cette terre à savoir 71ans
Le roi Sokoudjou est l'un des rares au Cameroun qui n'a pas de parti politique car pour lui un père qui a plusieurs enfants ne saurait s'aligner derrière un et abandonner les autres. C'est l'un des rois les plus influents du Cameroun
C'est un sportif et grand supporter du club mythique du chef -lieu de la région à savoir le Racing de Bafoussam allias TPO (Tout puissant de l'ouest)
Traditionaliste hors pair,il accompagne sa population à chaque fois que le festival (le Chepang)a lieu
Le charisme de ce grand roi l'a poussé à laisser des anecdotes que je citerai quelques uns.
Un roi du village voisin voulant faire les funérailles vint lui demander du plantain. Il acquiesça et lui donna rendez-vous la veille. Le jour dit,le roi voisin envoya ses serviteurs chercher les plantains promis mais ces derniers fut surpris de constater qu'au lieu des régimes c'est plutôt les rejetons que le roi avait chercher. Il demanda aux serviteurs de son homologue de dire à leur roi de planter d'abord les rejetons pour ne plus quémander alors qu'il a beaucoup de terres
A une cérémonie à Foumban,les administrateurs civils firent la révérence au Sultan Bamoun mais vinrent tendre la main à SM #Sokoudjou , celui-ci ne broncha pas et attrapa fermement sa canne ce qui humilia ceux-ci
C'est l'un des rares rois qui sert les clients dans son bar ou tourne le béton dans son chantier car SM Sokoudjou est à la chefferie et hors de la chefferie c'est un citoyen ordinaire nommé Sokoudjou
Tout dernièrement un digne fils de la région lui offra un véhicule mais envoya son chauffeur SM Sokoudjou renvoya les deux en disant s'il est mon fils qu'il vienne lui même m'offrir ce cadeau et il recevra les bénédictions du père.
Par notre Guide Touristique Blaise Fotso
Fussep ma terre
#Bamendjou est un village situé dans les Hauts-plateaux de l'ouest Cameroun. Ce village est populaire grâce au charisme, le dynamisme et les prises de position de son roi SM Sokoudjou.
Né vers 1936,de son vrai non Chendjou Sokoudjou 2 Jean Rameau,ce jeune prince passa toute son enfance à Bikok dans la province du centre-sud à l'époque. A la mort de son père en 1953,il fut intronisé roi des Bamendjou.
Aujourd'hui c'est le monarque qui est au plus long règne sur cette terre à savoir 71ans
Le roi Sokoudjou est l'un des rares au Cameroun qui n'a pas de parti politique car pour lui un père qui a plusieurs enfants ne saurait s'aligner derrière un et abandonner les autres. C'est l'un des rois les plus influents du Cameroun
C'est un sportif et grand supporter du club mythique du chef -lieu de la région à savoir le Racing de Bafoussam allias TPO (Tout puissant de l'ouest)
Traditionaliste hors pair,il accompagne sa population à chaque fois que le festival (le Chepang)a lieu
Le charisme de ce grand roi l'a poussé à laisser des anecdotes que je citerai quelques uns.
Un roi du village voisin voulant faire les funérailles vint lui demander du plantain. Il acquiesça et lui donna rendez-vous la veille. Le jour dit,le roi voisin envoya ses serviteurs chercher les plantains promis mais ces derniers fut surpris de constater qu'au lieu des régimes c'est plutôt les rejetons que le roi avait chercher. Il demanda aux serviteurs de son homologue de dire à leur roi de planter d'abord les rejetons pour ne plus quémander alors qu'il a beaucoup de terres
A une cérémonie à Foumban,les administrateurs civils firent la révérence au Sultan Bamoun mais vinrent tendre la main à SM #Sokoudjou , celui-ci ne broncha pas et attrapa fermement sa canne ce qui humilia ceux-ci
C'est l'un des rares rois qui sert les clients dans son bar ou tourne le béton dans son chantier car SM Sokoudjou est à la chefferie et hors de la chefferie c'est un citoyen ordinaire nommé Sokoudjou
Tout dernièrement un digne fils de la région lui offra un véhicule mais envoya son chauffeur SM Sokoudjou renvoya les deux en disant s'il est mon fils qu'il vienne lui même m'offrir ce cadeau et il recevra les bénédictions du père.
Par notre Guide Touristique Blaise Fotso
Fussep ma terre
5 mois depuis
COMMENT ON DEVIENT ROI AU PAYS BAMILÉKÉ
Les Bamiléké constituent le groupe ethnique le plus important au plan démographique des Grass lands. Leur itinéraire migratoire reste encore entaché de floue. La plupart des traditions orales situent dans le Haut Mbam, l'actuel pays Tikar, le point de départ du mouvement migratoire d'une partie de ce peuple qui les a conduit[s] dans les hauts plateaux de l'ouest.
Le pays Bamiléké est constitué d'une mosaïque de petites et moyennes royaumes qui se sont formées par segmentation.
L'organisation socio-politique est également centralisée. Le Mfo ou Roi exerce l'autorité suprême. Il est entouré des neuf notables représentant chacun [les] pères fondateurs du royaume (les Nkamvë). Le prestige dont jouit la Reine-mère (Ma Mfo) et l'existences de nombreuses associations coutumières ou société[s] secrètes concourent au contrôle et à la canalisation du pouvoir politique exercé par le Mfo.
Concernant la désignation du chef, appelé le « Mfo », le « Fon », le « Fö », le « Fwa », le « Few »...
Au pays Bamiléké dans l'Ouest Cameroun, le Fö est à la tête de la hiérarchie traditionnelle. Il est Prêtre traditionnel, dépositaire des coutumes ancestrales, personnage sacré au pouvoir divin, il veille à la sécurité de son peuple. Aussi la désignation de son successeur a-t-elle toujours revêtu un caractère absolu et sacré. Si par des forces intérieures ou extérieures un usurpateur prend la place, le culte est interrompu et le pays est frappé de plusieurs malheurs. Mais le processus de succession n'est pas forcément le même partout dans l'ouest et dans le Grassfield en général.
Le choix du Roi :
Chez les BABADJOU dans le BAMBOUTOS par exemple, le choix du roi est un acte public. La cérémonie se déroule pendant le grand deuil du défunt Roi, selon les v�ux du souverain disparu, de celui du conseil des Neuf appuyé par les deux conseils des sept et de la Maison royale. Le conseil des Neuf reste souverain en dernier ressort et est seul à choisir le Roi, parfois indépendamment des v�ux du défunt Roi, de sa famille ou de quiconque, dans le strict intérêt de la tribu.
Même si l'autorité du Roi est illimitée sur son peuple au Pays Bamiléké, il vit sous la hantise de ses notables, car pris ensemble, ils ont sur le roi un droit de vie ou de mort. Ils le placent au trône comme ils peuvent l'en élim[in]er.
De son vivant, le chef désigne parmi ses propres enfants cinq dont le premier sera le véritable chef (Fo'o). Le deuxième, adjoint (Kouété) sera placé à la tête d'un village comme Chef ou y résidera comme une personnalité indépendante et jouera un rôle honorifique dans le royaume. Par contre, si c'est le Roi qui décède sans enfant, son Kouété le remplace.
Ailleurs, l'on observe pourtant des variantes à ce processus. Il semble que le premier fils du Roi ne peut lui succéder à quelque titre que ce soit. Lorsque encore vivant, le roi désigne ses héritiers, il communique leurs noms au conseil des notables qui sont tenus au secret et ne peuvent pas juger du choix fait par le Roi.
Rites d'arrestation du Roi et de son adjoint :
La désignation et l'intronisation d'un roi [chez] les baméliké sont du ressort de deux collèges de grands notables.
À Bangoua, c'est le premier collège composé de sept notables qui aura la lourde tâche de présenter aux populations le successeur du chef défunt. Il s'agit de Nzeu Ndjambgoung, Nzeu Tchietcho, Wafo Fanguieu, Wafo Koumkap, Wafo Keulek, Mbeu Nkajip, Mbeu Nkoubamzep.
Le deuxième collège composé de neuf notables qui contrôlent les différents quartiers du groupement aura à assurer la formation du nouveau roi durant son séjour au La'akam. Il s'agit de Makap Nzeutep, Mekap Lieujik, Nzeusa, Nzeu Ze, Nzeu kouo, Nzeu Tiekap, Nzeu Tekaap; Nzeu Wang, Nzeu Nkiondze.
Chez les Ngemba, le roi s'entoure soit des neuf, des sept ou des quatre notables; ceci varie selon les villages. Membres des sociétés secrètes, les notables gardent les secrets de la succession sur le trône. Il leur revient, après la disparition du roi, d'arrêter dans les rangs du deuil l'héritier du feu roi parmi ses propres fils, en tenant compte de la volonté du défunt. Les notables initiés le saisissent et le passent aux mains des autres qui, le ruant de coups, le dépouillent de ses vêtements. Une lutte s'engage d'autant plus acharné[e] que l'élu n'avait aucune prétention à la chaise de son père. Les ravisseurs disparaissent avec leur victime vers le la'kam (lieu de retraite de 9 semaines, d'investiture et d'initiation aux mystères du royaume) après l'arrestation du roi, on procède immédiatement à celle du NKWETCHE, son adjoint. Ils sont bien encadrés pas les « feffo » police secrète du royaume qui assure leur sécurité.
Ailleurs au décès du Roi, les notables n'annoncent publiquement cette mort que huit jours après. L'annonce se fait par des tambours et des coups de fusil, toute la population s'assemble au palais. Alors les grands notables (conseil des neuf) se saisissent des héritiers l'un après l'autre et dans l'ordre : Fo'o, Kouété, Sop Tsi, Kamgheu et éventuellement Mato'o ils sont présentés à la population et ramenés couverts des signes distinctifs au fond du palais hors vue de la population.
Les rites d'investiture :
Dès son entrée au la'Kam, on rase les cheveux du futur Roi à même le crâne, on lui répand sur la tête et les jambes le « Pho », poudre du padouk en disant : Nous, désignatifs et consécrateurs des chefs, agissant toujours selon la justice pour ce qui concerne la succession au trône du palais de ce village, t'appliquons l'onction du sacre et te nommons roi. Que si quelqu'un d'autre intervenait indûment pour te remplacer contre la volonté de ton père, qu'il paye de sa tête, ainsi un autre roi (ceci dépend des relations ancestrales) malmenée de plus en plus par ceux qui sont considérés comme les gardiens du temple.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
📷 En image le roi SOKOUDJOU (Fon de Bamendjou)
Les Bamiléké constituent le groupe ethnique le plus important au plan démographique des Grass lands. Leur itinéraire migratoire reste encore entaché de floue. La plupart des traditions orales situent dans le Haut Mbam, l'actuel pays Tikar, le point de départ du mouvement migratoire d'une partie de ce peuple qui les a conduit[s] dans les hauts plateaux de l'ouest.
Le pays Bamiléké est constitué d'une mosaïque de petites et moyennes royaumes qui se sont formées par segmentation.
L'organisation socio-politique est également centralisée. Le Mfo ou Roi exerce l'autorité suprême. Il est entouré des neuf notables représentant chacun [les] pères fondateurs du royaume (les Nkamvë). Le prestige dont jouit la Reine-mère (Ma Mfo) et l'existences de nombreuses associations coutumières ou société[s] secrètes concourent au contrôle et à la canalisation du pouvoir politique exercé par le Mfo.
Concernant la désignation du chef, appelé le « Mfo », le « Fon », le « Fö », le « Fwa », le « Few »...
Au pays Bamiléké dans l'Ouest Cameroun, le Fö est à la tête de la hiérarchie traditionnelle. Il est Prêtre traditionnel, dépositaire des coutumes ancestrales, personnage sacré au pouvoir divin, il veille à la sécurité de son peuple. Aussi la désignation de son successeur a-t-elle toujours revêtu un caractère absolu et sacré. Si par des forces intérieures ou extérieures un usurpateur prend la place, le culte est interrompu et le pays est frappé de plusieurs malheurs. Mais le processus de succession n'est pas forcément le même partout dans l'ouest et dans le Grassfield en général.
Le choix du Roi :
Chez les BABADJOU dans le BAMBOUTOS par exemple, le choix du roi est un acte public. La cérémonie se déroule pendant le grand deuil du défunt Roi, selon les v�ux du souverain disparu, de celui du conseil des Neuf appuyé par les deux conseils des sept et de la Maison royale. Le conseil des Neuf reste souverain en dernier ressort et est seul à choisir le Roi, parfois indépendamment des v�ux du défunt Roi, de sa famille ou de quiconque, dans le strict intérêt de la tribu.
Même si l'autorité du Roi est illimitée sur son peuple au Pays Bamiléké, il vit sous la hantise de ses notables, car pris ensemble, ils ont sur le roi un droit de vie ou de mort. Ils le placent au trône comme ils peuvent l'en élim[in]er.
De son vivant, le chef désigne parmi ses propres enfants cinq dont le premier sera le véritable chef (Fo'o). Le deuxième, adjoint (Kouété) sera placé à la tête d'un village comme Chef ou y résidera comme une personnalité indépendante et jouera un rôle honorifique dans le royaume. Par contre, si c'est le Roi qui décède sans enfant, son Kouété le remplace.
Ailleurs, l'on observe pourtant des variantes à ce processus. Il semble que le premier fils du Roi ne peut lui succéder à quelque titre que ce soit. Lorsque encore vivant, le roi désigne ses héritiers, il communique leurs noms au conseil des notables qui sont tenus au secret et ne peuvent pas juger du choix fait par le Roi.
Rites d'arrestation du Roi et de son adjoint :
La désignation et l'intronisation d'un roi [chez] les baméliké sont du ressort de deux collèges de grands notables.
À Bangoua, c'est le premier collège composé de sept notables qui aura la lourde tâche de présenter aux populations le successeur du chef défunt. Il s'agit de Nzeu Ndjambgoung, Nzeu Tchietcho, Wafo Fanguieu, Wafo Koumkap, Wafo Keulek, Mbeu Nkajip, Mbeu Nkoubamzep.
Le deuxième collège composé de neuf notables qui contrôlent les différents quartiers du groupement aura à assurer la formation du nouveau roi durant son séjour au La'akam. Il s'agit de Makap Nzeutep, Mekap Lieujik, Nzeusa, Nzeu Ze, Nzeu kouo, Nzeu Tiekap, Nzeu Tekaap; Nzeu Wang, Nzeu Nkiondze.
Chez les Ngemba, le roi s'entoure soit des neuf, des sept ou des quatre notables; ceci varie selon les villages. Membres des sociétés secrètes, les notables gardent les secrets de la succession sur le trône. Il leur revient, après la disparition du roi, d'arrêter dans les rangs du deuil l'héritier du feu roi parmi ses propres fils, en tenant compte de la volonté du défunt. Les notables initiés le saisissent et le passent aux mains des autres qui, le ruant de coups, le dépouillent de ses vêtements. Une lutte s'engage d'autant plus acharné[e] que l'élu n'avait aucune prétention à la chaise de son père. Les ravisseurs disparaissent avec leur victime vers le la'kam (lieu de retraite de 9 semaines, d'investiture et d'initiation aux mystères du royaume) après l'arrestation du roi, on procède immédiatement à celle du NKWETCHE, son adjoint. Ils sont bien encadrés pas les « feffo » police secrète du royaume qui assure leur sécurité.
Ailleurs au décès du Roi, les notables n'annoncent publiquement cette mort que huit jours après. L'annonce se fait par des tambours et des coups de fusil, toute la population s'assemble au palais. Alors les grands notables (conseil des neuf) se saisissent des héritiers l'un après l'autre et dans l'ordre : Fo'o, Kouété, Sop Tsi, Kamgheu et éventuellement Mato'o ils sont présentés à la population et ramenés couverts des signes distinctifs au fond du palais hors vue de la population.
Les rites d'investiture :
Dès son entrée au la'Kam, on rase les cheveux du futur Roi à même le crâne, on lui répand sur la tête et les jambes le « Pho », poudre du padouk en disant : Nous, désignatifs et consécrateurs des chefs, agissant toujours selon la justice pour ce qui concerne la succession au trône du palais de ce village, t'appliquons l'onction du sacre et te nommons roi. Que si quelqu'un d'autre intervenait indûment pour te remplacer contre la volonté de ton père, qu'il paye de sa tête, ainsi un autre roi (ceci dépend des relations ancestrales) malmenée de plus en plus par ceux qui sont considérés comme les gardiens du temple.
Je Suis Bamiléké, I Am Grassfield 2.0
📷 En image le roi SOKOUDJOU (Fon de Bamendjou)
6 mois depuis
7 mois depuis
#20Mai à Bamendjou
Leurs majestés Bamendjou, Bameka, Bahouan et Bangam ce jour pour la célébration de la fête de l'unité nationale dans l'arrondissement de Bamendjou !
Leurs majestés Bamendjou, Bameka, Bahouan et Bangam ce jour pour la célébration de la fête de l'unité nationale dans l'arrondissement de Bamendjou !
8 mois depuis
« Je ne peux pas vous tromper en vous poussant à suivre une mauvaise voie. Je ne suis pas d’accord pour la rupture au Cameroun, mais je suis d’accord pour une étude bien profonde pour les problèmes du Cameroun. Le Cameroun a beaucoup de problèmes à étudier à travers un cadre de dialogue. Ce dialogue, on n’a même pas encore commencé »
Ainsi, réagissait S M Sokoudjou Jean Rameau Philipe, après avoir écouté ses visiteurs, parmi les lesquels de grosses légumes de la scène politique telles que Edith Kah Wallah, Djeukam Tchameni, Dr Hilaire Kamga, Mboa Massok. Ces propos digestes et sans ambigüité majeure du chef Bamendjou ne seront jamais aussi viraux que ceux qui enflamment la toile et caressent l’égo de la plupart d’internautes aux intentions politisées. Les discours de Fo’o Sokoudjou sont toujours parsemés de pics, lâchés comme des fléchettes contre tous, y compris ses pairs. A l’instar des livres saints dans lesquels chacun tire ce qui l’arrange et l’interprète selon son état d’esprit et ses ambitions, les propos du chef Bamendjou sont distillés en morceaux bien choisis pour servir des causes, souvent aux antipodes de sa pensée. Pour ceux qui ont des oreilles fines, le chef Bamendjou n’est ni farouche opposant au régime Biya ni ami des opposants politiques. Certains esprits distraits le qualifient d’ailleurs d’ambivalent. Ils tancent tous ceux qui sont contre le Cameroun tel qu’il le conçoit.
« Ces mauvais camerounais sont aussi bien dans le pouvoir que dans l’opposition »
n’a-t-il de cesse de le dire.
« Je ne peux pas vous tromper en vous poussant à suivre une mauvaise voie, Je ne suis pas d’accord pour la rupture au Cameroun ».
Réponse à ceux des citoyens venus solliciter ses conseils pour la réussite de la dynamique qui s’est forgée autour de Djeukam Tchameni. Par cette déclaration, le chef s’est positionné comme médiateur et non l’idéologue d’une faction de camerounais. Que lui reproche t on et pourquoi le livrer à la vindicte des tenants du pouvoir ?
Article complet sur https://devinfo237.com/oue...
Ainsi, réagissait S M Sokoudjou Jean Rameau Philipe, après avoir écouté ses visiteurs, parmi les lesquels de grosses légumes de la scène politique telles que Edith Kah Wallah, Djeukam Tchameni, Dr Hilaire Kamga, Mboa Massok. Ces propos digestes et sans ambigüité majeure du chef Bamendjou ne seront jamais aussi viraux que ceux qui enflamment la toile et caressent l’égo de la plupart d’internautes aux intentions politisées. Les discours de Fo’o Sokoudjou sont toujours parsemés de pics, lâchés comme des fléchettes contre tous, y compris ses pairs. A l’instar des livres saints dans lesquels chacun tire ce qui l’arrange et l’interprète selon son état d’esprit et ses ambitions, les propos du chef Bamendjou sont distillés en morceaux bien choisis pour servir des causes, souvent aux antipodes de sa pensée. Pour ceux qui ont des oreilles fines, le chef Bamendjou n’est ni farouche opposant au régime Biya ni ami des opposants politiques. Certains esprits distraits le qualifient d’ailleurs d’ambivalent. Ils tancent tous ceux qui sont contre le Cameroun tel qu’il le conçoit.
« Ces mauvais camerounais sont aussi bien dans le pouvoir que dans l’opposition »
n’a-t-il de cesse de le dire.
« Je ne peux pas vous tromper en vous poussant à suivre une mauvaise voie, Je ne suis pas d’accord pour la rupture au Cameroun ».
Réponse à ceux des citoyens venus solliciter ses conseils pour la réussite de la dynamique qui s’est forgée autour de Djeukam Tchameni. Par cette déclaration, le chef s’est positionné comme médiateur et non l’idéologue d’une faction de camerounais. Que lui reproche t on et pourquoi le livrer à la vindicte des tenants du pouvoir ?
Article complet sur https://devinfo237.com/oue...
Ouest/ Affaire Chef Bamendjou « Je ne peux pas vous tromper en vous poussant à suivre une mauvaise voie. Je ne suis pas pour la rupture au Cameroun » -
La mise en garde en date du 24 Juillet 2020, servie à S M SOKOUDJOU par le Préfet des Hauts Plateaux continue de faire des vagues au sein de l’opinion. …
https://devinfo237.com/ouest-affaire-chef-bamendjou-je-ne-peux-pas-vous-tromper-en-vous-poussant-a-suivre-une-mauvaise-voie-je-ne-suis-pas-pour-la-rupture-au-cameroun-2/